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Archive pour septembre, 2007

L’islamophobie en débat à Cordoue


L’islamophobie en débat à Cordoue dans Monde j01mnoUne conférence sur la discrimination et l’intolérance envers les Musulmans aura lieu les 9 et 10 octobre à Cordoue (Andalousie- sud de l’Espagne), avec la participation de représentants de «haut niveau» des 56 Etats de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (Osce), indique un communiqué du ministère espagnol des Affaires étrangères. Au cours de cette rencontre, les participants examineront les « racines de la discrimination envers les musulmans, ses conséquences et le rôle des médias », et pencheront également sur la contribution de l’éducation dans la réduction de l’intolérance. La conférence, qui sera dirigée par l’actuel président de L’Osce et ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, verra également la participation de plusieurs ONG qui se réuniront préalablement, le 8 octobre, à Jaen, près de Cordoue. M. Moratinos s’était déjà exprimé sur ce problème alarmant qu’est l’intolérance envers les musulmans. L’Osce a organisé depuis 2004 plusieurs conférences et réunions, en Europe, sur l’intolérance, le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie.

Affiche de la campagne que lance RSF sur le Maroc

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SMain Lamari a infiltré l’armée française à l’âge de 8 ans !!!!

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Depuis l’arrivée du « journaliste » Anis Rahmani à sa tête, le quotidien Echourouk ne cesse de surprendre ses lecteurs. En effet, en date du 31 août 2007, une journaliste de ce quotidien a consacré deux pages entières à la vie du Général-major SMain Lamari. Dans son écrit, la journaliste Souad Azouz a affirmé, sans avoir honte, que SMain Lamari a infiltré l’armée française à l’âge de 8 ans !!!! Drôle de presse.

Algérie : huit blessés dans l’explosion d’une bombe à Zemmouri

 

 

Huit personnes ont été blessées, dont deux grièvement, dans l’explosion vendredi à 18H30 d’une bombe artisanale à l’entrée d’une résidence de policiers à Zemmouri, dans la wilaya de Boumerdès. L’explosion s’est produite quelque minutes avant la rupture du jeûne. La bombe était placée dans un sac en plastique à l’entrée de la résidence où vivent des policiers et leurs familles. Parmi les blessés, deux ont été amputés des deux jambes.
Il est à souligner que l’attentat a eu lieu deux heures après la diffusion de la Déclaration de Messieurs Hocine AIT AHMED, Abdelhamid MEHRI et Mouloud HAMROUCHE. « Gravement préoccupés par un possible nouvel engrenage de la violence« , peut-on lire dans la déclaration des trois personnalités politiques

Déclaration de Messieurs: Hocine AIT AHMED, Abdelhamid MEHRI et Mouloud HAMROUCHE

 

 

 

 

 

 

haamehriham1.bmpAffligés par la situation que vit notre pays et gravement préoccupés par un possible nouvel engrenage de la violence :
- Nous condamnons, sans appel, tous les attentats, partageons la douleur des familles des victimes et leur exprimons notre entière solidarité ;
-
Nous affirmons avec force que terreurs et violences ne sont pas les voies de l’espérance;
-
Nous clamons que la négation du politique, la répression et l’exclusion ne sont pas des solutions aux multiples difficultés et impasses que connaît le régime ;
-
Nous sommes convaincus que la mise en place d’un processus de démocratisation du pouvoir, de son exercice et de son contrôle constitue le chemin de la sécurité nationale, de la stabilité et de l’espoir.
-
Nous sommes persuadés que toutes les composantes de la société s’impliqueraient et s’engageraient dans la concrétisation d’un tel processus ;
-
Nous restons préoccupés par l’évolution de la situation du pays et disposés à apporter notre contribution à la recherche de solutions de sortie de crise dans toutes ses dimensions.

Fait à Alger, le vendredi 14 septembre 2007

À qui profite la violence actuelle en Algérie ?

     

L’Algérie semble aujourd’hui revenir à la même situation que celle des années noires : attentats, enlèvements, tortures… Seules nouveautés : les attentats-suicides, jusqu’ici inconnus et, en lieu et place du GIA, le GSPC.

Or, le GSPC a toujours bénéficié du soutien de la population dans les zones où il est implanté (les maquis de Khemis El Khechea, de Mizrana et de toute la Mitidja-Est) car s’étant toujours abstenu de s’attaquer aux populations civiles et ce, contrairement au GIA, dont on sait qu’il était infiltré par les services secrets algériens (DRS), comme en témoigne – chose inédite – même la presse algérienne aux ordres, dont le quotidien « Liberté ».

Ce changement dans le modus operandi du GSPC révèle, à notre sens, que ce groupe armé fait l’objet de manipulations opérées par le DRS – comme il l’a fait dans les années quatre-vingt-dix avec le GIA – pour rallier la population civile aux détenteurs du pouvoir, d’une part forts de leurs appuis occidentaux dans la guerre contre cette bien commode internationale terroriste qu’est la Qaida et son principal relais algérien, le GSPC, mais d’autre part aux abois, car incapables de sortir le pays du marasme social et économique.

Il est utile de rappeler que, à l’époque, le DRS manipulait les groupes du GIA non pas pour les anéantir mais pour leur fixer une cible : la population civile. Celle-ci finira par soutenir le pouvoir en acceptant les armes largement distribuées par les centres opérationnels (CTRI) du DRS, notamment dans les localités réputées acquises au GIA. Citons, à titre d’exemple, les douars de Amroussa et les communes de Ouled Slama et de Bouinen entre autres…

Il est évident que cette stratégie de la terreur, appliquée avec succès dans les années quatre-vingt-dix par le DRS, semble retrouver son utilité dans un contexte de fin de règne : le président Bouteflika malade, se pose d’ores et déjà le problème de sa succession comme celle du numéro 2 des services secrets après le récent décès du général Smain Lamari qui était personnellement en charge du dossier de la lutte « antiterroriste », à l’intérieur comme à l’extérieur du pays.

Paré de sa notoire opacité, la junte algérienne vise donc encore une fois à tétaniser la population. Il convient de souligner que ce sont les mêmes généraux, dont certains en retraite apparente, qui tirent encore et toujours les ficelles : Mohamed Mediene, Larbi Belkheir, Mohamed Lamari, Fodhil Cherif, Khaled Nezzar pour ne citer que ceux-là, veulent faire un remake de la décennie noire pour se proclamer de nouveau les sauveurs de la République face au « péril vert ». Cette fois-ci, il est peu probable que la population algérienne retombe dans le piège de ce discours car elle en a payé un lourd tribu : des violations massives des droits humains – qui vaudraient de longues années de prison à ces généraux comme à leurs affidés civils – au lieu de la paix et de la prospérité promises au lendemain du coup d’État de janvier 1992.

Autre carte que le DRS est tenté de jouer, c’est Ali Benhadj, numéro 2 de l’ex-FIS dont les récents propos incendiaires contre les putschistes ont donné lieu à son arrestation. Ali Benhadj serait bien inspiré de s’abstenir de toute déclaration, aussi juste soit-elle, susceptible d’apporter de l’eau au moulin aux putschistes.

A. Tigha, ex-agent des services secrets algériens, réfugié aux Pays-Bas et A. Koutchoukali, Justitia Universalis, ONG des droits humains, La Haye, Pays-Bas

 

 

11 septembre 2007

Congrès du MAK: Zerhouni interpellé

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Selon le quotidien El Khabar, un groupe de députés a pris l’initiative d’interpeller le ministre de l’Intérieur Yazid Zerhouni sur la tenue du congrès constitutif du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie.

Ali Benhadj libéré ce matin

benhadj.jpgAli Benhadj, interpellé dimanche à Alger par la police, a été relâché tôt ce matin, mardi, sans être inculpé. «J’ai été libéré ce matin aux environs de 06h30 GMT, sans qu’aucune inculpation m’ait été signifiée», a déclaré Ali Benhadj à l’AFP. «Tout ce qui m’a été dit oralement, c’est que le parquet pourrait me convoquer à nouveau à une date qui ne m’a pas été indiquée», a-t-il ajouté en soulignant qu’il n’avait «pas été brutalisé, ni maltraité» par la police. Ali Benhadj, interpellé dimanche vers midi à son domicile, a indiqué à la même agence qu’il avait appris lors de son interrogatoire que son interpellation était notamment en rapport avec ses déclarations concernant le général-major Smaïn Lamari décédé d’une crise cardiaque le 28 août. «J’ai dit aux enquêteurs que j’ai critiqué un homme public, qui a dirigé l’une des principales institutions de l’Algérie.» Ils m’ont aussi interrogé sur un délit d’usurpation d’identité parce que j’ai signé un communiqué en ma qualité de vice-président du Front islamique du salut (FIS dissous). Concernant la détention à domicile de livres et de cassettes vidéo et audio à «caractère subversif», M. Benhadj a affirmé avoir dit à ses interlocuteurs qu’il était «un homme de culture, qui lisait beaucoup et qu’il était de son droit de s’informer».  

Karim Tabbou désigné premier secrétaire du FFS

Le président du FFS, Hocine Aït-Ahmed a procédé ce matin, lors de la session ordinaire du conseil national, à la désignation de Karim Tabbou au poste de premier secrétaire du FFS pour un mandat de deux ans.

Une question qui veut une réponse!

A quelques jours des élections législatives du 17 mai 2007 en Algérie, Qaïdat Al-Jihad Fil Maghreb Al Islami (QJMI) a appelé les Algérien à boycotter le scrutin. Pourquoi QJMI n’a pas lancé un appel au boycott des élections législatives qui viennent de se passer au Maroc ?

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