Archive pour août, 2007

Belaid Abdesselam: Les excuses de la France ne sont pas nécessaires

1belaid1518elkhabar.jpgInvité de Fatour Essabah du quotidien El Khabar, l’ancien Chef du Gouvernement, Belaid Abdeslam, a estimé que la France n’avait pas à s’excuser pour ce qu’elle a fait durant l’ère coloniale. M. Abdeslam a indiqué : « je vais vous surprendre mais il n’y a aucune raison de demander ces excuses parce que tout simplement c’est impossible du point de vue pratique, car aucun pays ne s’est jamais excusé pour une agression sur un autre, à l’exception de ceux qui ont été défaits en guerre à l’instar de l’Allemagne nazi, quand à nous nous avons obligé la France à reconnaître notre indépendance et se retirer de l’Algérie mais nous ne l’avons pas vaincu pour la détruire, elle est aujourd’hui une puissance mondiale et ses excuses sont impossibles et improbables ». Pour ce qui est de la détermination de Bouteflika et son insistance sur les excuses, M. Abdeslam a indiqué que c’est parce que c’est le président et que par conséquent il essaye de concrétiser les souhaits de tous les citoyens.

Chemini (Béjaia) : L’assassin du patriote se rend

L’assassin du patriote du village Sidi Yahia, dans la commune de Chemini (wilaya de Bejaia), survenu dimanche dernier, s’est rendu de lui-même à la brigade de la gendarmerie d’Akfadou.
L’information a été confirmée hier par le Commandement de la gendarmerie nationale de Bejaia. L’assassin, âgé de 54 ans, est de la même famille que la victime dont il est cousin. Il aurait, semble-t-il, agi consciencieusement dans l’accomplissement de son forfait. Quant au mobile du crime, il reposerait sur les nombreux litiges existant entre le meurtrier présumé et sa victime, un patriote âgé de 70 ans répondant aux initiales de D.M.T., qui a été retrouvé mort, dans la journée d’avant-hier, égorgé et éventré à l’entrée de son village Aït Yahia, dans la commune de Chemini, à environ 60 km à l’ouest du chef-lieu de wilaya.

Manifestation à Paris pour dénoncer les «rafles» estivales

Environ 200 personnes ont manifesté hier soir à Paris, dans le quartier populaire de Belleville, pour dénoncer les «rafles» d’immigrés sans papiers durant l’été. Le rassemblement a été organisé par le Réseau éducation sans frontières (Resf) en pointe de la lutte contre l’expulsion de parents sans papiers ayant des enfants scolarisés en France. Il était dédié à Ivan, un jeune Russe de 12 ans en situation irrégulière grièvement blessé jeudi en chutant du 4e étage de l’immeuble où il vivait avec ses parents à Amiens, alors que des policiers venaient les interpeller. «Nous ne voulons pas de cette violence faite aux familles et aux valeurs de la France», a déclaré le représentant du Comité central de la Ligue des droits de l’Homme (LDH), ajoutant : «Nous ne voulons plus de cette xénophobie d’Etat qui s’exerce sur les étrangers et ceux qui sont censés l’être.» La représentante de Resf Paris a raconté, pour sa part, que le début de la manifestation avait été marquée par «une dizaine de policiers qui faisaient des contrôles au faciès dans la station de métro : l’homme noir, qu’ils ont embarqué s’est avéré être Français ! C’est une vraie provocation !» «La solution n’est pas l’expulsion de ces gens, ils sont trop nombreux, ils reviendront, il faut trouver une autre solution, une logique globale d’autant qu’aux immigrés économiques et politiques s’ajouteront bientôt les immigrés climatiques», a estimé le maire du XIe arrondissement de Paris.

Tizi Ouzou: 2 kidnappings en une semaine

La wilaya de Tizi Ouzou a enregistré, hier, le deuxième kidnapping en moins d’une semaine. Selon des sources sûres, A. A. âgé de 34 ans et fils d’un commerçant a été enlevé, hier vers 21 h, dans la commune de Draâ El-Mizan.
La victime était avec son père (commerçant) à bord de leur véhicule quand ils sont tombés dans un faux barrage dressé par trois individus armés et agissant à visage découvert, au lieu dit Chréa Thazrout.
Les ravisseurs ont forcé A. A. à les suivre et ont laissé partir le père à qui, une rançon de un milliard de centimes a été exigée contre la libération de son fils.
A noter que mercredi passé, 06 individus armés ont enlevé à Berkouka (Maâtkas) le fils d’un autre commerçant. Un émigré âgé de 32 ans. Une rançon de 600 millions de centimes a été exigée de sa famille. Il est toujours en captivité.

 

S. M. S

Karim Tabbou: « Nous voulons que Aït Ahmed reste aux commandes »

Les militants du FFS sont décidés à demander au président du parti de garder son poste. C’est ce qu’a affirmé le premier secrétaire du parti, Karim Tabbou, dans l’entretien qu’il nous a accordé hier. Selon lui, le leader du FFS garde toujours ses capacités physiques et intellectuelles lui permettant de servir le parti. L’orateur dément, dans la foulée, l’information donnant l’ex-chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, comme éventuel successeur de Hocine Aït Ahmed à la présidence du FFS. Mouloud Hamrouche, indique-t-il, est et restera un partenaire politique très proche du parti, sans plus.

 

- Vous n’êtes plus qu’à quelques semaines de la tenue du 4e congrès du FFS. Où en est le parti dans la préparation de cette importante échéance ?

 

- Nous avons réuni toutes les conditions permettant la réussite du congrès. L’essentiel de notre travail a été axé sur les questions de politique interne, l’examen des différents dossiers qui feront l’objet de débats et la mise en place d’une meilleure représentation des militants au congrès. Il est vrai que la démocratie exige plus d’efforts et plus de conditions de travail, ce qui a amené donc la direction nationale à préciser les modalités permettant à la fois de réaliser une représentation démocratique dans le parti et aussi concrétiser les objectifs fixés par le parti, à savoir l’ouverture vers la population, vers les acteurs politiques et sociaux autonomes. Je suis très heureux de voir que le parti fonctionne dans un climat apaisé et qu’il y a une cohérence et une communion retrouvées entre les différentes instances. Aucun compartiment n’a été tenu en marge. Donc nous avons une large représentation féminine, une présence particulière d’anciens militants de 1963, des acteurs politiques et sociaux à qui nous avons adapté des mécanismes de participation et une présence particulièrement intéressante des wilayas de l’intérieur du pays. Déjà, je peux vous dire qu’une quarantaine de wilayas seront représentées par des délégations fortes et qui ont des propositions concrètes à faire.

 

- Quel est le nombre de congressistes devant prendre part aux 4e assises du parti ?

 

- Nous avons choisi d’intituler notre congrès : le congrès du millénaire. Le premier dossier à débattre est celui des objectifs du millénaire en faisant de la déclaration des Nations unies une base de travail et un socle politique, économique et social. Parallèlement nous avons introduit dans l’organisation du parti un certain nombre d’amendements qui sont tirés de notre expérience sur le terrain. Nous allons créer un atelier qui va débattre essentiellement des statuts et des chartes en vue d’élaborer la charte du militant, celle de l’élu et la charte politique du parti ainsi que les statuts internes. Le troisième atelier sera constitué des questions politiques (audit politique du pays et analyse de la situation générale du pays). Environ 42 wilayas seront représentées au congrès. Les six wilayas restantes seront représentées symboliquement. Le nombre de congressistes varie entre 1000 et 1100 élus essentiellement par la base militante. Ajoutez à ceux-ci tous les invités du parti.

 

- On évoque avec insistance le nom de Mouloud Hamrouche comme éventuel successeur de Hocine Aït Ahmed à la tête du FFS. Qu’en est-il exactement ?

 

- Nous sommes dans un pays où les absurdités deviennent des produits médiatiques. Pour être précis, Mouloud Hamrouche ainsi que d’autres personnalités politiques ont eu à partager avec le FFS des positions politiques et des démarches. J’ai eu à le dire plusieurs fois que nous sommes un parti qui refuse que des regroupements se fassent par un phénomène d’association de sigles ou d’appareils. Toutes les actions doivent se faire sur la base de convictions, d’idées et de valeurs communes. Je peux vous affirmer que nous avons beaucoup de valeurs communes avec Mouloud Hamrouche, Abdelhamid Mehri et d’autres personnalités qui ont eu à partager avec le FFS son combat, ses idées et ses prises de positions. La convergence s’est créée d’elle-même et tout naturellement dans l’exercice de la politique et non pas dans les rencontres de salons. Mouloud Hamrouche est une personnalité crédible que les militants du FFS respectent. Le parti en fait un partenaire privilégié. Nos rencontres et nos échanges sont essentiellement d’ordre politique. Il n’est pas du tout envisagé d’aller vers des alliances de type organique puisque nous sommes un parti politique avec nos structures et nos instances. Mouloud Hamrouche est une personnalité politique qui a ses conseillers, son cabinet et ses proches. A chaque fois qu’il y a un besoin qui se fait sentir, que ce soit de nous vers lui ou de lui vers nous, nous avons une tradition de rencontres, d’échanges de points de vue et de recherche de la compréhension de ce qui se passe dans le but de trouver les solutions à envisager. Quant à l’information donnée par la presse, les journalistes qui l’ont donnée n’ont pas pris le soin de la vérifier ni auprès de Mouloud Hamrouche ni auprès du FFS. Mais derrière cette opération, il y a quelque chose qui est visé et qui n’a pas été clairement dit. J’ai l’impression que les articles faits sur la question cachent une arrière pensée qui est celle de vouloir précipiter la fin d’Aït Ahmed. Une personne qu’elle soit morale ou physique ne doit pas être évaluée en fonction de la page dans laquelle elle est inscrite dans le livret de famille. Elle doit être évaluée plutôt en fonction de sa capacité d’analyse, de sa production et d’observation. Je pense que Aït Ahmed a non seulement la force qu’il faut, mais il recèle un potentiel intellectuel, un engagement, une lucidité dans l’observation politique et une analyse de la situation qui dépasse les capacités de beaucoup de ceux qui se considèrent comme homme politique dans ce pays. Il est l’un des rares hommes politiques à faire autant de déplacements et à mener autant d’activités et à produire autant d’analyses. Donc, même si Aït Ahmed demandait à ce qu’il soit déchargé d’une responsabilité quelconque, la majorité pour ne pas dire la totalité des militants du FFS vont exiger de lui à ce qu’il continue à gérer le parti et à être le président du parti et assumer ses responsabilité de militant.

 

- Est-ce qu’on peut comprendre par là que Aït Ahmed sera candidat pour briguer un nouveau mandat à la tête du FFS ?

 

- Je peux vous donner la moitié de la réponse. Les militants du FFS sont décidés à exiger de lui de garder sa fonction et de continuer à gérer les affaires du parti. Mais je vous invite quand même à poser la question à Monsieur Aït Ahmed, après tout il est le premier concerné.

 

Maintenant que la présence du président au congrès est confirmée, peut-on savoir quand rentrera-t-il au pays et y a-t-il un programme spécifique qu’il va mener avant le début des travaux du 4e congrès ?

 

Il va être présent le jour du congrès, mais je ne peux pas vous donner une date précise ni de son entrée au pays ni de son programme pour une raison très simple : dans la préparation du congrès, nous avons une commission nationale de préparation du congrès qui fait une évaluation permanente de la préparation et qui fixe les conditions de déroulement du congrès en amont et en aval. Une fois que l’évaluation est faite, un rapport, conformément aux textes du parti, sera présenté au président du parti. C’est lors de cette séance de travail que la date de son entrée au pays va être fixée définitivement.

 

- Ça ne se fera pas avant le 20 août…

 

- Ça m’étonnerait. La célébration du 20 août est une activité traditionnelle que nous faisons chaque année. Ce n’est pas une activité que nous avons improvisée.

 

Madjid Makedhi

Attentat contre l’ancien chef de l’AIS Mustapha Kartali

kertali.jpgL’ancien chef de l’ex-Armée islamique du salut (AIS), Mustapha Kartali, a été grièvement blessé ce matin à l’aube dans un attentat à la bombe attribué à un groupe islamiste armé, a rapporté l’AFP citant les services de sécurité. Mustapha Kartali, 55 ans, s’installait dans sa voiture à la sortie d’une mosquée de Larbaâ, dans la wilaya de Blida, où il venait d’accomplir la prière d’El-sobh lorsqu’une bombe a explosé dans le véhicule, selon la même source. Grièvement blessé, il a été transporté à l’hôpital de Z’mirli, à El-Harrach. Il serait dans un état critique, toujours selon l’AFP. Ancien maire de Larbaâ, élu du Front islamique du salut (FIS, dissous), Mustapha Kartali avait rejoint l’AIS, bras armé du FIS. Il s’était rallié ensuite au Groupe islamique armé (GIA), dont il était devenu l’émir de la katibat Errahmane. En 1999, il avait bénéficié des mesures de la Concorde civile prises par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en faveur des éléments armés repentis. Il s’est converti depuis dans les affaires.
L’ancien terroriste a été amputé d’une jambe.

Où ira Wahid Bouabdellah? Demandez-le à la presse !

Selon le quotidien Le Soir d’Algérie, une guerre de coulisses est engagée pour la succession de feu Tayeb Benouis à la tête d’Air Algérie. Outre l’ex-député Wahid Bouabdellah qui mobilise ses relais, pour prendre la tête de la compagnie nationale, le ministre des Transports, lui aussi, n’a pas manqué de “sortir” son candidat, affirme-t-on de bonne source.
Pour sa part, le quotidien El Khabar donne Wahid Bouadellah comme successeur de M. Khenchoul (actuel député FLN de la wilaya de Constantine) à la tête de la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS). Pour rappel la même information a été donnée par le quotidien Le Courrier dans son édition du 16 juillet 2007. A rappeler que Bouabdellah avait occupé les poste de P-DG de Cosider, ANEP, CNEP.

Les « frondeurs du FFS » et la conférence des cadres

fronde.jpgDésormais, les « frondeurs » du FFS ne savent plus où se donner de la tête. Ils courent dans tous les sens. Certains animateurs de la « fronde » sont signaler tantôt à Béjaia tantôt à Alger…Ils cherchent des soutiens. Ils veulent organiser une conférence nationale des « cadres » du FFS. Elle se tiendrait dans une des villes cotières de Kabylie. Par ailleurs, nous avons appris d’une source proche du FFS l’exclusion définitive de trois militaints du FFS immigration. Il s’agit de M. Farid Aissani, M. Mahfoud Yanat et de Melle Nadia Taalba.

4 Algériens maltraités en Libye

kadafidrelkhabar1.jpgQuatre jeunes algériens résidants dans la capitale libyenne Tripoli se sont vus infliger toutes sortes de torture par les services de sécurité libyens durant 20 jours où ils étaient déplacés entre des centres de police et des institutions pénitentiaires dans des circonstances confuses sans être accusés de quelconque infraction. L’opération s’est terminée par leur expulsion des territoires libyens via un visa de sortie. Les quatre jeunes qui ont regagné Alger hier matin sont toujours sous le choc. La souffrance intense, physique et psychique, l’humiliation et la privation des droits, ont orné les vingt jours «cauchemar» des ressortissants algériens. Leur premier réflexe était de confier à El Khabar les affres qui leur étaient infligés. Les bourreaux jouaient ainsi la carte de l’intimidation en déballant très lentement la trousse de torture pour extorquer des confessions et contraindre les ressortissants à travailler comme des agents des services secrets libyens. Les jeunes algériens ont dévoilé la manière on ne peut plus dégradante lorsqu’ils ont été enfermés dans un cachot avec des détenus libyens atteints du SIDA sans aucune précaution pour éviter la contagion. Ils sollicitent ainsi l’intervention du ministère des affaires étrangères pour connaître des motifs de leur détention et ils affichent leur disposition à soumettre leur cause aux organisations des droits de l’homme.

La succession d’Aït Ahmed n’est pas à l’ordre du jour

haa.jpg«Parler de la succession d’Aït Ahmed aujourd’hui, c’est faire preuve d’une grande violence envers les militants du Front des forces socialistes (FFS).» C’est ce qu’a affirmé M. Karim Tabbou, premier secrétaire du vieux parti d’opposition. M. Tabbou expliquera que la question de succession d’Aït Ahmed ne se pose même pas au sein du parti. «C’est un débat que nous n’avons pas abordé», précise le premier secrétaire du FFS, avant d’ajouter : «L’évaluation des capacités d’une personne à gérer une formation politique n’est pas tributaire de sa date de naissance mais plutôt de ses capacités d’analyse, de sa maturité politique, de son bon sens et de son habilité à gérer et à mobiliser autour de lui.» L’occasion pour M. Tabbou de rappeler que «M. Hocine Aït Ahmed recèle un potentiel inépuisable et une expérience politique inégalable. C’est une des rares personnalités politiques qui continue à faire des interventions régulières. La dernière en date ne remonte pas à plus loin que 15 jours, lors dune réunion de l’Internationale socialiste». Quant aux rumeurs concernant l’élection d’un nouveau président du parti lors du prochain congrès, tout en conservant à M. Aït Ahmed la présidence d’honneur, M. Tabbou sera formel : «Nos préoccupations sont très loin de tout cela. Le débat ne s’est jamais posé en ces termes à l’intérieur du parti», déclare-t-il, avant de préciser : «Je crois même que si, aujourd’hui, Aït Ahmed souhaite être déchargé de ses responsabilités, il se heurtera à une forte volonté des militants qui souhaitent le voir toujours à la tête du FFS.» Quant aux allusions de certains journaux à de probables successeurs à leur dirigeant, M. Tabbou dira que la relation qu’entretient le FFS avec certaines personnalités «est d’ordre politique et non organique». Il expliquera, dans ce sillage, que le FFS a toujours été allergique aux associations des sigles et aux alliances d’appareil.
«En accompagnant la société dans ses choix, le FFS est toujours convaincu que l’alternative démocratique se construit autour d’objectifs et d’idéaux communs à un certain nombre d’acteurs politiques crédibles». Le FFS, qui se considère comme l’«héritier des valeurs du congrès de la Soummam», choisira toujours ses partenaires parmi ceux qui «restent fidèles au congrès d’Ifri Ouzellaguen». Le FFS organisera, d’ailleurs comme chaque année, son rassemblement sur les lieux du congrès le 20 août prochain.
Un rassemblement auquel ne prendra pas part M. Aït Ahmed, informe M. Tabbou. Les responsables du parti visiteront, comme d’habitude, le musée du congrès et se recueilleront, avec tous ceux qui assisteront à son rassemblement, à la mémoire des martyrs de la révolution.
Un dernier test de la capacité de mobilisation de la direction du parti avant son congrès. Un congrès auquel prendra part M. Aït Ahmed et qui se déroulera les 4, 5 et 6 septembre prochain. Le lieu du congrès n’a pas encore été arrêté par sa commission préparatoire. Elisant son prédisent, la commission préparatoire du 4ème congrès du FFS est sur le point de finaliser son rapport. Un rapport qui permettra au parti de ficeler les préparatifs du congrès.

 

G. H.

1...345678

FRONT NATIONAL - Bouches-du... |
Mouvement des Jeunes Social... |
15ème circonscription du No... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sagvar, le Roman Noir de la...
| Sarkophage
| UES - Claude WEBER