Archive pour août, 2007

Le journal Echourouk doit dénoncer !

Le samedi 18 août, deux officiers de police du commissariat de Bourouba à Alger se sont présentés au domicile de la famille Rahmouni dont le fils Mohamed a disparu depuis son arrestation du 18 juillet dernier. Ces agents ont dit vouloir parler au père de Mohamed. N’ayant pas trouvé le père ils ont embarqué le fils, Ali, méthode de substitution très régulièrement employée par les autorités.

 

Dès qu’ils l’ont su, la mère et le père de Ali et de Mohamed Rahmouni se sont rendus immédiatement au commissariat, où l’officier de police a emmené la mère dans un bureau et a demandé au père de rester dehors, dans la cour. Puis ils ont ordonné à Ali de partir.

 

C’est alors que l’interrogatoire a commencé. Les officiers lui ont posé des questions sur les fréquentations de son fils Mohamed, s’il s’absentait souvent ou s’il sortait tard le soir. Ils l’ont sommé de leur expliquer toutes les démarches qu’elle avait entreprises. Elle leur a alors expliqué avoir pris contact avec SOS Disparus, avoir constitué un avocat, s’être rendue au tribunal, à la gendarmerie et dans les prisons d’Alger …

 

Les officiers de police lui ont alors rétorqué qu’elle n’avait pas à faire toutes ces démarches dans la mesure où son fils était « protégé puisqu’il est entre les mains de l’Etat ». Excédée Madame Rahmouni, a lancé « quel Etat ? L’Algérie toute entière est un Etat en elle-même ! Je veux savoir entre quelles mains est mon fils ! ».

 

L’officier de police lui a alors fait croire qu’il suffisait qu’elle lui donne son numéro de téléphone portable pour qu’elle puisse parler à son fils. Le téléphone a enfin sonné…

 

Cependant, ce n’était pas Mohamed à l’appareil mais une personne qui se prétendait journaliste du quotidien algérien Ech-Chourouk. Celle-ci a prétexté avoir été mandatée par SOS Disparus pour l’interviewer. La soi-disant journaliste est arrivée au commissariat et a interrogé Madame Rahmouni exactement comme l’avaient fait les policiers sur les fréquentations de son fils, les recours effectués, sur l’avocat qu’elle avait constitué … Ces manoeuvres innommables se sont soldées par la signature du procès verbal sans que Madame Rahmouni ne pense à le lire.

Dilem semble jouir d’une totale impunité en s’attaquant sans cesse aux lieux sacrés !

dilem.jpg

43 milliards de dollars, bien de la collectivité nationale chez BUSH

boutefbush.jpgIl a fallu que le Peterson Institute rende publique l’information pour que les Algériens le sachent. Environ la moitié de leurs réserves de change sont placées en bons du Trésor américain chez l’Oncle Sam ! 43 milliards de dollars d’après cette source et cette opération de « placement a débuté en 2000. c’est-à-dire un an après l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. En sept ans, il n’en n’a jamais informé le peuple algérien. C’est encore une fois la preuve du mépris à l’égard des Algériens. Les Américains, Bush, Cheney , Rice et compagnie le savent et le « ghachi » local est maintenu dans l’ignorance. Pourquoi, placer cettte somme colossale là-bas et pas dans des banques suisses, japonaises ou européennes ? Plus sûres, au demeurant, surtout si cette somme est convertie en un panier de devises pour palier aux aléas de cette monnaie de singe qu’est le papier dollar. Evidemment, c’est trop demander aux Chakib Khellil et consorts, eu égard à leurs liens supposés ou réels avec l’administration américaine.
Tout aussi choquant est le silence assourdissant des prétendus représentants du peuple (APN- Sénat) qui pour une telle affaire auraient du convoquer séance tenante des séances extraordinaires pour s’enquérir de cette initiative pour le moins discutable. Il est malheureusement vrai que ces occupants de sièges dorés ont d’autres préoccupations plus personnelles et plus lucratives: terrain de construction, primes, passeport du hajd, logements sociaux, voitures etc……
Le silence a été également leur attitude quand Belaid Abdeslem a publié son autobiographie gouvernementale. On pouvait y lire que des swap d’or ont été pratiqués, lesquels ont rapporté des centaines de millions de dollars à l’Algérie. L’absence de continuité de l’Etat, l’absence d’hommes d’Etat, l’absence de gens dignes de confiance fait que personne n’a rappelé que pour un swap d’or, l’ancien gouverneur de la Banque Centrale d’Algérie Hadj Nacer avait subi un lynchage médiatique orchestré par le tandem Kamel Belkacem – Mohamed Meguedem pour le compte des prédateurs du régime afin de faire main basse sur la banque d’Algérie. Aujourd’hui, c’est chose amplement faite. Aujourd’hui, et le cas de ces 43 milliards de dollars chez BUSH, en est une nouvelle illustration, l’argent de la collectivité nationale est l’objet d’un hold-up absolument extraordinaire , contre lequel personne – oui, personne – ne peut rien. Un Etat où la reddition de comptes est sacrilège, n’est pas un Etat. Bled Miki, république couscoussière, ripoublik, neverland ou republique kleptocrate…tout cela, réuni, ne suffirait pas à la qualifier.

 

A vos commentaires !

L’Algérie, huitième investisseur étranger aux Etats-Unis

Par samir allam le 21/08/2007
Le montant des investissements de l’Etat algérien aux Etats-Unis s’élève à 43 milliards de dollars, selon des chiffres publiés par Peterson Institute for International Economis. Ces avoirs, détenus via un fonds d’investissement créé par le gouvernement algérien en 2000, placent l’Algérie en huitième position des investisseurs gouvernementaux étrangers aux Etats-Unis. Notre pays est devancé par les Emirats Arabes Unis (entre 500 et 875 milliards de dollars), Singapour (de 200 à 430 milliards), la Norvège (380 milliards), le Koweït (174 milliards), la Russie (122 milliards), la Chine (66 milliards) et le Qatar (50 milliards). La majorité de ces pays, à l’image de l’Algérie, tirent leurs recettes des exportations pétrolières.

 

Les investissements algériens aux Etats-Unis sont divers et concernent plusieurs domaines. Mais, selon un banquier d’affaires interrogé par « Tout sur l’Algérie », « ces avoirs sont essentiellement placés dans des titres d’Etats qu’on appelle aussi des Bons du Trésor américain. Ce sont des emprunts obligataires de l’Etat américain, garantis et donc présentant peu de risques pour les investisseurs qui les choisissent. Les Etats-Unis qui ont besoin de s’endetter pour financer leurs projets publics font régulièrement appel aux pays qui ont des liquidités disponibles ».

 

Et c’est justement le cas de l’Algérie : avec l’envolée des prix du pétrole ces dernières années, notre pays dispose de réserves de changes records, estimées à plus de 80 milliards de dollars. Elles devraient même dépasser les 100 milliards d’ici à la fin de l’année 2007. « Les rendements de ces investissements varient selon plusieurs paramètres, notamment leur durée et les montants investis. Mais ils peuvent rapporter beaucoup à l’Algérie », souligne le banquier.

 

Aux Etats-Unis, le gouvernement algérien est conseillé sur les questions d’investissements par le cabinet d’avocats international Baker&Mac Kenzie que dirigeait l’actuel ministre français de l’économie Christine Lagarde (lire notre article). Mais la gestion des avoirs algériens restent entourés d’une opacité totale : le gouvernement ne rend compte à aucune instance, y compris l’Assemblée nationale, de sa stratégie en la matière. Une pratique qui devrait cesser au regard des montants concernés.

Un journaliste d’El Watan, l’histoire et les histoires

« Le FFS sur le pied de guerre » est le titre d’un article du journal El Watan, signé par Lyes Menacer. Ce dernier affirme que « le FFS compte faire appel à une société de gardiennage privée, à l’occasion de la tenue de son 4e congrès qui aura lieu les 5, 6 et 7 septembre à Zéralda, dans la wilaya de Tipaza ». Et personne ne sait d’où est sorti ce mensonge !

En parlant des commissions qui seront mises en place lors du congrès du FFS, le journaliste d’EL Watan a écrit que « La troisième et dernière commission sera composée de 234 membres et appelée au nom d’un autre militant de la cause nationale Kacem Ridoum. » Mon cher journaliste, le militant de la cause nationale ne s’appelle pas Kacem RIDOUM, mais Kacem ZIDOUN « l’un des premiers brillants diplomates militants arrêté à Oran le 1er novembre 1954, torturé, coupé en morceau et jeté à la mer dans un sac », dixit Hocine Ait-Ahmed.

Le journaliste d’El Watan a encore écrit : « selon nos sources, Hocine Ait Ahmed va procéder à l’inauguration de la nouvelle salle des conférences au niveau du siège national du parti. La salle portera le nom de l’ancien militant du parti, décédé en France en 1988, l’avocat Ali Mecili »

Au lieu de « décédé en France en 1988, l’avocat Mecili », le journaliste devait plutôt écrire « assassiné le 7 avril 1987, l’avocat Mecili »

Au lieu d’apprendre l’histoire, notre journaliste raconte des histoires !

« La Dépêche de Kabylie » n’assure pas son personnel et…

ladepechedekabyliecopy43.jpgLa Dépêche de Kabylie ne cesse d’insulter le FFS en colportant des mensonges via ses quelques correpondants de Kabylie. Alors que son bureau de Béjaia n’a pas écrit un mot sur le crime l’assassinat de Kamel Saadi par Smail Mira (durant les 13 jours de l’hospitalisation de la victime), un « journaliste », M.A.T de Tizi Ouzou vient d’écrire un « article » colportant des mensonges intitulé « un deal entre Ait Ahmed et Hamrouche ».

 

Savez-vous que La Dépêche de Kabylie ne déclare pas son personnel aux assurances sociales hormis 3 ou 4 journaliste ?
Savez-vous que La Dépêche de Kabylie fait signer à ses journalistes un contrat de travail en mentionnant que le signataire n’a pas le droit à une déclaration aux assurances sociales ?

 

La direction de ce journal doit s’occuper de ses journalistes au lieu de s’occuper du FFS. Les derniers résultats aux élections législatives obtenus par l’UDR doivent servir de leçon aux Benyounes.

Saadani – Bouteflika: les raisons d’un divorce

sadani1.jpgNous apprenons de sources bien informées que lors de l’hospitalisation du président Bouteflika au Val-de-Grâce, Amar Saadani, président de l’APN, avait entamné des négociations avec les décideurs dans le but de le nommer président du Conseil de la nation, en remplacement de Abdelkader Bensalah. Par sa manoeuvre, Saadani visait la succession de Bouteflika en cas de vacance du poste de président de la République. De retour au pays, Bouteflika a eu vent du complot. Depuis, le président a juré d’effacer Saadani de la scène politique.

 

Tant mieux !

Un autre « frondeur » du FFS rejoint le RND

Après avoir écrit sur le groupe de « frondeurs » du FFS de Ain Beniane qui avait rejoint le Parti des Travaileurs dont Mohand Ikhenoussen, membre du Conseil national (radié), nous apprenons qu’un autre élu de la commune et ancien premier secrétaire de la section FFS de la même localité (radié du FFS) a tout simplement rejoint le RND. Finalement tous cherchent à figurer sur les listes électorales de novembre prochain.

Qui sont les députés du RPR de Abdelkader Merbah ?

Peut-on pleurer le sort réservé aux « petits » partis politiques ? A voir les deux parlementaires issus des listes du Rassemblement patriotique républicain (RPR), il y a de quoi soutenir l’idée de la dissolution d’un tel « parti ».

Pour cause: à Béjaia, le député du RPR n’est autre que Smail Mira. Ancien maire FLN au temps du parti unique, puis maire « indépendant » avant de devenir DEC…Smail Mira n’est autre que l’assassin du jeune Saadi Kamel et de Ouali Hamza. Il est vrai que le père de Hamza, Mustapha Ouali, avait rallié Mira avant d’accuser le FFS « d’avoir excercé des pressions sur lui ». Ce que Mustapha Ouali ne risque pas d’oublier c’est que l’un de ses enfants avait bénéficié en 1999 du statut de refugiés politique en France sous prétexte que Mira avait assassiné son frère !!! Mustapha Ouali veut gagner en dinar et en Euros, d’ailleurs il était même dans le groupe des dialoguistes Taiwan au temps des Archs. Bref.

A chlef, le RPR a choisi de propulser Gharbi Mohamed, un entrepreneur de la région, à la tête de sa liste électorale lors des dernières législatives. Le nouveau député du RPR a la réputation de grand HAGGAR lorqu’il était élu du RND à l’APC de Chlef.
Durant cette période noire, Gharbi avait humilé un jeune ouvrier de la commune parce qu’il a osé critiquer sa gestion. Le pire c’est que cela s’est passé en l’absence de Gharbi. Dés qu’il a eu l’information, l’élu était fou furieux. Il s’était mis à la recherche du jeune ouvrier. Ce dernier était dans un café de la ville. Devant tout le monde, Gharbi avait obligé l’ouvrier à se mettre à genoux pour lui demander des excuses. Le jeune ouvrier avait excuté l’ordre de son « Maître ».

Qui a dit que la France n’est plus en Algérie ? El Mouhtarem

Smail Mira sous contrôle judiciaire ?

Selon le quotidien El Khabar, le juge d’instruction près la cour d’Akbou a ordonné la mise sous contrôle judiciaire du député Smail Mira, après l’avoir entendu dans l’affaire de l’assassinat du jeune Kamel Saadi dans la région de Beni Melikeche. Par ailleurs, les mêmes sources ont révélé au journal la version de Smail Mira. Selon ce dernier, le 13 juillet, il a été chargé d’une mission, dans la forêt de Yakourene, par le chef de la 5ème région militaire. De retout à Tazmalt, raconte Mira, il a été surpris par la présence du jeune Saadi Kamel qui faisait son jogging. Après lui avoir demandé les papiers d’identité, raconte encore Mira, le jeune Kamel aurait refusé, ce qui aurait provoqué une bagare. Selon Mira, deux balles sont sorties du canon du pistolet et ont atteint le jeune Kamel.

Questions: qui pourra croire cette histoire à dormir debout? Une bagare déclenchée entre Mira et Saadi? Qui a empêché les deux compagnons de Mira de se mêler pour défendre le chef de la milice? Saadi avait-il le courage d’arracher l’arme à Mira sans penser à la réaction des deux compagnons de Mira ? Qui pouvait garantir à Saadi que les compagnons de Mira n’étaient pas armés, donc pouvaient lui tirer dessus. El Mouhtarem 

 

 

 

Win yebwi wasif, ittataf deg nijel

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