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Archive pour le 8 octobre, 2007

Bouira : incursion terroriste dans un café

Hier soir aux environs de 23h 30, un groupe de terroristes composé de quatre éléments armés a fait irruption dans le hameau de Taghzout, à 7 km au nord du chef-lieu communal d’Ouled Rached, localité située à une vingtaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya. Le groupe avait dressé un faux barrage sur le CW 11, et avait braqué un automobiliste en lui subtilisant sa voiture. Arrivés dans le petit hameau, les terroristes se rendront dans un café maure de la localité pour y racketter les citoyens. A l’intérieur du café se trouvaient plusieurs personnes dont M. Gouizi, un policier en civil. Ce dernier voyant qu’il n’avait aucune chance de s’en sortir vivant, tirera le premier en abattant un des terroristes. Les terroristes, voyant un des leurs à terre, riposteront en tirant sur les consommateurs, les mitraillant sans discernement. Le policier et deux de ses cousins sont morts sur le coup tandis que les terroristes se sont enfuis à la faveur de la nuit en direction des maquis d’Ighzer Oumencher, dans la vaste forêt de Tamellaht.

Karim Tabbou dénonce les entraves de Zerhouni

tabbou2.jpgLe FFS, par la voix de son premier secrétaire Karim Tabbou, se dit fin prêt malgré les entraves administratives rencontrées lors de la constitution des dossiers et l’obtention des pièces administratives des candidats.
M. Tabbou reste, par contre, peu prolixe sur le nombre des communes dans lesquelles le FFS compte présenter des candidats en se limitant à dire que le parti a achevé 80 % des listes. Le porte-parole du FFS indique, sans en faire une revendication, que plus de temps permettrait de mieux élaborer les listes.
En outre, notre interlocuteur n’a pas mâché ses mots pour vilipender la circulaire du ministre de l’Intérieur envoyée aux partis politiques et qui exige un certificat de nationalité en sus d’une carte de vote au candidat. «Au lieu de concentrer leurs revendications sur les délais, les partis feraient mieux de demander au ministre de l’Intérieur si la carte nationale d’identité ne fait pas office de certificat de nationalité», fulmine-t-il, en qualifiant ces mêmes formations politiques de «salles d’attente» des instructions de Zerhouni qui préfèrent l’immobilisme à l’action. «Nous ne sommes pas dans cette posture.
Le FFS est le seul à réagir contre les entraves de l’Administration. Ils (partis, NDLR) ne veulent pas susciter la colère de Zerhouni», conclut-il. H.L, Le Jeune indépendant

LADDH: la guerre des clans

Nous apprenons de sources proches de la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH) qu’une guerre est déclenchée entre le clan du président d’honneur de la Ligue Ali Yahia Abdennour et le président de la Ligue Hocine Zehouane. Le groupe de Ali Yahia veut renverser le président de la LADDH et ce dernier veut se débarasser de Abdennour. Et les droits de l’homme? On verra du côté des fondations étrangères. Qui arrêtera la guerre entre l’ancien ministre de Boumediene et l’ancien membre du bureau politique de Ben bella? Ce n’est certainement pas L’ANCIEN ! Nous y reviendrons avec des détails.

Colère des candidats libres à Relizane

Plusieurs candidats libres qui ont l’intention de participer aux …examens de fin d’année, (le Bac ou le BEF) et même leurs parents, et suite aux nouveaux tarifs de participation à ces examens, ont exprimé leur mécontentement et leur désapprobation quant à cette nouvelle mesure qui vise, selon certains candidats, à saboter ni plus ni moins leur scolarité, a-t-on appris de sources généralement bien informées. En effet, la nouvelle tarification imposée par le ministère de l’Education nationale concernant les frais et charges d’inscription pour les candidats libres censés passer les examens de fin d’année a été revue à la hausse, passant de 1 000 à 1 500 DA pour l’examen du Bac pour les élèves scolarisés et de 2 000 à 3 000 DA pour les candidats libres et de 800 à 1 000 DA pour les candidats au BEF.

N.B/ Cette information ne risque pas de susciter un intérêt surtout en ce moment où tous les yeux sont braqués vers les candidats aux élections locales.

Quelles classes…

 

L’ALGERIE FAIT L’OBJET DE CLASSEMENT

DANS PLUSIEURS DOMAINES-SOCIOECONOMIQUES

Pays ayant son poids politique issu du capital ‘’sentimental’’ ou symbolique de la guerre de Libération et du capital réel que représentent ses hydrocarbures, l’Algérie s’offre, depuis la disparition de la bipolarité Est-Ouest et depuis aussi l’adoption du libéralisme économique comme système quasi messianique, à toutes sortes d’appréciations, d’évaluations et de classifications venant de tierces parties, généralement des organismes financiers internationaux ou des ONG activant dans le domaines des droits de l’Homme. Naguère, les seuls ‘’signaux’’ auxquels nos gouvernements et autres responsables étaient ‘’hypersensibles’’ étaient ceux émis par les chancelleries étrangères au sujet de la situation sécuritaire en Algérie et les notations des organismes d’assurance des pays occidentaux (à l’exemple de la COFACE française) sur le risque-pays destiné àclassement.jpg couvrir les investisseurs qui engagent des contrats en Algérie. Tout en demeurant toujours en vigueur, ces deux tableaux d’analyse que les pays partenaires de l’Algérie et certaines ONG établissent pour notre pays ne sont plus les seuls. Ouverte au vent de la mondialisation, liée à l’Union européenne par un accord d’Association et candidate à l’OMC, l’Algérie se voit souvent intégrée dans les panels mis sur pied par des institutions internationales assurant des missions économiques, financières ou sociales. Ainsi, le PNUD a classé l’Algérie, à la fin 2006, à la 102e place en matière d’indice de développement humain (IDH), indices qui réservent une place privilégiée à la santé, l’espérance de vie et l’éducation des populations. À la fin du mois d’août dernier, le FMI s’est interrogée sur la persistance du chômage dans un pays vivant dans une embellie financière sans précédent, sur son niveau très élevé (7% de plus que tous les pays de la région MENA [Moyen-Orient et Afrique du Nord]) et les moyens peu appropriés que le gouvernement a mobilisés pour l’endiguer. Il y a trois semaines, deux signaux venus de deux autres institutions ont probablement valeur d’ ‘’avertissement’’. Transparency International (TI) s’inquiète des ravages de la corruption et classe Algérie à la 99e place sur un panel de 180 pays. La Banque mondiale, elle, met notre pays à la 125e place sur un ensemble de 178 pays étudiés sur le plan du climat des affaires. Il faut dire que la convergence des ces deux dernières cotations n’est nullement le fait du hasard ; une infernale relation dialectique jette ses ponts entre les deux phénomènes : climat des affaires lourd, empêtré dans une légendaire bureaucratie et dissuadant les investissements, d’une part, et corruption à grande échelle ayant gangrené le corps de la société et miné le corps déjà vermoulu des principaux rouages de l’administrations, d’autre part.
Avant de recevoir des ‘’remontrances’’, des leçons ou des rappels à l’ordre de la part d’organismes internationaux, ne serait-il pas plus souhaitable d’actionner les leviers des structures algériennes appropriées et disposant de la matière grise nécessaire pour qu’elle puissent alerter les gouvernants et la société sur les dérives d’ordre social ou économique que la magie de la rente pétrolière installe insidieusement chez les gestionnaires et les responsables des institutions publiques et chez leurs clientèles ? Ces structures-organismes scientifiques, associations, structures consultatives comme le CNES- existent. Il suffit de les libérer de leurs muselières.
Iguer Moumène, l’Authentique

N.B: vous pouvez lire sur notre blog les différents classements de l’Algérie.


« Le FFS mise sur 40 communes à Tizi-Ouzou » *

tizineige5.jpg«Nous misons sur 40 APC», a déclaré Belkacem Benbelkacem, premier secrétaire fédéral du FFS à Tizi Ouzou au quotidien El Watan (8 octobre 2007). Pour le premier responsable du FFS dans la wilaya de Tizi-Ouzou, le FFS sera présent dans toutes les communes de la wilaya. « Toutefois, certaines listes qui ne répondent pas aux objectifs et critères arrêtés par le parti à l’issue de son dernier congrès seront probablement annulées. C’est le cas de celles de Zekri et d’Aït Agouacha», a souligné M. Benbelkacem. Par ailleurs, le FFS a décidé de reconduire parmi ses candidats les présidents d’APC de Draâ El Mizan, Imsouhal, Timizart, Aït Bouadou et Tizi n’Tleta. Le responsable fédéral a précisé au journaliste d’El Watan que la plupart des postulants sont des universitaires.

* En réalité, le premier secrétaire fédéral a déclaré au journaliste que le FFS mise sur 45 communes et non 40.

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