Les pieds noirs déboutés et 120 mille juifs espèrent encore
Le ministère algérien de la justice a reçu dernièrement la décision finale prononc é par la commission des droits de l’Homme issue du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, la décision en question déclare irrecevable la plainte n°1424/2005 déposée par le ressortissant français surnommé « Armoune Antoun » le 1 novembre 2006, représenté par l’avocat français Maître Alain Garay contre la République Algérienne et par laquelle il exigeait la restitution de ses biens en Algérie. L’origine de cette affaire remonte à 1962 quand « Armoune Antoune » né le 18 novembre 1909 à Oran et qui a quitté sa ville natale en juillet 1962 laissant derrière lui tout ses biens immobiliers et autres possessions, s’est adressé aux autorités françaises pour recouvrir ses biens et demander des réparations. L’homme en question s’est présenté directement à la commission des droits de l’Homme sans passer par les procédures de recours internes prétextant leur caducité, sachant que ces procédures constituent un passage obligé afin de s’adresser à cette commission, en vertu des dispositions du premier Protocole facultatif du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Suite au transfert du dossier par la commission vers les autorités algériennes compétentes afin qu’elles puissent répondre à cette plainte, le ministère de la justice, en coordination avec le ministère des affaires étrangères, a adressé une réponse en bonne et due forme concernant ces allégations proférées par le ressortissant français et qui charge l’Etat algérien de manquement au Pacte international relatif aux droits civils et politiques ratifié par l’Algérie le 16 mai 1989 notamment ses articles 1,12,17,27,et 2 alinéas 1 et 26. Après délibération des membres de la commission, une fin de non recevoir a été opposée à la plainte de M. « Armoune Antoun » avec 14 voix sur 15. A rappeler qu’environ 120 mille juifs qui ont quitté l’Algérie après l’indépendance, exigent des réparations pour leurs biens laissés derrière eux estimés à 144 millions $. Les associations de défense des droits des pieds noirs ne sont pas à leur premier coup d’essai, 600 dossiers ont été soumis à la commission onusienne pour forcer l’Algérie à leur indemniser les biens laissés après l’indépendance mais la décision de la commission est considérée comme « pilote » et donc applicable aux 600 autres communications portant sur le même sujet. El Khabar
moi je suis pour les algeriens qui ont combattu les collons et intrus mais pas pour les collabos, il y a surement des juifs qui ont soutenus la cause algerienne du temps de la guerre .mais je pense que ceux la sont bel et bien morts….
ceux qui pleurent l aglerie de leur enfance et de leurs jeunesse sont admis en algerie non?
je ne soutiens pas la cause perdu de ces gens là car ils savent t bien qu ils n auront jamais le benefice ni l acquisition de quoique ce soit.
Bonjour,
Je pense que la diversité éthnique et multiculturelle, et a postériori multiconfessionnale a toujours été un facteur de rennaissance et de progrés.
Les exemples ne manquent pas dans l’histoire ,ou les nations ou dynasties multi-éthniques sont parmis les plus déveloopées…
Dans quel contexte s’est éffectué l’exode massif de tous les pieds noirs (Juifs ou autres)?
Je ne saurais y répondre;cependant mon intime conviction est que la guerre aussi justifiée et justifiable qu’elle puisse être est toujours injuste!!!
Pour les juifs la plupart étaient d’origine mauresque c’est à dire vivant ici depuis des génération bien avant l’arrivée de la france.
Pour les colons on peut les diviser au moins en deux voir quatre composantes!
1- Les soldats conquerants! quelques uns sont venus accrocher des galons de généraux apres les amères defaites de l armée française ,d’autres mercenaires,d’autres de simples executants qui ont finis par s’installer.
2- Les premiers colons arrivés juste après 1830,la plupart des gueux ruinés en France dont on a voulu se débarrasser pacequ’ils formaient des foyers de subverstion (Source Charles André Julien).
3-Les missionnaires Evangéliste toujour opportunistes dont l’influence avec l’avenement de la laicité devenait de plus en plus faible.
4- Les colons arrivés bien aprés le decret cremieux,c’est a dire les non français,et qui ont finis dans leurs majorité dans l’OAS.
Peut-on concevoir notre Algérie en 1962 et toutes les tensions et la haine que sept ans de guerre abject avait généré???
toujours est-il,que parmis les gens de l’exode il n’y avait pas que des colons ou des Harkis!
Même des historiques ont soit été tués arbitrairement (cas abane etc),ou bien isolé politiquement et voué a l’exil (Boudiaf,Moufdi etc..) ou contraint de remonter au maquis (Hocine Ait Ahmed)…
Notre peuple lui même a été spolié de son independance et continue a ce jour!
Tous ces gens qui ont quitté l’Algérie,étaient des compétances soit des cadres soit encore des gens de metiers manuels tres utiles a notre pays principalement en Agriculture!
Il est certain qu’il n’y aura pas d’Algérie réeelement independante et démocratique sans tous ses enfants reconciliés quelque soit leurs races ou leur confession
« Il est certain qu’il n’y aura pas d’Algérie réeelement independante et démocratique sans tous ses enfants reconciliés quelque soit leurs races ou leur confession »dixit slimane hamouche
je tiens a te signalé qu’il ya qu’une seule race c’est la race humaine
pour le reste les différence de genre, couleur,relégion…c’est evolution dans le temps
pour le reste ton analyse retienne mon attention merci a toi
Patrick HIERARD
Quand je serai grand, je ferai Berbère
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COLLECTION PAROLES D’HOMMES
Laissez vous entraîner par la saga de Maurice, l’orphelin de Lorraine, qui débarque au Maroc en 1926 pour y mater la révolte des tribus d’Abdel Krim, mais Maurice déteste cette guerre coloniale. Suivez-le quand il s’opposera à l’armée américaine de Patton qui débarque au Maroc pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il aime passionnément le Maroc, mais Maurice sera pris dans la tourmente de ce pays qui cherche son indépendance. Meurtres sauvages d’Européens, réponse tribale de l’armée française et c’est l’engrenage dramatique. Il échappera à des attentats, il ne vivra plus qu’avec son revolver et sa grenade dans la poche.
Le calme revient, Maurice trouve sa voix au Sud marocain en aidant les fellahs à développer leur agriculture, il est aimé et respecté, Maurice c’est sur mourra au Maroc.
1965, le retour mystérieux vers la France : il découvre l’affreux nom de « Rapatriés », il est un étranger dans son propre pays, il souffre et sa famille aussi. C’est alors la longue adaptation à son nouveau pays. Maurice a 60 ans…
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