Algérie capitale de la culture arabe: des milliards détournés !
Ci-dessous, il s’agit de dizaines de milliards détournés au Ministère algérien de la culture.
Ce qui vous est demandé après avoir lu le texte :
1 – l’envoyer par email à toutes vos connaissances et leur demander de le transmettre aux leurs. Indéfiniment. Si vous êtes conscient, si vous êtes patriote, si vous êtes VRAIMENT INTEGRE, faites-le au moins une fois par semaine.
2 – créer un site Web personnel et le mettre en ligne. Car Internet c’est très important. Ou le mettre dans des blogs, l’envoyer aux journaux, le traduire!
Il ne s’agit pas de dire : « Mon Dieu, c’est grave ! ». Si vous êtes intègre, citoyen, patriote et conscient, vous devez agir !
I. ALGER CAPTALE CULTURELLE ARABE 2007
A. LA GENESE/ BECHICHI ET ALGER 2007 : POURQUOI ?
Bechichi a accepté le poste de commissaire car Toumi lui a promis d’être l’ordonnateur de la manifestation « Alger capitale culturelle arabe 200 ». Un ordonnateur est responsable et signataire s’agissant d’argent. Une fois installé, Toumi a voulu lui imposer Orif Mustafa comme second ordonnateur ! Evidemment Bechichi a refusé, alors le conflit avec la ministre a commencé à couver. Elle se savait capable de l’avoir à l’usure en le laissant se débattre dans des problèmes d’argent. Elle ne lui a pas viré un centime pour qu’il accepte Orif comme second ordonnateur. En novembre 2006, elle a fini par avoir la peau de Bechichi. Bechichi a fini par comprendre qu’on veut qu’il bouffe et laisse bouffer, alors il a dit ce qu’il pense dans El Khabar. Il n’a pas marché dans la combine car il sait que Orif est celui-là même que M. Raouraoua, alors commissaire de l’Année de l’Algérie en France, avait jeté à la porte car il le soupçonnait de détournement ou avait des preuves contre lui !
Après le départ de Bechichi, TOUMI a ramené Bouchama. Mais elle ne lui propose pas le titre d’ordonnateur. Elle est l’ordonnatrice. Elle crée également une prétendue « Commission des sages de Alger capitale culturelle arabe 2007 » composée d’anciens ministres (Zhor Ounissi, Amimour et de quelques personnalités incolore et inodores qui n’auront d’ailleurs rien à gérer en réalité puisque les projets avaient déjà été ficelés par Orif et consort. Slimane Chikh et Ounissi n’ont pas remis les pieds dans la commission mais d’autres sont restés, pour bénéficier des avantages et des grosses voitures et des salaires faramineux. Ils ne connaissaient même pas le programme de la soirée du 12 janvier une heure auparavant la manifestation.
B. LE SPECTACLE DU 12 JANVIER 2007
Le spectacle du 12 janvier, à l’occasion de l’ouverture de « Alger, capitale de la culture arabe 2007 », a été organisé par Maghreb Films, dont le gérant est Ameur BAHLOUL, un ex journaliste de l’ENTV… qui est un prête-nom pour HHC…
Prix exact du spectacle : 350 383 020,87 centimes.
Au début, le ministère a demandé à l’ENTV de prendre en charge la manifestation. Chawki a refusé sous prétexte que la manifestation ne se tient pas le 1er janvier mais le 12, à l’occasion de Yennayer. Alors la ministre donne le marché à Maghreb Films, l’entreprise de Habib Chawki !!! Voila la ruse pour donner des marchés à un complice !!! Moyennant ristourne !!!
Le directeur de l’ENTV (Habib Chawki) a dit dans un quotidien qu’il refusait d’organiser le spectacle du 12 janvier car il coïncide avec la fête du yennayer ! C’est ce qui était écrit noir sur blanc dans un journal arabophone ! Comment l’ENTV refuse-t-elle de prendre un marché payant car la manifestation a lieu le jour de yennayer ? Le 1er janvier oui, mais yennayer, non !!! Aucun journal n’a relevé la gravité de la déclaration !
Supposons que Maghreb Films n’est pas l’entreprise de HHC, il y a pourtant plusieurs autres opérateurs algériens capables d’organiser ce spectacle comme le CIP. Si l’ENTV avait pris le marché il n’aurait pas coûté plus de 12 000 000 0,00DA !!! Et pourquoi octroyer le marché à Maghreb Films sans passer par un appel d’offre ?
Le programme du 12 janvier a été concocté par Maghreb Films, avec quelques orientations débiles de deux ou trois débiles qui entourent la ministre: des boqala présentées cinq fois dans le spectacle!!! La boqala c’est de l’art? Voila le niveau de Toumi : la boqala !!
Dans le spectacle du 12 janvier il y avait un orchestre composé de Français !!! En regardant l’émission Hna Fi Al Hana qui passe sur la chaîne A3 le dimanche soir, vous verrez ces musiciens dans le studio et il y a même leurs noms sur le générique de fin!
Pourquoi ne pas avoir pris l’orchestre de la radio ou l’Orchestre symphonique national qui dépend du Ministère de la culture ? Parce que cela ne coûte pas cher et ne prend pas de la chippa !!
C. ACQUISITION DE VEHICULES POUR ALGER 2007
Devis des acquisitions de véhicules : 39 181 000,00 DA
Des véhicules de luxe, pour les ORIF et consorts.
D. LES EXPOSITIONS DE ALGER CAPITALE CULTURELLE 2007
Orif est un corrompu qui est derrière les détournements de Alger capitale culturelle 2007 dans le chapitre des Expositions. Comment ? Il était responsable des Expositions et a pu réaliser son plan avant d’être évincé par Bechichi.
Djahiche a remplacé Orif au département des expositions de Alger 2007. C’est l’ami de Orif. Djahiche occupe aussi le poste de secrétaire général de l’Agence de Rayonnement !!!
Chacune des expositions programmées coûte entre 10 000 000 DA et 45 000 000 DA ! Ces expositions ont été gonflées à des sommes astronomiques pour prendre une chippa astronomique !!! Orif n’a sélectionné que des « artistes » qui sont ses amis : Salah Malek, Abdi, et d’autres, qui acceptent la chippa. L’expo de Salah Malek a été évaluée à 13.899.600,00 DA! Combien coûte la toile, la peinture, les pinceaux ? Un rouleau de 20 mètres de toile coûte 15000 DA !! Donc comment évaluer une exposition de peinture à 15 000 000,00 DA ?
Ci-dessous nous allons vous montrer que c’est du pur vol !!!
E. CHAPITRES D’UNE EXPOSITION DE ALGER CAPITALE CULTURELLE 2007 : Voici les différents chapitres des expositions tels qu’ils figurent dans les conventions signées avec les bénéficiaires.
- Frais du catalogue : 2 000 000 DA. Le devis réel du catalogue prévu (96 pages à 2000 exemplaires) doit être 500 000 DA au maximum, même chez l’imprimeur le plus cher. Où va le reste ?
- Honoraires de l’artiste : entre 2000 000 DA pour certains et 4000 000 DA pour d’autres. Pourquoi donner de l’argent à un peintre qui expose et qui peut vendre son travail dans l’exposition ? Pour empocher la chippa !
- Frais de l’aménagement de l’exposition : 2 000 000 DA. Alors que c’est l’artiste qui est sensé faire le montage et l’accrochage de son exposition, ou bien le personnel des musées. Orif a inventé ce chapitre pour donner des marchés à ses amis.
- Honoraires du Commissaire de l’exposition: 1 500 000 DA. Or une exposition personnelle d’un artiste ne nécessite pas d’avoir de commissaire. C’est l’exposant lui-même qui est supposé organiser son exposition. Pourquoi Orif a désigné des commissaires pour des expositions personnelles ? Pour détourner de l’argent. Les commissaires désignés sont toujours des amis de Orif et de Djahiche : Zoubir Hellal, Ferroukhi Nourreddine, et Nadira Laggoune qui ont été désignés comme commissaires de plusieurs expos. Imaginez 150 000 DA par exposition! Ils se sont partagés 10 expositions !!! Imaginez la ristourne pour Djahiche et pour Orif, peut-être aussi pour Khalida Toumi !
- Frais de transport : 1 500 000 DA. Sur les devis, il y a le transport d’œuvres qui sont pourtant réalisées à Alger et qui seront exposées à Alger (Futur musée d’art moderne, ex galeries algériennes).
- Frais d’assurance : 1 500 000 DA
- Prise en charge de l’artiste durant son séjour à Alger : 500 000 DA
Pourquoi on donne 10 000 000 DA comme subvention pour d’un film de fiction et 4000 000 DA pour un documentaire, alors que le devis d’une exposition est de 15 000 000 DA? Est-ce qu’un exposition coûte plus cher qu’un film ?
Vous comprenez pourquoi Bechichi a démissionné et Bouchama aussi ?
F. LES AMIS DE ORIF DANS ALGER 2007
M. Orif était chargé des expositions de Alger capitale de la culture arabe 2007. Il a défini le programme en octroyant des fonds à plusieurs de ses amis et connaissances, notamment : Malek Salah, Abdi, M. Zoubir Hellal, M. Ferroukhi Nordine, Mme Laggoune, M. Boumehdi, le céramiste. Lorsque Bechichi a chassé Orif, M. Djahiche l’a remplacé au département Expositions de « Alger, capitale culturelle arabe 2007 ». Moussa Hadj, Hadj Moussa !
Certaines expositions sont réalisées par l’Institut du Monde Arabe, à Paris, France. Pourquoi? Pour empocher la ristourne en devises. Dans une manifestation algérienne et arabe, est-il normal de faire appel à un institut qui se trouve à Paris? Ces expositions coûtent très cher, car il faut inclure les frais de transport, d’assurance…
L’aberration est que l’IMA, depuis Paris, envoie des courriers à des artistes et des photographes Algériens leur demandant de participer à des expositions qui se dérouleront à Alger ! Voila pourquoi le budget des expositions est de 490 000 000 DA pour l’ensemble des expositions. En comparaison avec un budget de 680 000 000,00 DA pour le cinéma, alors que c’est le cinéma qui est supposé nécessiter plus d’argent d’autant qu’il comprend plus de projets.
G. LISTE DES EXPOSITIONS DE ALGER CAPITALE CULTURELLE 2007
Budget total alloué aux expositions : 490 000 000,00 DA
1. L’apport des Arabes aux sciences: 32.853.600,00 DA/ organisée par l’IMA, Paris
2. Majnoun Leyla de Salah Malek : 13.899.600,00 DA
3. L’Art Contemporain : 20.217.600,00 DA/ organisée par l’IMA, Paris
4. Hamza Bounoua Jeune Créateur Arabe : 13.899.600,00 DA
5. Les Artistes Internationaux de la Révolution Algérienne : 20.217.600,00 DA
6. Jeunes Designers du Maghreb : 15.163.200,00 DA/ organisée par l’IMA, Paris
7. L’Art au Féminin : 17.690.400,00 DA
8. Abdi Designer Algérien : 15.163.200,00 DA
9. Photographes du Monde Arabe : 12.636.000,00 DA/ organisée par l’IMA, Paris
10. Les Peintures et Céramistes Algériens d’Aujourd’hui : 40.435.200,00 DA
11. La Peinture dans le Monde Arabe : 12.636.000,00 DA/ organisée par l’IMA, Paris
12. Hommage aux Doyens de la Peinture Algérienne : 10.108.800,00 DA
13. La Peinture Algérienne des Années 70 et 80 : 10.108.800,00 DA
14. La Peinture Algérienne des Années 90 a nos jours : 10.108.800,00 DA
15. Misk El Ghenaim : 11.372.400,00 DA
16. L’Age d’Or de la Science Arabe : 42.962.400,00 DA/ organisée par l’IMA, Paris
17. Boumehdi, céramiste : 20.000.000,00 DA
COMMENTAIRES SUR LES EXPOSITIONS
- Une exposition qui a déjà été réalisée et présentée (exposée) à l’IMA et qu’on veut présenter en Algérie nécessite-t-elle 42.962.400,00 DA ? Pour le transport et les assurances ? C’est plus que du vol, car la préparation (collecte des pièces) est déjà faite. Même chose pour « L’apport des Arabes aux sciences ». Les expositions réalisées par l’IMA sont supposées être prêtes. Elles ne nécessitent donc que le transport et les assurances. Pourquoi ces sommes faramineuses ?
- Est-ce qu’une exposition de photos coûte 12.636.000,00 DA ? Zoubir Hellal est le commissaire de cette expo, alors qu’il n’est pas photographe ! Les photographes algériens refusent de participer à cette exposition bidon.
- Abdi, le designer, vit à Paris. Il a exposé dans la galerie de Orif (galerie Isma, Ryadh El Feth) ! C’est pour cela qu’il l’a choisi. Il y a plusieurs designers qui vivent à Alger, mais Orif ne fait appel qu’à ses copains.
- Boumehdi est un ami de la ministre. Le local de Boumehdi se trouve à Kouba : est-ce que ça coûte 2 milliards de transporter des céramiques de Kouba au musée national des beaux arts où l’exposition a eu lieu ?
- M. Ferroukhi qui est également commissaire des expositions : de Salah Malek, de la peinture et la céramique et de l’exposition de « L’art arabe contemporain ». Ferroukhi, Nadira Laggoune et Zoubir Hellal se sont partagés les expositions en tant que commissaires.
Il n’y a pas de raison d’avoir un commissaire pour une exposition qui appartient à un artiste ou pour des expositions qu’on ramène de l’IMA (institut du monde arabe de Paris) qui sont déjà préparées et qu’il s’agit seulement de transporter et de faire l’accrochage des tableaux sur les cimaises, ce qui est de la simple manutention. Un commissaire est nécessaire lorsqu’il faut rassembler des œuvres qui se trouvent dans plusieurs régions ou plusieurs pays : il fait les listes des artistes, sélectionne les œuvres… Or, dans les expos individuelles de « Alger capitale 2007 », tout est prêt puisque c’est l’artiste qui sélectionne ses propres œuvres. Pour les expositions collectives, le travail a été fait par l’IMA dont les expositions arrivent toutes prêtes de Paris pour être accrochées à Alger.
- Au lieu de charger le personnel spécialisé des musées (MNBA, Bardo, Antiquités…), faisant ainsi travailler des établissements du Ministère, les corrompus ont donné des marchés bidon à leurs copains et leurs copines qui versent la chippa. Normalement, on n’a besoin ni de commissaire ni de responsable de scénographie ou de l’aménagement, dans la mesure où les expositions se déroulent dans un musée. Les musées ont leurs commissaires et leur personnel qui sont habitués à accrocher des expositions. Mais qui va empocher la chippa si on fait travailler le personnel des musées ?
- Le chapitre scénographie est également bidon et sert à prendre la chippa en donnant le marché à des copains. Car dans une exposition personnelle, c’est l’artiste lui-même qui est supposé faire l’accrochage de son exposition, ou bien le personnel du musée, comme c’est habituellement le cas lors des expositions qui s’y déroulent depuis 1962 !!!
- Dans l’exposition de numismatique qui se déroule au musée des antiquités, les amis de Orif et de Djahiche ont empoché 4000 000 DA pour un aménagement qui ne leur a pas coûté 10 000, 00 DA!!! Les vitrines d’exposition appartiennent au musée des antiquités ! Les amis de Orif n’ont fait que placer quelques dizaines de pièces de monnaie dans ces vitrines pour 4000 000 DA!!
- Pourquoi donner à l’exposant 1500 000,00 DA ou 4 000 000,00 DA sans lui acheter une seule œuvre afin de la mettre dans un musée? Les pays qui se respectent achètent des oeuvres aux artistes, ils n’en font pas des assistés. Les artistes qui ont accepté de l’argent sont eux aussi des corrompus.
- D’ailleurs, pourquoi donner 1500 000,00 DA à ceux-là, alors que les artistes qui exposent dans le cadre des semaines culturelles de wilaya au Théâtre de verdure (centre Laadi Flici) ne reçoivent même pas un centime ? Pourquoi on ne donne pas un centime aux chanteurs, aux musiciens, aux peintres et aux artisans qui viennent de Timimoun, Ain Beida ou d’ailleurs pour les semaines culturelles de Alger 2007 ? Parce que ces gens-là ne bouffent pas avec Orif et ses complices.
Mais comme ces « grandes expositions » sont prévues au Musée d’Art moderne dont les travaux ne sont pas prêts de se terminer, elles n’auront probablement jamais lieu. L’argent sera empoché sans rien faire, comme pour les films et les 1001 livres !!!
CONCLUSION : Ces expositions ne reflètent pas les arts algériens ni une volonté de les promouvoir mais le copinage et la corruption. Le programme a été défini dans ce seul but.
H. LE THEATRE PROGRAMME ALGER 2007
BUDGET DES MANIFESTATIONS THEATRALES : 347 000 000,00 DA
50 pièces de théâtre prévues dans le cadre de Alger 2007
Sonia était la responsable du département théâtre de « Alger capitale de la culture arabe 2007 ». Elle a démissionné, et M. Benguettaf a été désigné à sa tête. Pourquoi a-t-elle démissionné ?
Une commission de lecture a été créée et a étudié les projets de théâtre sollicitant une aide. Mais M. Benguettaf décidait tout seul de l’octroi des subventions et n’a pas pris en considération les propositions de la commission de lecture ni de Sonia.
- Les théâtre régionaux (TRConstantine, TROran, TRSBAbbès, TRBedjaia, TRAnnaba) ont eu le financement d’une pièce chacun. Alors que le TNA a bénéficié de la subvention de onze pièces car M. Benguettaf est le directeur du TNA. « elmoumene yebda birouhou ». Alors que le TNA ne peut pas monter onze pièces ! Il n’a pas suffisamment de comédiens ni d’espace. Alors pourquoi il a pris 11 pièces ? Pour les donner à ses amis, moyennant chippa. Par exemple Boualem Aissaoui qui a une entreprise de production audiovisuelle (Cim Audiovisuel) a bénéficié d’une pièce de théâtre !!! Je vous donne une pièce signifie que je vous donne 4 ou 10 millions de Dinars !!! Imaginez la chippa !
- Mme Sonia, était chargée du département Théâtre dans « Alger capitale de la culture arabe 2007 » mais elle a préféré démissionner fin 2006… Vous voyez pourquoi les gens intègres démissionnent…
I. LES SEMAINES CULTURELLES DE WILAYA DANS « ALGER 2007 »
L’ONCI (établissement du Ministère) a reçu un budget de 220 000 000 DA par wilaya pour l’organisation des semaines culturelles de wilaya. Bentorki (DG de l’ONCI) a empoché l’argent mais il ne s’occupe que de la réservation de l’hôtel et du transport. En prenant un bénéfice incroyable sur chaque wilaya. Faites votre compte : loger et nourrir 64 personnes pendant une semaine dans un hôtel à Mazafran, ça coûte 220 000000 DA ?
En plus, l’ONCI a reçu du ministère 30 000 000 DA en bons d’essence !!
Les semaines culturelles de wilaya ou les semaines étrangères se déroulent au théâtre de verdure, centre Laadi Flici, et à la salle El Mouggar. Il n’y a aucun visiteur à ces semaines culturelles.
Si vous comptez tous les spectateurs de toutes les manifestations organisées depuis le 12 janvier par « Alger capitale culturelle 2007 » vous n’aurez pas 20 000 personnes !
4,5 milliards de DA pour toucher si peu de gens !!! Le budget de Alger 2007 est de 4,5 milliards de dinars !!! Une somme immense dont on n’a rien vu, et dont une grande partie est détournée !!
J. SEMAINES CULTURELLES ETRANGERES EN ALGERIE
L’ONCI s’occupe de la prise en charge de ces semaines culturelles étrangères dans le cadre de Alger 2007. Il fait des réservations (hôtel, restaurant, transport) des membres des délégations venues des différents pays (les artistes, exposants, officiels).
Pourquoi donner ce travail à l’ONCI alors que le ministère a une direction (direction de l’administration et moyens) qui peut faire les réservation et s’occuper de la prise en charge des délégations ? Car en fait il ne s’agit que de téléphoner à un hôtel pour réserver les chambres, véhicules, billets… Ce travail était fait par le Ministère depuis 1962. Mais on ne peut pas voler comme on veut si on laisse l’argent au niveau central, donc il faut le domicilier dans un établissement sous tutelle dont le directeur bouffe et permet à la ministre de bouffer. Compris ? Alors Bentorki (ONCI) facture des chambres d’hôtel et des billets d’avion à des prix astronomiques !!! Détails suivront plus bas.
K. 1001 LIVRES
1001 livres sont prévus pour Alger 2007. Avez-vous lu un de ces livres ? Avez-vous vu un de ces livres en librairie ? Un groupe de quinze éditeurs a empoché le fric. Pourquoi ces éditeurs seulement ? La encore c’est le piston, la rachwa, la chippa. Certains de ces éditeurs qui connaissent la chanson, attendent la fin de l’année 2007 pour faire oublier qu’ils ont pris de l’argent de l’Etat… Il y a à peine 100 livres qui sont sortis, sur les 1001 !!!
L. COMMENT DETOURNER l’argent de « Alger capitale culturelle 2007 »?
Plusieurs personnes, et l’ONCI sont utilisés par Toumi pour détourner du fric. Ceci s’appelle organisation de MALFAITEURS ou MAFFIA.
Sauf que la maffia empoche beaucoup moins d’argent en si peu de temps et avec si peu d’effort !!!
Les 4,5 milliards de DA ont été domiciliés dans des établissements du Ministère: ONCI, ONDA, CNCA, TNA. Plus loin nous allons expliquer dans le détail pourquoi l’argent est viré à ces établissements externes au ministère alors que ce travail peut être fait par ses structures internes. De quoi se charge l’ONCI dans le cadre de « Alger 2007 » ? D’abord de la signature des conventions avec les artistes, musiciens… Ensuite la prise en charge de la réservation de chambres, de billets d’avion, et l’accueil des délégations nationales et étrangères programmées pour les semaines culturelles. Evidemment, en augmentant les prix d’une manière faramineuse !!! L’ONCI met les sommes qu’il veut car il a la bénédiction de la ministre.
L’ONCI abrite l’argent qui soit disant servira à payer les semaines culturelles de wilaya (48 semaines) et les semaines culturelles étrangères) : 23 millions de DA par semaine culturelle algérienne.
L’ONCI
Dans El Khabar Bechichi Lamine avait accusé « certains de vouloir se mettre de l’argent dans les poches ». Ces « certains » sont LA MINISTRE !!! Son limogeage par Toumi n’est que la face visible de l’iceberg ministère de la culture. L’histoire des gros sous dans ce ministère a commencé bien avant, même si les 5,4 milliards de DA alloués à « Alger capitale culturelle arabe » ont fini par rendre folle Khalida Toumi. Les détournements existaient bien avant l’arrivée de cette manne qui fait baver. Les détournements se faisaient par le biais de l’office national de culture et d’information (ONCI). Comment ?
A. L’ONCI ET LA SALLE ATLAS
L’ONCI est un établissement du ministère de la culture, c’est l’ex CCI. L’ONCI a dévoré
plus de 80 milliards de centimes dans la restauration de la salle Atlas et son équipement. Cette opération a reçu plusieurs opérations au point qu’il est difficile de savoir combien d’argent au juste. Il semblerait que c’est même le double, soit 160 milliards de centimes ! Mais pourquoi le ministère des Finances donne-t-il encore l’argent demandé par le ministère pour la salle Atlas ? Pourquoi il n’alerte pas l’IGF ?
La restauration et l’équipement de cette salle a coûté quatre ou cinq fois plus que la construction et l’équipement d’une nouvelle salle, plus grande. A titre de comparaison, la construction d’un grand stade de football coûte entre 20 et 30 milliards de centimes.
Regardez comment est devenue la façade extérieure de la salle Atlas: de la dalle de sol sur la façade et il fait croire aux gens que c’est du marbre!!! La dalle de sol sur la façade, près de la mer alors que le quartier est très humide! C’est déjà un crime d’enlever les anciens stucs !
Alors ce gouffre financier, il sert à qui ? Qui en profite ? Au directeur de l’ONCI (Bentorki) tout seul ? Impossible !!!
B. L’ONCI ET LE FESTIVAL DE TIMGAD
Chaque année, l’ONCI (BENTORKI) reçoit du ministère entre 4 et 7 milliards de centimes pour l’organisation de ce festival bidon ! L’ONCI justifie par des factures gonflées : un chanteur qui coûte tant il met le double. Les prestations, l’hébergement, la restauration, la location de matériel, tout est gonflé. Voila pourquoi il ramène des chanteurs du Moyen Orient.
Et que ramènent ces quelques chanteurs Moyen Orientaux à la culture algérienne ? Rien ! Qui assiste au festival de Timgad ? Quelques centaines de personnes invitées.
C. L’ONCI ET LES PRESTATIONS POUR LE MINSITERE DE LA CULTURE
En mai 2006, Toumi a licencié M. Tebbani Saïd, ex directeur de l’administration et des moyens. Pourquoi ? Parce qu’il a refusé de payer un chèque de 4 milliards à l’ONCI pour une prestation qui valait à peine un milliard de centimes. De quoi s’agit-il ? De l’organisation de la conférence des ministre Arabes et Sud Américains qui s’est déroulée en janvier 2006 à Alger. L’hébergement et la prise en charge d’une poignée de ministres pour 40 millions de DA !
Or, les semaines culturelles organisées par Tebbani lui-même n’ont pas dépassé 800 millions de centimes. Mais la Ministre a préféré donner l’organisation de certaines manifestations juteuses à l’ONCI sous prétexte que le ministère lui-même n’a pas les cadres et le personnel pour organiser ces manifestations. C’est quoi réserver des chambres et des billets et des véhicules VIP ? La surfacturation de l’ONCI, dont le DG connaît la chanson, c’est : Je bouffe, tu bouffes. Bentorki a fait ses preuves lors de la manifestation 50ème anniversaire de la Révolution : il a géré des centaines de milliards en se mettant plein les poches.
En comparant sa facture et celle de Bentorki, Tebbani a compris que l’ONCI est une caisse utilisée pour le détournement. La réservation de chambres d’hôtels, de véhicules, des salles d’exposition ou de projection, et l’achat de billets d’avion, ne nécessite pas de faire appel à une structure externe au ministère. Après avoir licencié Tebbani, Toumi peut donner autant de manifestations qu’elle veut à l’ONCI, d’autant que « Alger capitale de la culture arabe 2007» allait être une opportunité en or de s’enrichir et d’enrichir Bentorki et consorts. Il ne fallait pas que le directeur des Moyens généraux soit un gêneur au sein même du ministère. Tebbani sera viré, Allim sera viré, Meftahi sera viré ! Et vive « Alger capitale de la corruption » sans les gêneurs !!! D’autres gêneurs seront licenciés, plus tard.
III. AUTRES OPERATIONS DE CORRUPTION
A. LA SALLE DE CONCERT DE L’INSM.
Près du Bastion 23 (Bab El Oued) se trouve l’Institut supérieur de musique. Une salle de concert était prévue, ce qui est normal pour un institut de musique. L’ancienne directrice (Mme Mokrani) n’a pas marché dans la combine de la ministre qui avait d’autres plans. Alors elle l’a licenciée afin que le plan maffieux soit exécuté. La salle de concert ne sera pas réalisée. Raison invoquée par la ministre : elle se situe dans le périmètre protégé du Bastion 23, monument protégé (ce périmètre est de 100 mètres). Pourtant l’Institut de musique lui-même, se situe aussi dans ce périmètre ? La presse a avalé la pilule, donc elle peut exécuter son plan : remplacer la salle de concert par un théâtre de plein air !!! Oui, un théâtre de plein air sera réalisé dans un croisement de carrefours, au milieu des klaxons !!! Et le projet peut revenir à l’oncle de Mme Sator, amie de la ministre, une corrompue qui a bénéficié de plusieurs appartements quand elle était maire ! Oui, les voleurs retombent toujours sur leurs pattes !!!
B. MUSEE D’ART MODERNE
Les ex Galeries Algériennes d’Alger seront transformées en musée d’art moderne. L’étude d’aménagement de ce musée a été réalisée pour la somme de 4 300 000 0,00 DA !!! Une étude à ce prix (400 000 Euros), même les plus grands architectes du monde n’en rêvent pas ! Les des études d’architecture des plus grands architectes du monde ne coûtent pas cette somme qui est octroyée pour une simple étude d’aménagement d’un édifice qui existe déjà !!!
Comment a eu lieu l’appel d’offres ? Le bureau d’études Architectes associés de Faidi, a été ramené par Orif. La ministre a chargé ce bureau d’études du projet bien avant que l’appel d’offres ne soit lancé. Il a donc travaillé sur l’étude plus que les autres soumissionnaires. Comme son projet était meilleur sur le plan technique, son offre financière a été acceptée sur instruction de la ministre.
Ceux qui croient que les appels d’offres stoppent la corruption ne connaissent pas Khalida Toumi !!! Elle camoufle des contrats gré à gré en marchés en bonne et due forme !!!
C. LA MINISTRE A CANNE: cinéma algérien ou corruption?
La soi-disant manifestation algérienne à Cannes organisée par le ministère de la culture en 2007 a coûté 300 000 euros. En guise « d’hommage à Mohamed Lakhdar Hamina », il y a eu une petite réception à laquelle moins de vingt personnes ont assisté, dont la majorité sont des Algériens résidants en France. Il n’y a eu ni réalisateurs, ni producteurs étrangers ! Cette histoire de « rencontre autour du cinéma algérien » : du bidon ! Comment faire une « Rencontre sur le cinéma algérien » en marge du Festival de Canne alors qu’aucun film algérien n’était programmé à cette manifestation ?
C’est l’Agence de Rayonnement Culturel (ARC) qui s’est chargée de la préparation de la « manifestation ». Son directeur est Orif Mustapha.
La manifestation de Cannes a consisté à louer une salle pour la conférence et commander un dîner dans un restaurant. Le dîner n’a pas eu lieu parce que les « invités » n’étaient pas venus !!! La manifestation algérienne a eu lieu durant l’hommage au cinéma du Burkina Faso, un pays respectable dont la production cinématographique est importante, qui est connu pour son sérieux et qui a préparé sa manifestation avec sérieux. Vous croyez que les gens du Burkina Faso peuvent payer 300 000 euros ? Pourtant ils ont fait leur manifestation ! Les prix des salles, des restaurants sont pareils pour tout le monde à cannes !! Comment donc arriver à 300 000 euros pour la réservation d’une salle de conférence et un dîner non consommé ainsi que l’achat d’une page de publicité dans une revue bidon !!! Demandez à Orif et à ses accompagnateurs de vous donner les dépliants et documents réalisés pour cette occasion ou les articles de presse française à son sujet !!! Rien !
Gonfler les factures : c’est la méthode qu’utilise la ministre pour voler !!!
Personne ne se rend compte en Algérie, d’autant que si quelqu’un doit demander des comptes à Orif (ARC) c’est sa complice, la ministre.
Etaient présents à Cannes avec Orif et la ministre :
1. Le directeur du CNCA, Ait Oumeziane, qui était toujours saoul à Cannes.
2. Lamine Merbah, ex directeur de l’ENPA, actuel président de la commission de lecture du FDATIC et ex président de la commission de lecture de « Alger capitale culturelle arabe 2007 ».
3. Mazif Sid Ali. Son dernier film, le documentaire sur les femmes présenté en février dans le cadre de « Alger 2007 », est entièrement fait avec des documents d’archives de la télé. Il fait passer un film d’archives pour un documentaire, alors qu’il a empoché 4 000 000 DA. Comme il a montré la ministre et Mme Sator dans son film, elle ne lui demandera pas des comptes !!! Voila un autre détournement, car en réalité ce film d’archives n’a pas coûté 200 000 DA !!!
L’AGENCE DE RAYONNEMENT CULTUREL (ARC)
Personne ne peut demander des comptes à Orif si ce n’est la ministre. Comment le chef du gouvernement ou le ministre des finances peuvent-ils savoir que cette manifestation bidon n’a pas coûté 300 000 euros ? Impossible ! Le prochain ministre, s’il est intègre, n’y verra que du feu.
L’ARC est une entreprise du ministère qui a sa propre comptabilité. Son directeur (Orif) n’a rien à craindre sauf si l’inspection générale ou la cour des compte ou l’IGF s’en mêlent. Mais qui alertera ces contrôleurs ? La ministre ! C’est elle le cerveau de la corruption au ministère de la culture !
Pourquoi elle a créé l’ARC ? Pour détourner de l’argent. Car l’Algérie n’a pas besoin d’une entreprise pour organiser des manifestations culturelles à l’étranger ! Même l’Egypte n’a pas ce genre d’agence. Depuis 1962, c’étaient les cadres du ministère qui organisaient des manifestations à l’étranger.
En France, l’Agence (AFAA) est une entreprise économique qui fait des recettes, alors que la notre sert à voler ! Le siège de cette soi-disant agence ARC est le Palais Rouge ou la Palais du Souf, à la Casbah. Il n’y a pas trois personnes ! Même pas de secrétaire ! Comment une agence qui n’a pas une secrétaire peut-elle organiser une rencontre sur le cinéma à Paris ? Orif n’a même pas capable de vous citer le nom de trois cinéastes algériens et aucun nom de cinéaste étranger !
D. Lamine MERBAH :
- Lamine Merbah était directeur de l’ENPA. Lorsque l’entreprise allait être liquidée, il a détourné des milliards destinés à la production de films. Tous les cinéastes le savent. Pourquoi n’est-il pas parti en prison ? Pourquoi elle le garde ?
En 2004, dans le cadre du 50ème anniversaire de novembre, Lamine Merbah a bénéficié de 75 000 000 DA pour produire un film d’animation sur la révolution algérienne. Il a été payé par le biais de l’ONCI. A ce jour, ce film n’est pas sorti et ne sortira jamais tant qu’il a la bénédiction de la ministre qui le couvre. Avec cet argent, Merbah a créé une entreprise qui s’appelle « Amine Intaj » et acheté du matériel et des caméras !!! La manifestation « du cinquantième anniversaire de Novembre, en 2004 » n’a pas été sanctionnée par une expertise comptable. L’ONCI n’a donné aux directions du ministère de la culture (direction de l’administration et des moyens) aucune information sur les projets financés dans le cadre de Novembre 2004 (cinéma, théâtre, musique…).
Aujourd’hui Merbah continue de voler, car il est protégé. En récompense, Toumi l’a nommé président du département cinéma dans la manifestation « Alger 2007 ».
Vous voyez comment il est facile de voler des milliards en Algérie ? Vous voyez comment Toumi et ses complices détournent de l’argent ?
Il y a même des producteurs qui ont pris de l’argent dans le cadre de l’Année de l’Algérie en France (2003) et qui n’ont pas fait leurs projets à ce jour !!!
Alger 2007 a financé 22 films de fiction (subvention de 10 000000 DA par film), 42 documentaires (subvention de 4000 000 DA) et 40 téléfilms. Combien ont été réalisés ? Trois ou quatre documentaires dont le film d’archives sur les femmes, de Mazif cité plus haut. C’est tout ! Combien seront réalisée ? Aucun !!! Pourquoi ? Parce que les producteurs bénéficiaires de subventions n’ont pas d’argent et veulent faire des films qui coûtent entre 3 et 6 milliards !!! S’ils n’ont pas d’argent à investir dans leurs projets, pourquoi l’Etat leur donne-t-il des subventions ? Pourquoi subventionner quelqu’un qui n’a pas suffisamment d’argent pour faire un film ?
Demain, un ministre honnête arrive : il ne saura jamais que des gens ont pris de l’argent et n’ont pas réalisé leurs projets ! Il ne saura jamais que l’ONCI ou le CNCA ont bénéficié d’un budget pour financer des activités et des produits culturels, que Merbah et d’autres ont bénéficié de subventions…
Pour détourner du fric à son profit, Toumi a créé les conditions pour que des producteurs, des éditeurs et d’autres gens malhonnêtes puissent voler ! Il n’y a aucune possibilité de suivi car les dossiers restent à l’ONCI ! Demain, comment un ministre honnête pourra-t-il savoir que Merbah a pris de l’argent dans le cadre de Alger 2007 ou du 50ème anniversaire de 2004 ou l’année de l’Algérie en France ? Impossible !! Pour voler, elle autorise que d’autres puissent voler ! Les vautours s’entourent de vautours !!!
E. LE FILM SUR L’EMIR ABDELKADER
En 2006, le ministère a eu un budget pour « l’étude d’un projet de film sur l’Emir Abdelkader ». Allez comprendre ce que cela veut dire mais c’est ça !!! C’est sous cet intitulé que Toumi a demandé du fric au ministère des finances ! Qui lui a octroyé la somme demandée pour cette « étude » dont l »intitulé même est bidon !! Il ne s’agit pas de l’écriture du scénario car le scénario existe déjà ! Ni de la production. Car pour la production de ce film, elle a demandé au ministère des Finances 120 millions d’euros !!! Lamine Merbah a dû lui dire que les films hollywoodiens coûtent ce prix-là. Donc pourquoi ne pas demander une somme hollywoodienne ? Espérons que le ministère des Finances va se rendre compte que c’est de la pure arnaque !
Mais il a accordé 3 000 000 0,00 DA pour l’étude bidon intitulée « étude d’un projet de film sur l’Emir Abdelkader »!!! Qui va bouffer ces 3 milliards ?
Ahmed Bedjaoui et Lamine Merbah ont été nommés chefs e projet de film sur l’Emir Abdelkader !!! Il faut trois milliards pour trouver un scénariste (américain ? français ?…) en vue de réécrire le scénario existant et chercher un réalisateur (américain, japonais, français… ?) pour le faire ? Vraiment, ils sont en train de chercher un réalisateur américain pour faire un film sur l’Emir Abdelkader ! La débilité côtoie la corruption !
Les cadres du ministère des finances ne connaissent malheureusement rien aux choses de la culture, alors la ministre leur demande des sommes astronomiques ! Ils s’exécutent car ils ne pensent pas qu’un ministre soit capable de tels mensonges pour détourner du fric !!! Oui, c’est aussi simple que cela de voler !!! Le ministre Benachenhou, lui, savait qu’elle dilapidait du fric.
Pourquoi donner le projet à Merbah et à Bedjaoui alors qu’ils ne sont pas fonctionnaires du ministère de la culture ? Vous avez vu d’autres ministères charger de simples consultants de projets aussi importants ? Comment peuvent-ils signer des documents alors qu’ils n’ont pas de cacher officiel ?
Orif était le Chef de projet du musée d’art moderne pendant une année, bien avant de devenir un employé du ministère !!! Conséquence : il a ramené Faidi qui a empoché 4,3 milliards pour une simple étude d’aménagement !!!
F. LES FILMS DE ALGER CAPITALE 2007 :
Lamine Merbah était président de la commission de lecture du département audiovisuel de « Alger 2007 ». Les membres de cette commission de lecture étaient payés à raison de 8000 DA par scénario !!! Ils ont « lu » 280 scénarios en quatre mois !
- le film « INDIGENE » de Bouchareb Rachid a eu 4 000 000 DA dans le cadre de Alger 2007 ! Alors que ce film est sorti depuis plus de six mois. C’est un film français. Le nom du ministère algérien de la culture ne figure même pas au générique !! Comment donner de l’argent à un film déjà sorti et qui, de plus, insulte notre histoire !! « Indigène » montre les Algériens comme des amoureux de la France qui vont combattre contre Hitler pour défendre leur « mère la France » !!!
- Il y a un faux « cinéaste » qui a bénéficié de 4000 000 DA pour faire un film, « Lahbib Benyakhlef et le MALG. » et 10 000 000 DA pour un autre film qui s’appelle « Assarouf ». Ce « cinéaste » escroc travaille dans une pizzeria à New York !!! Il n’a jamais réalisé de film de sa vie !!! Il n’est pas cinéaste ! Il vit aux USA, il a pris du fric et est parti… Son nom est Amine Kais Seddikioui et son entreprise s’appelle « Ekosia ». Amitiés de la ministre !!! Il suffit de créer une « entreprise de production » et de demander de l’argent au ministère. Avec le piston on a des milliards !!! Puis on disparaît dans la nature.
- Une autre cinéaste qui vit en Irlande a reçu de l’argent de Alger 2007 pour faire un film sur « Le rôle des Juifs dans la musique chaabi » !!! Avec l’argent algérien de Alger 2007 !!
G. GROS DETROUENEMENTS AU PATRIMOINE
Les projets inscrits dans le secteur du patrimoine du Ministère de la culture sont composés essentiellement d’études de restauration. Des centaines d’études sont inscrites pour des sommes faramineuses (entre 1 et 3 milliards par étude) ! Mais il n’y a aucune opération de restauration inscrite. Comment peut-on inscrire (au programme de l’Etat) des études de restauration alors que la restauration elle-même ne se fait pas ? Peut-on faire des études d’architecture pour des stades sans jamais construire de stades ? Si on le fait c’est qu’il y a quelque chose d’anormal. Oui, le ministère de la culture inscrit des centaines d’études pour la restauration de sites mais il n’y a que très peu de restauration car il n’y a pas quatre entreprises algériennes spécialisées dans la restauration du patrimoine!!! Alors pourquoi fait-on des études dans ce cas ? Pour donner des marchés à trois bureaux d’études : Gore, Archimède… Le ministère des Finances ne voit pas ces aberrations ? Non, bien que cela saute aux yeux et dure depuis des années !!!
L’affaire de PKZ traitée par le journal Al Fadjr n’est pas de la blague! Le dossier Patrimoine est une grande affaire !!! Il ne s’agit pas d’une petite affaire de 4 ou dix milliards dont parle Al Fadjr!! Oui, 10 milliards c’est une petite affaire dans ce ministère !!!
H. VIVE « DAMAS, CAPITALE ARABE 2008 SANS CORRUPTION » !
Les Syriens sont en train de préparer Damas, capitale de la culture arabe 2008. Eux ne pensent pas à voler et détourner de l’argent mais à promouvoir la culture de leur pays. Il y aura des écrans sur toutes les places publiques et dans tous les moyens de transport (trains, bus), des animations sur l’ensemble du pays, des manifestations, des subventions de projets d’artistes. Car leur ministre n’est pas un voleur et ne s’entoure pas de voleurs !!!
IV. L’EX DIRECTEUR DE LA CULTURE DE BOUMERDES : 2 milliards !!
L’ex directeur de la culture de Boumerdès (M. Bekki) a détourné 20 000 000,00 DA. Deux milliards ! Comme sanction, il a été mis fin à ses fonctions en mars 2006. il continue de percevoir son salaire ! Pourquoi il n’a pas été traîné devant un tribunal ? Amitiés de la ministre, quand tu nous tiens…
Est-ce qu’un ministre intègre permet à autant de gens de voler ? Les Orif, les Merbah, les Bentorki, Bekki…
V. PRET DE 1 700 000 0,00 DA
En 2004, le Crédit Populaire Algérien a accordé à Khalida Toumi un prêt de 1 700 000 0,00 DA.
VI. ACHAT D’UNE VILLA PAR KHALIDA TOUMI,
Toumi a acheté une villa à Telemly au prix de 3 000 000 0,00 DA. En vérité, son prix doit être au moins le double.
Comment peut-elle acheter une villa à ce prix-là en 2005 alors que les salaires des ministres sont connus ?
VII. LICENCIEMENT DES CADRES DU MINISTERE DE LA CULTURE
La croisade de Toumi contre les cadres intègres du ministère de la culture et leur remplacement par des fonctionnaires à la solde, des beni oui-oui ou des corrompus lui permet d’écarter tous les gêneurs pour voler impunément!
Les premiers gêneurs :
En janvier 2006 : licenciement de Said Tebbani,
En mars 2006 : licenciement de Allim Saïd, le sous directeur du budget
En mars 2006 : licenciement de Meftahi, sous directeur des moyens généraux.
Evidemment, licencier les cadres intègres de la direction la plus sensible : l’administration et les moyens, direction qui gère l’argent, qui signe les contrats et conventions, avalise ou rejette les marchés !
Les autres gêneurs :
Khalida Toumi a licencié douze (16) directeurs de la culture en mars 2007. Certains d’entre eux étaient près de la retraite avec 16 ou 20 ans d’expérience ! Elle n’a pas de respect pour les compétences ni de pitié pour les vieux. D’eux de ces cadres ont eu des attaques cardiaques après avoir été écartés.
A propos du Directeur de la culture de Sétif, Toumi disait récemment qu’elle l’a licencié à cause du théâtre romain de Timgad qui risque d’être déclassé. Menteuse ! Non, ce directeur est un homme très compétent, la preuve, le wali de Sétif l’a recruté lorsque Toumi a mis fin à ses fonctions ! Le directeur de Tipasa, Sahi, très compétent mais pas corrompu, et qui connaît certaines affaires de corruption sur la direction du Patrimoine : donc il est remplacé. Enlever seize directeurs compétents, c’est un crime !
Un de ceux qu’elle a désigné comme directeur de culture de wilaya est encore en stage en France ! Il se spécialise dans la restauration des objets muséographiques en métal. Pourquoi l’envoyer en formation si c’est pour en faire un directeur de la culture alors qu’il sera plus utile dans un musée ? Il a refusé le poste car il compte rester en France !!!
Cet acte est le plus criminel commis contre la culture depuis 62 !!!
- En décembre 2006, licenciement de Mme Mokrani, ex directrice de l’INSM (cas évoqué plus haut). Celle qui a refusé la corruption est remplacée par celle dont l’oncle a pris le marché de la salle de concert : Mme Sator, une ignorante, qui se prétend médecin, qui devient directrice de l’Institut supérieur de musique !!! La boqala à l’INSM !!!
- En mars 2007, licenciement de El Hadj Tahar Ali, directeur du développement et de la promotion des arts, écrivain, grand reporter et ex fondateur du quotidien Elhayet El Arabia.
- En mai 2007, licenciement de Mme ZOGHBI, directrice du Ballet national
- En juin 2007, licenciement de Aboulkacem, directeur du Bastion 23. Un homme intègre et compétent ! M. Aboulkacem, est un cadre qui ne fait pas partie des clans de la ministre, ni de ceux qui brossent dans le sens du poil, ni de ceux qui bouffent.
- En juillet 2007, licenciement de Tidjini, directeur de l’OREF, l’incorruptible dont on a parlé plus haut. Sous prétexte que l’OREF est mal géré ! Les locataires (dont Orif qui y possède une galerie d’art, la galerie Isma) ne paient pas leurs loyers car il n’y a plus de clients. Comment Tidjini peut-il réactiver l’OREF sans argent et sans visiteurs, surtout quand la ministre lui met des bâtons dans les roues car il n’est pas corrompu ?
Les gens intègres et honnêtes sont licenciés, les corrompus restent avec Toumi la corrompue, surtout quand ils occupent des postes importants… Les autres se taisent.
Comment la Présidence peut-elle avaliser ces fins de fonction alors que ces cadres ont des décrets présidentiels !!!! C’est ça l’Algérie ? On met aussi facilement fin aux fonctions d’un cadre supérieur de l’Etat aussi facilement, au bon vouloir d’un ministre, sans que la présidence ne fasse une enquête ?
Une femme avide et corrompue qui se comporte avec des cadres comme s’ils étaient des serviettes jetables, une honte dans ce pays !
Une maffia à la tête de la culture algérienne !!
SIGNE : DES CADRES DU MINISTERE DE LA CULTURE
ok mais commencns deja par la rediger tous les citoyens qui aspirent a mieux seront concernes et signeront alors allons y
tout l argent de la pub donc des milliars et verse dans l emission alhane ya chabab dont la boite maghreb vision de hhc est le producteur executif franchement a part les sommes colossales que ameur bahloul et hhc mettent dans leurs poches ou est l interet de cette emission copie colle de stars accademie en plus mauvais
alors rachid a raison et tous ceux qui sont pour une petition ont raison ne ce resque que pour faire entendre notre voix une facon comme une autre de reagir contre la mediocrite et la corruption et de dire entre autre a hhc et ses larbins que la yatima c est pas sa propriete privee
je croi q g trouver une solution qui deja facilitra encor plus notr discution apropo d s sujet
au lieu d’injecter cet argent en kabylie (je ne suis pas kabyle mais les gens de cette région sont mes frères),région marginalisée par le pouvoir centrale, éprouve de graves difficultés telles que le chomage endémique,le suicide comme espoir,l’enclavement, le racket,les kidnapings,l’absence de projets de dvp,le terrorisme d’état et des groupes occultes,etc…besmah.
attabdir et une insulte contre ce vaillant peuple.qu’est ce que j’ai à foutre avec votre culture de merde quand moi-même parent d’éleve j’assure les photocopies des cours de toute une classe pendant une année.au fait c’est quoi la culture? les envolées lyriques djahiliennes de zitout et les gsasbia et les chiatines , troubadours des temps modernes.la culture c’est ce qui reste quand on a tout oublié, dit-on.il est vrai qu’on tout oublié, les valeurs morales, erredjla oua erroudjoula,le labeur,la sueur du front,l’honneteté,la droiture,la maitrise des technologie et des sciences,une stature d’état avec sa force économique,sociale,politique,militaire….on a oublié tout ça,alors reste la zerda et la culture arabe comme guezzana en chef mme toumi. HONTE A VOUS.
on attend que cela allez y cher kechwahed proposez
oui je suis d accord les milliards verser dans cette debilite de alhan ya chabab c est du tebdir alors esseyons au mouins de faire arreter cette emission et c est possible comme c a a ete le cas de star accademie liban hhc a mis de l argent dans cette emmission que les algeriens ont pu faire arreter sa diffusion sue la yatima alors comme il a dit lui courage
dabor merci chere mourad merouane pour avoir fait attention a ma ptite frase…
alor j croi deja q c plus l tmps d entreprendre ces debas sterile (avec tous mes respet au intervenents )q on peu ecouter au bas des escalier d chaque immeuble ou dans les bouche de milion é de milion d algeriens…
mes frere s quil faut c des idée d la reflection …pas pour changer l monde ou l algerie…mais pour fait un minimum pour commencer é dieu seul sai ou ça va finir…qui sai…ptetre par changer l univere…..
c d propositions q il fo d solution é du travail,é pas q sur son pc
é pour commencer j vous propose de programer un jour ou on poura s rencontrer dans un salon d chat…é par la on commencera au moin par changer notr moyen d comunication…
salut
il faut aussi incité vo amis a fair un tour par s coin
mais ,aussi la différence,entre toumi et monsieur bechchi .chantez-leur,hadikhati!!!!!bechichi est la culture meme
toumi connais pas!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
en fait concernant toumi c’est simple ca veut dire to me
hhc c’est H’mar Hacha.Com et il a trouvé ou brouter de l’herbe
vous etes tous bon pour la colonisation et vous et votre boutaflika et toumi et tout le reste .allah yarham nos martyrs mais franchement s’ils reviennent il remettrons l’algerie a la france bon si celle la accepte bien sur c’est une autre revolution qu’il faut faire pour l’obliger a gerer de nouveau une nation pareil tous des imbeciles hereux et les riches et les pauvres .pareil pour les gouvernants des idiots de premieres categorie ..le peuple hahahahahahahaha tout le monde est voleurs
bref c’est une perte de temps parler de vous ,pire encore je parle a vous ,berk.un pays ou seulement le nombre de ses heraga qui se suicide en mer peuvent renverser tout les systemes d’afrique alors priere ou vous vous taisez ou il faut vraiment et seriesement crier
kachwahed isami rouhou nador….
moi je dis tout simplement que « dehors à tous les vieux partir de 50ans » laissez la gouvernaille aux jeunes ils sont fabuleux ..cretifs intelligents et capables. là aux moins s ils voleront c est merité.ils sont exclus prives de tout.
laissez la mains messierus et mesdames qui ont herités les sieges
que se soit dans les consulats dans les ambassades et au gouvernemet. ceder la place laissez nous respirer.
Voyez du côté des organisations de spectacles musicaux. X orchestre fait une tournée à travers l’Algérie avec environ 30 représentations moyennant 300 000 dinars environ l’unité soit environ 30 X 300 000 = 9 000 000 dinars, pour un public clairsemé voire inexistant. Quand vous avez 15 et 20 spectateurs / concert, on a le droit de se poser des questions. Tout cet argent dépensé pour qui? Les conclusions doivent être fondamentalement les mêmes que celles dénoncées dans l’article d’El mouhtaram. Et ceci n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan. On a pour habitude, dans notre pays, de fermer les yeux sur les pratiques de détournements puisque les auteurs du moment sont du côté d’un clan du pouvoir, par la suite quand la situation devient intenable, on présente devant la justice des lampistes et on épargne, évidemment, les commanditaires qui sont, déjà, à pieds d’oeuvre sur une autre affaire de spoliation. Et ainsi va l’Algérie. Tous les discours sont creux puisque le discours ne traduit pas la réalité sur le terrain.
Mohamed
slt
faut pas croire tout ce qui ce raconte, c’est des gens qu’on ecarte du cerle du pouvoir qui ecrivent sa.
khalida c une honnete femme, elle a tout fait ( opposante des tero) pendant q d’autres dancer.
aveuglement
Cinécinéma vous faîtes du cinéma. Allez raconter vos balivernes à d’autres. Si vous êtes honnête vous êtes automatiquement éjecté du pouvoir. C’est une condition sine qua none. Allez jouer ailleurs votre petit rôle de faussoyeur ou de naif.
bjr mohamed
sans commentaires
cinema….
je croi q tu vien d rentrer en algerie
é s tu est a l’ISMAS c q t comme elle mon frere(hacha mes autr vré freres)
puisqu’ils sont compétent , et ils sont en poste depuis une éternité pkoi on est tjrs dans la merde .
elles les a licencié pour essayer une autre géneration ya el mouhtarem
aaaahhhhhhhh ya khalida que tu dois etre fiere de ceque tu fais subir a la kabylie.
le directeur de la culture de bejaia,que le frere de khalida a placé(instituteur)un cow boy des dalton brothers.
madame saada se fait offrir des vacances a melbou(c presque melbourne)par une courtisane locale en contre partie d’un poste de directrice de maison de culture parceque c saada qui place ces acolytes bouffeurs ds ces etablissements.
bejaia et tizi sont devenus des douars pour khalida
mel watni
Chronique d’un vécu d’une aliénation aiguë, «Mel Watni» est un long métrage de Fatima Belhadj qui raconte une Algérie prise en otage entre les difficultés sociales qui déchirent ses familles et une démence meurtrière qui ébranle ses fondements.
Projeté dimanche dernier à Alger, ce long métrage se veut comme un flash-back des années de braise, les années 90 où le terrorisme était loi. Fatima Belhadj n’en est pas restée là. Elle a tenu à faire vivre à cette période, une famille algérienne dans toutes ses difficultés, ses frustrations et ses privations. Synopsis de l’oeuvre: «Terrible tableau de l’enfermement physique, social, sexuel, symbolique. L’univers est simplement carcéral. On n’est pas dans un harem, puisque l’homme est mort, mais dans le gynécée.» Incarnée par Chafia Boudraa, El-Batoul, après la mort de son mari, se retrouve donc seule à la tête d’une famille, obligée «à sortir et faire commerce sur le marché, de produits alimentaires préparés par ses cinq filles en attente d’un mariage libérateur.» Au milieu de ce huis clos infernal de «frustrations sexuelles et de crises de colère», la réalisatrice a tenu à imposer, Hsissen le neveu d’El-Batoul, un aliéné mental que Salah Aougrout interprète merveilleusement bien.
Voilà pour ce film qui se veut une représentation d’une Algérie d’il y a quelque temps. Représentation qui peut l’être aussi pour une Algérie d’il y a peu de temps et pour celle d’aujourd’hui. Les derniers attentats qui ont ébranlé le pays ont fait remonter à la surface les terribles rancoeurs qui se sont accumulées .
Software Development Guide…
I couldn’t understand some parts of this article, but it sounds interesting…
c’est vrai bezzaf je rejoint l’avis de tous les algeriens apres un sondage,hamraoui habib chawki a trop fait de mal a la television algerienne,nos meilleurs journalistes ont pliés bagages pour aller bosser au moyen orient,notre unique fait le bonheur des trabendistes qui ont des affaires avec HHC,il rend un mauvais service a l’ALGERIE en faisant accumuler un grand retard a notre champ audiovisuel,il met les producteurs de television en colère en achetant que les emissions des ami(e)s et des associés à lui,il fait des chateaux en espagne,il fait ce qu’il veut comme si l’etat algerien n’avait pas de responsables qui font leur travaiL….!il a fait de la television algerienne sa propriete privee-pauvre DJAZAIR,aussi il a brisè les jeunes algeriens ont renouvelant l’emmission de ALHANE WA CHABAB pour faire les affaires avec ces pauvres algeriens ,OU VA L’ ALGERIE ,on veut que l’algerie change de ses habitude ,on veux que tous les algeriens qui merite d’etre a alhane wa chabab reste a alhane wa chabab .parceque on a su que hamraoui habib a fait sa final liste tous seul sans l’avis des jurès .OU VA L’ALGERIE ???? ou ils sont les vraix artistes algeriens,ou est bouteflika dans tous ça……..ce hamraoui habib chawki va briser la television algerien.
algerienne et fier de l etre
J’ai écouté, sur la chaîne de télévision « Canal Algérie », il y’a quelques jours, une Nouba dans le mode Sika exécutée par l’orchestre national ou dit national, soupoudrée aux couleurs des trois styles de musique andalouse ou « andalousienne » selon l’appellation nouvellement suggérée.
Je considère que la création de cet ensemble est intervenue unilatéralement, sans aucune consultation préalable avec les hommes de l’art, ce qui relève malheureusement d’un manque de discernement, dangereux pour l’avenir d’un patrimoine séculaire que l’on daigne coûte que coûte à sauvegarder et à transmettre aux futures générations.
Il est, cependant, heureux de constater, qu’avec ou sans l’aide matérielle des pouvoirs publics, des associations se créent et se multiplient à travers le territoire national, formant des milliers de jeunes aux arcanes d’un héritage précieux dont ils apprennent, au fil des ans, à en découvrir toute la beauté et la valeur à la fois historique et émotionnelle. Il est heureux également de relever chez un nombre croissant de ces associations, que grâce au travail inlassable et au dévouement de leurs responsables, elles sont en mesure d’aligner un ensemble d’excellente qualité sur le plan technique ; en comparaison, l’orchestre national, avec les moyens dont il dispose, devrait faire preuve de beaucoup d’humilité pour mériter son titre. Je considère que le contexte dans lequel il a été créé et l’objectif pour lequel je mets la plus grande réserve, j’estime plus raisonnable qu’il soit mis fin à cette aventure qui n’a aucun avenir.
Que l’on mette bien en tête, que quoi que l’on fasse, les trois écoles d’Alger, de Constantine et de Tlemcen, qui sont notre fierté et notre richesse, continueront d’exister comme elles ont toujours existé.
Sid Ahmed SERRI
Les propos rapportés dans la presse (voir quotidien El Watan, dans ses éditions du 25/05/2007 et du 26/06/2007) et ceux tenus à la télévision à l’émission « Liqaa » et dont Mr Guerbas en est l’auteur, m’ont profondément choqué.
Je commencerai par exprimer toute ma réprobation à ses déclarations que je considère prétentieuses et au demeurant osées. Car vouloir « réformer l’ensemble de cette musique », entendre par la musique classique algérienne, « andalousienne », selon le même auteur, ne peut relever que de l’utopie quand ce n’est pas du délire.
Ce précieux et prestigieux patrimoine, majestueux et raffiné, pour celles et ceux qui en connaissent la valeur multiséculaire, et riche par son passé et sa brillante civilisation, ne peut souffrir d’aucune altération. S’arroger le droit de bouleverser le schéma établi et prendre la liberté de déranger l’ordre et la chronologie des morceaux de la Nouba classique, comme en terrain conquis, le fait du prince, constitue une grave offense, d’abord à la mémoire des génies qui ont pensé et développé cette musique, et ensuite à la mémoire de nos valeureux maîtres disparus qui ont marqué notre siècle par leur abnégation, leur discrétion et leur efficacité.
Je signale aussi le peu d’égard et de considération à l’endroit des chantres encore en vie, traités de « djouhalas » par le même personnage, incontournables pourtant dans ce domaine et qui n’ont ménagé aucun effort pour sauvegarder et pérenniser cette magnifique musique et pour la transmettre dans toute sa plénitude et le plus fidèlement possible même à ceux qui aujourd’hui, voulant sortir de l’ombre, se livrent sans gène et de manière offensante à fragmenter une fois de plus la mémoire de nos chouyoukhs
Ce capital formation, mémorisé par de très nombreuses générations, appris sur la base de données historiques, certes de bouche à oreille, est devenu la fierté de tous les disciples de ces grands maîtres.
Nous rendons un vibrant hommage à ces hommes remarquables qui ont accompli un travail titanesque avec des moyens insignifiants comparés aux moyens qu’utilisent ces apprentis sorciers non pas pour enrichir et développer cette musique mais pour la desservir et la déstructurer.
Sinon, comment peut-on, un seul instant, imaginer dans une Nouba donnée introduire, jumeler ou carrément mélanger, même avec la manière la plus judicieuse possible, des morceaux de couleurs et de tempéraments différents.
Si des points communs existent entre les écoles de Tlemcen et d’Alger (écoles, styles, genres ne sont pas mon propos pour le moment) par contre avec l’école de Constantine la différence est de taille, notamment sur le plan mélodique et rythmique. En musique, cette mixture est appelée, par extension, une cacophonie, et par dérision, une « thekchouka » autant insipide qu’indigeste.
Chaque école possède sa spécificité et ses règles. Elle a aussi ses références en lesquelles elle s’identifie. Les musiciens ont aussi leur sensibilité. Ils ne vibrent pas de la même manière et réagissent différemment selon qu’ils interprètent un morceau Gharnati, Malouf ou Çan’a. Le musicien ne rend que ce qu’il ressent.
Mais au fait, qu’à-t-elle cette musique de laid pour qu’on veuille, à tout prix, lui faire faire un lifting ? La nouba Zidane n’a-t-elle pas inspirée Camille Saint-Seans ?
Le charme de cette musique est dans ses rides.
Sa beauté est dans son originalité.
Sa force est dans son authenticité.
Sa grâce est dans ses mouvements.
C’est tout cela sa magie et son génie.
Alors de grâce, Mr l’innovateur, la réincarnation d’El Moussili ou de Ziryab n’est ni pour aujourd’hui ni pour demain.
Si jusqu’à présent, les nombreux fossoyeurs de cette musique ont échoué dans leurs sombres desseins, c’est parce qu’ils avaient en face d’eux des personnes qui s’y sont opposées fermement en édifiant un rempart grâce à leur passion pour cet art, à leur inlassable travail, à leur bénévolat surtout, créant de nouvelles associations, formant des milliers d’élèves devenus de grands chanteurs et/ou musiciens qui occupent, aujourd’hui, le devant de la scène et ce au mépris de tous les obstacles et blocages qui auraient découragé les plus entêtés des volontaires.
L’engagement sans faille de ces militants de l’art a été payé en retour et les résultats obtenus sont plus qu’édifiants dans la mesure où la fédération nationale des associations de musique classique algérienne, créée en Avril 2006 et qui attend, sans désespérer son agrément, compte en son sein près de soixante (60) associations de musique classique algérienne réparties à travers tout le territoire national et grâce auxquelles cette musique est enseignée dans les villes les plus reculées du pays. De nombreuses manifestations, concerts et débats sont aussi organisés, à l’initiative de ces même associations, drainant un nombreux public venu découvrir un pan de son patrimoine culturel jusque là occulté. N’est-ce pas là un bilan bien positif à mettre à l’actif du mouvement associatif, serviteur de la culture et porteur d’espoir ?
Aujourd’hui, nous voilà face à une nouvelle menace, celle-là plus insidieuse et plus sournoise dans la mesure où elle s’attaque à la substance même de cette musique et par conséquent participe à sa dénaturation.
« Faire des recherches qui tendent à dégager cette musique des habitudes des raideurs et des replis sur soi… », selon le même auteur, est une remise en cause des acquis et de la formation de toutes les générations.
Pour sauver cet héritage des agressions de toutes sortes et d’où qu’elles viennent, nous devons défendre crânement le principe de l’inaltérabilité de cette merveilleuse musique et de rejeter toutes autres formes d’interprétations basées sur l’innovation et la destruction de la Nouba traditionnelle même si ce projet insensé est entrepris avec la bienveillante assistance du secteur chargé, pourtant, de la protection de ce patrimoine au même titre que les vestiges historiques qui doivent être entretenu et conservées en l’état car ils constituent un fidèle témoignage de brillantes et grandes civilisations.
Abdelouahab NEFIL
je vais denoncé sois disons un directeur d’une maison de culture de batna qui na rien avoir avec la culture , il est parti puis revenue biensur avec chippa .un comptable comme grade dorigine , il est la juste pour detourner de l’argent et servir ses maitres qui l’ont replacé . c’est bien dommage en a sur des institutions culturels des busnesman .
Culture et corruption en Algérie : La foire du livre édition 2009 n’a pas été déplacée innocemment et pour le bien public au Stade du 5 juillet. C’est encore une fois pour une raison de grande corruption. A la SAFEX tout est in situ: le parking, rapidement accessible, les restaurants et pizzerias, les cafés et toutes les autres commodités.
Par contre, au 5 juillet, il fallait dresser des tentes et des chapiteaux pour toutes les activités et tous les besoins. Mais avant de les dresser, il a fallu les acheter, puis les importer. A qui a été octroyé ce marché juteux? A la sœur de la ministre de la culture! Aucun avis d’appel d’offre n’a été lancé. Le gré à gré pour des milliards de centimes. Après Khalida, c’est la sœur de la ministre qui s’engraisse maintenant dans cette république sous-bananière !
Comment cela s’est passé. D’abord Toumi enlève le patronage du Sila (salon u livre) à l’ANEP, une société étaique qui l’organise depuis sa création. Ensuite elle fait croire que la SAFEX veut saboter un Sila organsé par le ministère de la culture. En vérité le directeur de Culture et corruption en Algérie : Le Salon du livre (SILA) édition 2009 n’a pas été déplacée innocemment et pour le bien public au Stade du 5 juillet. C’est encore une fois pour une raison de grande corruption. A la SAFEX tout est in situ: le parking, rapidement accessible, les restaurants et pizzerias, les cafés et toutes les autres commodités.
Par contre, au 5 juillet, il fallait dresser des tentes et des chapiteaux pour toutes les activités et tous les besoins. Mais avant de les dresser, il a fallu les acheter, puis les importer. A qui a été octroyé ce marché juteux? A la sœur de la ministre de la culture! Aucun avis d’appel d’offre n’a été lancé. Le gré à gré pour des milliards de centimes. Après Khalida, c’est la sœur de la ministre qui s’engraisse maintenant dans cette république sous-bananière !
Comment cela s’est passé. D’abord Toumi enlève le patronage du Sila à l’ANEP, une société étatique qui l’organise depuis sa création. Ensuite elle fait croire que la SAFEX veut saboter un Sila organisé par le ministère de la culture. En vérité le directeur de la SAFEX a même proposé de mettre gratuitement les espaces de la foire au service du ministère de la culture pour organiser son SILA et ce afin de prouver qu’il ne veut pas saboter la manifestation. Mais la ministre corrompue a déjà depuis des mois fait la commande des chapiteaux et des tentes. Elle fait traîner les négociations avec la SAFEX puis les interrompt définitivement. En vérité elle avait eu depuis longtemps l’accord du ministère de la jeunesse pour utiliser les espaces du stade du 5 juillet. Elle avait commandé les toiles et les structures des chapiteaux depuis longtemps car pour obtenir 20000 m2 de toile il faut les commander plusieurs mois à l’avance. Elle veut faire croire que c’est le DG de la SAFEX qui a voulu saboter le SILA en signe de complicité avec son « copain » de l’ANEP à qui on a enlevé l’organisation du Sila.
Mais d’où la sœur de Khalida tient-elle autant d’argent pour importer ces tentes, compresseurs, machines et chapiteaux ? Khalida a suffisamment bouffé pour se permettre de lancer sa sœur. Evidememnt, vous ne verrez nulle part le nom de la frangine de la ministre. C’est un jeune ingénieur avec une toute petite entreprise qui sert de façade et qui a obtenu ce marché faramineux pour la sœur de Khalida.
Voila pourquoi l’organisation de la foire du livre a été enlevée à l’ANEP et placée sous la coupe directe du ministère “de” Khalida Toumi !!!
Nous vous demandons d’enlever le nom du realisateur Amine-Kais du blog, pour des raisons d’atteintes a l’artiste et a sa vie privee, nous demandons d’extraire le texte l’associant malencontreusement a l’affaire du Ministere de la Culture avec lequel il n’a aucun lien, mis sur le blog de Benchicou le 14 juillet 2007.
Cordialement
Merci
Amine-Kais
Nous vous demandons d’enlever le nom du realisateur Amine-Kais du blog, pour des raisons d’atteintes a l’artiste et a sa vie privee, nous demandons d’extraire le texte l’associant malencontreusement a l’affaire du Ministere de la Culture avec lequel il n’a aucun lien, mis sur le blog de Benchicou le 14 juillet 2007.
Cordialement
Merci
Amine-Kais