28 octobre, 2007
Des militants FFS de la section de Gué de Constantine réagissent
Nous sommes les militants de la section FFS de Gué de Constantine, Alger. Nous representons l’écrasante majorité de l’effectif de notre section et nous n’avons pas démissionné. Nous nous appellons Ziane, Bourouila, Lerari, Belhimer, Akrour, Abbaci, Gaouaoui, Amrous, Ihaddadene, Limani, Louni, et la liste est trop longue pour que tout le monde soit cité. Nous condamnons le nouveau mensonge de Belhamri par lequel il dit que 100 militants ont démissionné. Ces (ses) militants qui, peut-être, ont démissioné (ou il les a obligés car leurs logements participatifs sont en danger) ne sont en réalité que des vielles femmes, ses cousins et amis très intimes, sans parler d’un ou deux militants naïfs et sans conviction hélas!).
Le nombre de militants démissionnaires ne dépasse pas en réalité la douzaine, de quoi faire les premiers dix de la liste RCD. Les raisons du départ de Belhamri sont claires et connues de tous ici à Gué de Constantine. La gifle qu’il a reçue du FFS en le classant 13ème lui a fait trop mal. Et il fallait qu’il se classe coûte que coûte 1er, même s’il faut s’allier avec le diable, afin de parachever et régulariser ses biens, uniquement ses biens (El Khir)- terme cher à la maffia du foncier de Gué de Constantine qu’il a appris à adopter lui aussi. Des biens qu’il a acquis grâce aux valeureux militants du FFS de Gué de Constantine qui l’ont porté à la commune et qu’il a trahi ensuite.
Nous dirons à Mr Tabbou de ne plus prêter un minimum d’attention aux propos tenus par cet individu dans les journaux. Ce sont des articles écrits par lui-même et donnés à des amis journalistes puis publiés sur le champ. Nous avons été témoins du temps où il attaquait le P/APC de Gué de Constantine avant qu’il devienne son ami fidèle!! Maintenant que le FFS s’est débarassé de lui et que tout commence à rentrer dans l’ordre nous voudrions bien donner un conseil à notre adversaire (et non notre ennemi) le RCD, mais hélas! c’est trop tard, il a commis l’irréparable.Il a cru bien faire.