Que cache la polémique Zerhouni-Sadi ?
Incroyable ! la faculté qu’ont certains à faire dans la mystification, et dans la démystification, souvent au bon grés du système et pour la survie de ces relais. La situation est simple! Rien ne sert d’user des fonctions mathématiques extravagantes à d’inombrables inconnues pour comprendre une situation qui n’a finalament aucun mystère à livrer. C’est la reconfiguration de la cartograghie politique nationale qui est objet de clivage entre sphéres au pouvoir, entre lobbys, entre groupe d’intêrets, entre idéologies, entre hommes qui mettent en avant leurs propres pulsions personneles (mythe de la personnalité) et la passion politique de petit chef.
Le précurseur en est, le nouvel ordre mondial. Devant les caprices de celle-ci, face à cette onde de chocs, l’intelligence ne devrait-elle s’inscrire comme faculté à s’adapter à des situations nouvelles ? Nous balancer comme ça « que se trâme-t-il entre Zerhouni et Sadi? excite mon hilarité, cette situation n’est pas nouvelle donc ne revêt aucun interêt. Il ne se trâme pas grand chose, toute cohabitation en résulte de concession et « la concession est le partage optimisé, de siéges, pour pouvoir rester cellule de contrôle du régime, moyenant les largesses financières pour service rendu. Désormais la politique depuis, comme d’habitude à toujours été, le fruit d’une imagination assez fertile des habitants de sous-sol (ou encore connu sous le nom le moins usité d’idéologues politico-militaires des services), qui dictent à ceux de surface la feuille de route à suivre dans le cadre de réforme de l’Etat.
Dans cet état des choses- qui ne reste qu’un point de vue-, faire dans des extrapolations abusives, en somme, est le but recherché. L’entrisme tend à l’uniformisation, à travers le squate de tout espace d’expression y compris le mental de toute la collectivité. Cependant, cela reléve du délire auquel il me semble imposer urgement les béquilles de raison afin de le rendre plus perméable à notre esprit mesuré d’aprés Da Lmouloud. L’équation principale à résoudre est toute bête et même trés simple. Depuis tout le temps, le régime rentier en place est en situation conflictuelle interne pour la prise de pouvoir. Ces derniers temps, il s’avére que le levier régulateur national est la Kabylie qui, malheureusement, travaille une synthése de normalisation de façade. Sortons de ces sentiers usés. Le changement ne peut être l’aboutissement d’une décision courageuse par la rupture de nos mode de pensée traditionnel, au lieu de chercher des solutions rapides aux problémes aigûes qui font partie intégrante de notre quotidien.
Par Bizar00
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