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Archive pour le 30 juin, 2007

Vous êtes responsable et complice M. Ouyahia !

Intervenant jeudi, sur les ondes de la chaîne II de la radio nationale, le SG du RND, Ahmed Ouyahia, affirmé, son soutien à l’amendement de la loi électorale. Le code électoral, dira le patron du RND, permettra d’apporter un certain nombre de règles pouvant assainir la pratique électorale. Par ailleurs, Ahmed Ouyahia a mis en exergue l’enjeu qui consiste à «assainir la pratique électorale du business, de l’argent sale et de pratiques qui ne sont pas faites pour honorer ni la démocratie ni les partis politiques algériens, quels qu’ils soient».
Aujourd’hui, on sait tout ce qui se passe sur le terrain. Des partis vendent leurs formulaires à des candidats pour qu’ils n’aillent pas collecter les signatures, notera-t-il à ce sujet, déplorant que «ces formulaires se vendent à des dizaines de millions de centimes».
Pis encore, Ouyahia estime que «des formations politiques placent leurs représentants dans les dispositifs de surveillance des élections et touchent de l’argent pour le parti».
Pour l’invité de la radio, le projet de loi en question «introduit des normes qui ne sont pas une exclusivité algérienne», relevant que si «un parti ne réunit pas un minimum donné de signatures, il ne participera pas aux élections».
Dans ce contexte, il a ajouté que cet amendement «ne signifie nullement la dissolution de partis politiques». «Ils étaient présents en force quand l’Algérie était face au cauchemar de la conférence nationale de janvier1994 pour continuer à gérer le pays» tient-il à rappeler, tout en leur rendant hommage.

 

Commentaires: Le patron du RND est très mal placé pour parler de l’argent sale encore moins de l’assainissement de la pratique électorale. Aucun Algérien n’est prêt à oublier les circonstances ayant précédé la naissance du RND (un bébé avec des moustaches). Qui peut oublier la fraude électorale à grande échelle qui a propulsé le RND au rang de la première force politique en l’espace de 3 mois d’existence?
Ouyahia a des preuves que des partis vendent des formulaires à coup de millions; qu’a-t-l fait pour arrêter les auteurs. Ces pratiques existaient depuis des années. Comme si on voit un crime et on arrête pas le criminel. C’est le cas du président Bouteflika qui dénonce ses ministres sans procéder à leur limogeage. Arrêtons le cinéma.

La Fondation Boudiaf : carrefour des affairistes ?

Le déjeuner offert, hier, vendredi, par Fatiha Boudaf, épouse de Mohamed Boudiaf, au nom de la Fondation Boudiaf, à l’occasion du 15è anniversaire de l’assassinat de Mohamed Boudiaf, s’est transformé en un espace pour contracter des marchés et s’échanger des cartes de visite. En effet, aucun, des présents à la cérémonie, n’a évoqué le Président assassiné. Par ailleurs, toutes les discussions tournaient autour des affaires et le règlement des problèmes personnels des uns et des autres. D’ailleurs, l’un des membres de la Fondation a expliqué à un journaliste les raisons de son retrait de la Fondation: « Je me suis retiré de la Fondation malgré que j’étais parmi les membres fondateurs. La Fondation est devenue une structure sans âme», et d’ajouter qu’« au lieu de défendre la mémoire du défunt Boudiaf et de répondre aux interrogations liées aux circonstances de son assassinat, les membres de la Fondation se contentent d’organiser des rencontres à la bourgeoise sans aucun résultat! »

Sources Echourouk

Repose en Paix, SI TAYEB EL WATANI

Blida: 16 maires sur les 25 que compte la wilaya sont poursuivis en justice !

Sur les 25 communes que compte la wilaya de Blida, 16 P/APC et 14 membres dont la majorité sont d’obédience FLN ont été suspendus, lesquels se trouvent ainsi au box des accusés. Les chefs d’inculpation retenus contre ces derniers sont multiples. Il s’agit de dilapidation de deniers publics, de vol prémédité à des fins personnelles, de passation de marchés contraire à la réglementation en vigueur et de faux et usage de faux.

Il faut rappeler que c’est l’ex-wali de Blida, Bouricha—son affaire a défrayé la chronique dernièrement à Blida— qui a été, à l’époque, à l’origine de la décision de suspension prise par le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales à l’encontre de cinq des P/APC de la wilaya de Blida, à savoir ceux des communes de Blida, Bouarfa, Ouled Yaich, Oued El Alleug et Hamam Melouane. À l’approche de la fin du mandat des élus locaux prévue pour le mois de novembre prochain, il ne passe pas un mois sans qu’un P/APC ou un membre d’une APC ne soit convoqué par la justice pour répondre aux faits graves dont il est accusé. Rien que durant le mois juin, le P/APC de Beni Mered et trois membres impliqués dans une affaire de détournement de fonds publics ont été condamnés à quatre ans de prison fermes, celui de Ouled Yaich a été condamné à trois ans de prison fermes par le tribunal de Boufarik suite à un dépôt de plainte effectué par un citoyen l’accusant d’avoir démoli sa bâtisse, le troisième est celui de Boufarik, poursuivi en justice pour diffamation et pour avoir accordé l’autorisation à son adjoint d’obtenir un acte de naissance pour pouvoir se procurer, par la suite, un document B2 d’un citoyen. Ce dernier semble être leur concurrent dans le domaine de l’activité politique. Cette grave faute commise par le premier magistrat de la ville, qui est officier de l’état civil, est, selon le code communal, passible d’une condamnation, allant de 3 mois à 1 an de prison fermes. S’agissant du quatrième P/APC auquel il a été mis fin à ses fonctions, il n’est autre que celui de Bougara. Ce dernier vient d’être suspendu par la justice pour avoir signé des marchés contraires à la réglementation en vigueur.

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