Crise de la LADDH: « Il faut rester zen »
Bonjour chers amis, camarades, Ali Mécili qui constitue une référence à tous les militants jaloux de leur autonomie, avait dit « le militant doit garder son sang froid devant les situations les plus difficiles ». Je pense que les militants de la LADDH et, partant du FFS, doivent rester zen et ne pas se précipiter dans l’imbroglio où veut les plonger le tandem Zehouane-Naït-Yahia (surtout ce dernier). Il s’agit pour eux de transférer le vrai problème, qui est statutaire et qui se pose entre Ali-Yahia Abdenour-Conseil National de LADDH d’un côté et Zehouane-Nait yahia de l’autre, pour le ramener à un face à face Zehouane-FFS (Aït-Ahmed). C’est un plat réchauffé. J’appelle tous les militants de la LADDH à être vigilants et à poser les problèmes de fond sans tomber dans des querelles de personnes. N’oubliez pas que le premier coup de force au sein de la LADDH a commencé à Tizi-Ouzou lorsque Nait-Yahia avait changé les serrures du siège de la La Maison des droits de l’Homme.
Madjid Laribi
Je voudrais rendre hommage à notre ami Ali Mécili. A celui qui reste pour nombre d’entre nous un guide visionnaire.