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Archive pour le 22 novembre, 2007

Algérie : de la décence, messieurs les députés !

Par said kaced, in www.toutsurlalgerie.com

 

 

 

 

Nos preux députés qui n’ont pour unique préoccupation que d’enrichir l’arsenal législatif et d’instaurer de véritables traditions démocratiques au parlement – si vous y croyez, tant pis ! – perçoivent plus de 13 millions de centimes mensuels en rémunération. Sans compter les frais de mission et autres prises en charge : téléphone, logement, voiture de fonction…

12 fois le salaire moyen qui, comme chaque Algérien lambda le sait, assure péniblement la survie à des millions de foyers plus que jamais dans la précarité. Mais, nos fiers «représentants» – au tarif de moins de 5% de participation dans certaines circonscriptions ! – considèrent, sur la foi de leurs lamentations recueillies par notre confrère l’Expression, qu’ils mériteraient, au vu des efforts «considérables» qu’ils déploient, d’être mieux reconnus par la collectivité.

En rétribuant à sa juste valeur leur vote à main levée des textes de loi qu’ils font mine de débattre et leur présence anecdotique dans une assemblée réduite au rôle, indigne de la démocratie, de bureau d’enregistrement des desideratas du pouvoir réel. Dans tous les pays démocratiques, le salaire du député ne saurait se démultiplier jusqu’à susciter une réaction négative de l’opinion – le parlementaire est payé 5 fois le smic en France – chez nous, les élus «du peuple» n’hésitent pas à étaler sur la place publique leurs salaires exorbitants, voire indécents, et les déclarer conformes à leur activité parlementaire.

Comment un député, si mal élu et peu représentatif, peut être aussi grassement rétribué et pris entièrement en charge par les contribuables qui, pour des millions d’entre eux, règlent l’impôt à la source sur des salaires réduits en peau de chagrin devant l’inflation galopante ? Ce député, qui sait qu’il doit son siège à son degré de docilité ou à son appartenance clanique, peut-il avoir, dans un éclair de lucidité, la décence de toucher son enveloppe sans choquer ses compatriotes qui tirent le diable par la queue ?

Un jour, Zeroual, l’ancien président de la République qui se contenta d’un seul mandat écourté, aurait dit à un aréopage de décideurs : «le peuple algérien est si grand que nous devons raser les murs en marchant !». Une confession si rare dans la bouche de nos gouvernants, mais sans aucune incidence sur les mœurs des chasseurs de rentes qui, toute honte bue, participent à l’équarrissage de la vache à traire.

Abdelaziz Bouteflika candidat au prix Nobel de la Paix 2008

boutef.jpgLe Club suisse de la Presse Geneva Press Club, a le plaisir d’inviter les journalistes suisses et étrangers ainsi que ses membres à une conférence de presse sur le thème :
S.E Abdelaziz Bouteflika
Prix Nobel de la Paix 2008 ?

Un comité international de parrainage propose sa candidature avec Dr. Abdellatif Bettayeb, Mathématicien, chercheur à l’Université de Dundee, UK. M. Mohamed Kerrouche Journaliste et Pdg du journal Akhbar El Youm et membre du comité international de parrainage, Alger. M. Zahir Serrai , Directeur du Centre Algero-Britanique d’investissement, UK Jeudi 22 novembre 2007 à 11 h.30 «La Pastorale » Route de Ferney 106, Genève. Un comité international de parrainage s’est constitué pour proposer la candidature au Prix Nobel de la Paix 2008 du Président algérien S.E. Abdelaziz Bouteflika. Pour récompenser son engagement à établir une paix durable en Algérie, à reconstruire une société déchirée par la violence et à renforcer la culture de la paix. D’autres personnalités algériennes et étrangères seront également présentes. La rencontre sera suivie d’un apéritif. Au plaisir de vous rencontrer à cette occasion.

Ali Djerri quitte la direction d’El Khabar

alidjerri.jpgLes actionnaires du quotidien arabophone El Khabar ont procédé à la désignation de M. Ameur Mahieddine au poste de directeur de publication (DP) en remplacement de M. Ali Djerri.

Des infornations relatives à l’indentité du nouveau DP d’El Khabar et le parcours de Ali Djerri vous seront communiquées dans les prochains jours.

Portrait de Mostefa Bouchachi. Président de la ligue algérienne de défense des droits de l’homme

bouchachi.jpg«La Ligue n’est pas un parti politique »

« Ne pouvant fortifier la justice, on a justifié la force. » Pascal

La situation des droits de l’homme en Algérie n’est pas reluisante. Celle de la ligue, censée les défendre, non plus. Et pour cause ! Une guerre à distance oppose, depuis des semaines, des membres du Conseil national de la Ligue de défense des droits de l’homme à son président, accusé par ses pairs d’agir en solo et d’être à l’origine de l’impasse dans laquelle s’est enlisée cette organisation. Si Me Zahouane crie haut et fort qu’il est le représentant légitime de la LADDH, le Conseil national a, lui, tranché en désignant Bouchachi Mostefa, à la tête de la ligue. Cette situation pitoyable, sur fond de polémique, est évidemment regrettable émanant d’une structure, dont les missions sont autrement plus nobles. C’est dans ces circonstances troublées qu’on a joint le nouveau patron de la ligue, Me Bouchachi, le premier à s’offusquer de cette tournure des événements. « L’ex-président, malgré la persistance de la crise, refusait de convoquer le Conseil national qui est l’organe suprême entre deux congrès. Le conseil, ne voyant rien venir, s’est réuni le 2 novembre dernier et a décidé de changer la direction. Le comité directeur m’a élu président et depuis, j’agis en tant que tel », explique le nouvel élu qui déplore les conditions dans lesquelles ce changement s’est produit. Et il le dit sans ambages. « C’est une organisation des droits de l’homme. Il était dans l’intérêt de la ligue d’avoir un changement dans les règles de l’art, en application des statuts, mais l’ex-président n’a rien voulu entendre et n’a pas été sage. » Récapitulatif sur un état des lieux mouvementé : s’ils s’accusent mutuellement, les protagonistes savent mieux que quiconque qu’il vaut mieux un bon arrangement qu’un mauvais procès.
Qui est Me Bouchachi ?

Issu d’une famille de révolutionnaires, Mostefa n’avait que 6 ans lorsque son père Lakhdar, moudjahid, tomba au champ d’honneur en 1960 lors d’un bombardement dans la Wilaya II. « La seule image qui m’est restée, c’est lorsque mon père, quelques mois plus tôt est revenu à la maison après avoir été blessé à la main. L’enfant que j’étais avait été marqué par le sang et par cette blessure. » La déchirure n’a cessé de hanter une enfance douloureuse. Avec ses yeux noirs tout ronds, ses cheveux poivre et sel, son franc-parler recherché, son ton professoral, Mostefa dégage une énergie vivante et chaleureuse. Il s’est forgé tout seul et c’est tout à son honneur. « Au bled, il n’y avait pas d’école, alors j’étais obligé de venir à Alger pour ensuite faire mes classes dans un centre d’enfants de chouhada à Tizi Ouzou. C’est là que j’ai passé toute mon enfance. » Puis il égrène quelques souvenirs heureux et d’autres qui le sont beaucoup moins. Ainsi va la vie. Mais il n’oubliera jamais le serment de son paternel mort pour la patrie, qui ne cessait d’insister auprès de sa mère, sur la nécessité pour son fils d’accéder au meilleur niveau d’instruction possible. Mostefa n’y dérogera pas en élève studieux et appliqué au lycée Amirouche de la ville des Genêts où il décrochera le bac qui lui ouvrira les portes de l’université d’Alger. Là, il décrochera sa licence en droit en 1976. Comme un succès ne peut rester « impuni », il est fort justement récompensé en obtenant une bourse pour des études en Angleterre où il étrennera un magistère en droit à l’université de Southampton. C’est ce qui explique sa parfaite maîtrise de la langue de Shakespeare. Au début des années 1980, il rentre en Algérie où il enseigne à la faculté de droit d’Alger et s’inscrit au barreau d’Alger en tant qu’avocat, métier qu’il exerce depuis. Dès son avènement, il intègre la LADDH de Ali Yahia Abdenour. C’est durant cette période qu’il se constitue défenseur des personnes poursuivies pour des actes terroristes, non sans conséquences, puisqu’on lui colle l’étiquette d’avocat du FIS. Il s’en défend avec véhémence. « Je n’ai jamais eu une relation quelconque avec les islamistes. J’ai commencé à les défendre en 1992 lorsque des avocats de ce parti m’avaient sollicité. J’ai constaté qu’il y avait beaucoup de violations des droits de l’homme dont la plupart des victimes étaient issues de cette mouvance islamiste. En tant que militant, on ne cherche pas la couleur, ni l’idéologie des victimes. J’ai aussi défendu des militants du FLN, du FFS, des journalistes, des syndicalistes, des étudiants, etc. Vous voyez bien, la palette est assez large. Tout cela pour vous dire que je n’ai jamais choisi mes ‘’affaires’’. De plus, on était effrayés par la violation systématique des droits de l’homme à cette époque dont le degré n’a jamais été atteint depuis l’indépendance. Un militant comme moi ne pouvait rester les bras croisés. » Faudra-t-il sans doute se référer à cette maxime cornélienne : « A force d’être juste, on est souvent coupable. » Laissant percevoir, sous un masque austère, voire sévère une présence humaine presque une fragilité, il évoque sa carrière qui s’est faite graduellement à la force des bras « en travaillant dur » avant d’atteindre la notoriété qu’il acquiert même au niveau international où il est l’invité à plusieurs reprises d’Amnesty aux quatre coins du monde.
Une notoriété méritée

« Là, j’ai encore affiné mes connaissances », reconnaît-il en signalant qu’il a été élu, à deux reprises, représentant de la société civile arabe dans des réunions sur les réformes à engager dans le monde arabe, en présence du G8. Cela stimule davantage, note-t-il, lui qui fait toujours plus, donnant l’impression qu’il y a chez lui quelque chose d’inentamé. Mais il n’est pas du genre à enjoliver ce qui l’arrange et banaliser le reste.
Les procès dont il a été l’acteur et qui l’ont marqué ?

« Sans doute celui de la mutinerie de Serkadji, parce qu’une centaine d’Algériens y ont été tués alors qu’ils étaient sous la protection de l’Etat qui pouvait éviter cette tuerie, que je considère comme une violation très grave. Il y a aussi le procès de Boumaârafi que je conteste en la forme, pas dans le fond. Le droit à un procès équitable n’a pas été respecté. De plus, la cour criminelle a refusé aux avocats le report du procès. » Contre toutes les exclusions, Mostefa a la réputation d’être un rassembleur. Il ne s’en cache pas. « Je suis un homme ouvert au dialogue. Les droits de l’homme sont l’affaire de tout le monde. J’œuvre dans l’intérêt de la ligue, pour les droits et pour l’Algérie, sans concession sur les principes », martèle-t-il, sachant pertinemment qu’on l’attend au tournant, au regard des changements souhaités et attendus pour relancer la ligue. Pour lui, il n’y a pas 36 chemins. « Il faut que le travail se fasse dans la transparence, dans la démocratie la plus totale. Les militants doivent obéir au principe moral des droits de l’homme et aux statuts de la ligue. Plus concrètement, arriver à installer une section dans chaque wilaya, d’ici à la fin de l’année », pronostique-t-il avec optimisme, en précisant que la ligue n’est pas un parti politique d’opposition.
Une justice plus indépendante

Revenant sur l’épineux dossier des disparus, il dira que la ligue n’est pas d’accord avec la manière dont les pouvoirs publics ont fermé ce dossier. « Les parents des victimes ont le devoir de savoir ce qui s’est passé. La loi sur la réconciliation ne règle en rien le problème des disparus en instaurant de surcroît l’impunité. » La place de l’avocat dans la société ? « En Algérie, soutient-il, la profession est handicapée par le fait qu’elle est devant une justice qui n’est pas indépendante. L’une des priorités des barreaux est de travailler dans le sens de rendre cette justice plus indépendante. » Une profession noble que celle d’avocat. En dehors des procès de bonne foi, il existe toute une catégorie d’individus qui marchandent avec le métier. En attaque comme en défense, les avocats véreux existent bel et bien. « Ce n’est pas propre à l’Algérie. Seulement il faut savoir distinguer le bon grain de l’ivraie. » Enseignant depuis des années à l’université, le prof qu’il est constate la régression du niveau, « qu’il faut voir au pied de la pyramide. L’université, dernier maillon de la chaîne, est devenue un centre de formation professionnelle et non pas un lieu de réflexion, regrettant que les gens ne lisent plus, accaparés qu’ils sont par les moyens audiovisuels de plus en plus sophistiqués ». « Quand un universitaire envie un illettré débrouillard, cela mérite une vraie réflexion », ironise-t-il. Quant aux projets qui lui tiennent à cœur, l’avocat veut restructurer la ligue et être sur le terrain à l’écoute des gens. Son autre ambition, c’est d’apporter quelque chose de positif à la profession d’avocat, avec en point de mire, l’amendement du code de la procédure pénale, l’abolition de la peine de mort et la ratification du statut de Rome. Avec ses positions courageuses et sa liberté de ton qui lui a permis de s’affirmer, Mostefa poursuit sa lutte avec certainement davantage de responsabilités. Il aime se référer à cette phrase de Federico Mayor : « Connaître les droits de l’homme, les faire connaître est le premier moyen d’en arrêter les violations. » Tout un programme !
PARCOURS

Mostefa est né en 1954. Fils de chahid, il a fait ses études dans un centre d’enfants de chouhada à Oued Aïssi près de Tizi Ouzou. Etudes secondaires au lycée Amirouche de la même ville et supérieures à la faculté de droit d’Alger. Il obtient un magistère en droit à l’université anglaise de Southampton où il a été envoyé dans le cadre d’une bourse. De retour à Alger, il enseigne à la Faculté de droit et s’inscrit au barreau pour exercer le métier d’avocat. Dans les années 1990, il intègre la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme. Militant, il est de la partie dans plusieurs procès dont certains retentissants, Boumaârafi, Kadhafi, etc. Il a un parcours tout aussi intéressant au plan international où il est souvent sollicité par les organisations « droits de l’hommiste ». Suite à la crise qui secoue la LADDH, il a été élu président de cette instance par le Conseil national sur fond de polémique.
Hamid Tahri El Watan du jeudi 22 novembre 2007

Pétition

samraoui2.jpgLa scandaleuse persécution de l’ex-colonel Mohammed Samraoui en Espagne

 

 

Le quotidien espagnol El Pais a publié le 15 novembre 2007, ce texte de soutien à Mohammed Samraoui. Nous appelons à signer largement cet appel que nous adresserons au plus tard le 26 novembre 2007 aux autorités espagnoles. Prière d’envoyer vos signatures à l’adresse suivante: algeria-watch@gmx.net
Le 22 octobre dernier, l’ex-colonel algérien Mohammed Samraoui a été arrêté par la police espagnole à Benalmádena (province de Malaga), où il participait à une rencontre internationale d’échecs. Cette arrestation était le résultat de l’exécution d’un mandat d’arrêt international émis par les autorités algériennes, qui l’accusent de  » désertion, atteinte au moral de l’armée et activité terroriste « .
Transféré à la prison de Soto del Real (Madrid), il a été mis en liberté provisoire le 31 octobre par le juge antiterroriste Ismael Moreno, de l’Audiencia Nacional. Mais ses papiers d’identité ne lui ont pas été rendus, et il doit se présenter deux fois par semaine au juge le plus proche de son domicile : le juge attend en effet qu’Alger lui transmette la demande d’extradition pour étudier le dossier, ce qui peut prendre plusieurs semaines.
En attendant, Samraoui, qui bénéficie du statut de réfugié politique en Allemagne depuis 1996, où il vit pacifiquement avec sa famille, se voit interdit de revenir dans le pays qui l’accueille et court le risque de perdre son travail.
Nous dénonçons fermement cette situation kafkaïenne et indigne de la démocratie espagnole. Samraoui est un vrai démocrate, qui a décidé de déserter de la Sécurité
militaire algérienne (DRS) parce qu’il était en total désaccord avec les violations des droits de l’homme graves et répétées commises par ses chefs. En septembre 2003, il a publié le livre Chronique des années de sang (Denoël, Paris), où il dénonçait aussi bien les crimes commis par les terroristes prétendant agir au nom de l’islam que la violence exercée par les organes de l’État algérien contre sa population au cours des années 1990.

C’est très probablement la raison qui a conduit les autorités algériennes à émettre, le 1er octobre 2003, le mandat d’arrêt international accusant Samraoui de  » terrorisme « . Alors que, au cours des quatre années suivantes, Samraoui a pu voyager sans problème, protégé par son statut de réfugié, dans plusieurs pays européens, la justice espagnole, de façon très surprenante, été la seule à prendre au sérieux cette grotesque accusation de  » terrorisme « . Le caractère fallacieux du mandat d’arrêt algérien ne fait aucun doute : son objectif est de persécuter un authentique défenseur de la cause des droits de l’homme dans son pays et de faire taire par la menace tous les opposants au régime antidémocratique algérien.
Nous ne voulons pas croire que la justice espagnole, au nom de la lutte légitime contre le terrorisme, puisse se rendre complice de cette manœuvre, ce qui signifierait une violation de la loi du 26 mars 1984, qui règlemente le droit d’asile et la situation de réfugié. Ce qui, à terme, reviendrait à rendre inopérante la définition de l’espace européen comme possible terre d’asile, et de l’espace espagnol en particulier, comme le stipule l’article 13.4 de la Constitution.
C’est pourquoi nous demandons instamment à la Audiencia Nacional de permettre à M. Samraoui de regagner sans délai son domicile en Allemagne et d’abandonner toutes les poursuites contre lui.

Premiers signataires

Hocine Aït-Ahmed, président du Front des forces socialistes (FFS), Algérie.

- Paul Balta, journaliste, Paris, France.

- Omar Benderra, économiste algérien, Paris, France.

- Sihem Bensedrine, journaliste, militaune des droits humains, Tunisie. –

Anna Bozzo, historienne, Université  » Roma Tre  » et membre du Réseau euroméditerranéen des droits de l’homme (REMDH), Italie.

– Marie-Claire Caloz-Tschopp, professeur de sciences politiques, Université de Lausanne, Suisse.
- Khémaïs Chammari, ex-député, expert en droits de l’homme, Tunisie.
- Francesco Correale, historien, Université François-Rabelais, Tours, France.
- Hélène Flautre, présidente de la sous-commission des droits de l’homme du Parlement européen, France.
- François Gèze, directeur des Éditions La Découverte, Paris, France.
- Juan Goytisolo, écrivain, Espagne.
- Pascal Holenweg, Commission socialiste de solidarité internationale, Genève, Suisse.
- Kamel Jendoubi, président du Réseau euroméditerranéen des droits de l’homme (REMDH), Tunisie.
- George Joffé, Centre d’études internationales de l’Université de Cambridge, Royaume-Uni.
- Bernabé López García, historien, université autonome de Madrid, Espagne.
- María Rosa de Madariaga, historienne, Espagne.
- Salima Mellah, Algeria-Watch, Allemagne.
- Rachid Mesli, avocat, Suisse.
- Omar Mestiri, directeur de la rédaction du journal en ligne Kalima, Tunisie.
- Vito Monetti, président de MEDEL (Magistrats européens pour la démocratie et les libertés).
- Werner Ruf, professeur émérite de relations internationales, Université de Kassel, Allemagne.
- Salah-Eddine Sidhoum, chirurgien, défenseur des droits humains, Algérie.
- Eric Sottas, directeur du secrétariat international de l’OMCT.
- Maria Rosaria Stabili, vice-recteur de l’Université  » Roma Tre « , Italie.
- Armand Veilleux, abbaye cistercienne de Scourmont, Belgique.

 

- Abdelkader Tigha, un ex-agent du DRS, Pays Bas.
- Mohamed Larbi Zitout, Ex. algerian Diplomat, Member of Rachad’s Secretariat, Grande-bretagne.
- Nacer Nabil, militant FFS, Algérie.
- Rafael Bustos, spécialiste de l’Algérie, Observatorio de Política Exterior (OPEX), Fundación Alternativas, Espagne.
- Michel Tubiana, avocat, président d’honneur de la Ligue des droits de l’homme, France.
- T. Tamine, France.
- Mouloud Idir, politologue, Montréal, Canada.
- Abdelbaset Bedrouni, Ingénieur, Allemagne.
- Djamaldine Benchenouf, journaliste, France.
- Habib Souaidia, ex officier de l’armé algérienne et auteur du livre la sale guerre, France.
- Salah Ait Ahmed, juriste.
- Brahim Younessi, politologue, France.
- Li Rogov, Professor Mechanical Engineering Department CUNY, New York, United States.
- Hakim Talbi, Lieutenant, Art Photographer, New York, United States.
- Serge Amirouche.
- Rabha Attaf, grand-reporter, France.
- Belaid Ait Mohand, Éducateur, Saint Prix, France.
- Ahmed Hanifi, France.
- José Garçon journaliste, France.
- Me Sofiane Chouiter, Avocat, Algerie.
- Salem Rassoul, Avocat, France.
- Roger Goldsmith, Royaume Uni.
-Kamel Seddiki, Conseiller de l’éducation, Algérie.
-Larbi Alili, Scientifique, Tresorier Justitia Universalis, Pays Bas.
-Kamel Daoud, membre du Comité directeur de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme, Algérie.
- Marguerite Rollinde, France.
- Aissa Rahmoune, avocat, Algérie

- Nicola Graham, Brighton, Angleterre.

- Boubekeur Branine, Enseignant, France.

- Abdesselam Ali-Rachedi, Professeur en médecine à la retraite, Alger

- Jugurtha Aït-Ahned, journaliste, Suisse.
- Marcel Bosonnet, avocat, Suisse.
- Riad Boukherbab, statisticien.
- Iskander Debbache, Enseignant, Paris.
- Khaled Tazaghart, militant du FFS, enseignant, Tazmalt, Algérie.
- Cornelio Sommaruga, President Honoraire d’initiatives et Changement, Caux (Suisse).

- Kamil Al Jilali, Algérie. – Mourad Ouchichi, étudiant, France.
- Amar Kendi, ingenieur en genie mecanique, Paris, France.
- Ahsène Taleb, enseignant, France.
- Madjid Laribi, journaliste, www.lemaghrebin.com.
- Hacene Hadj-Ali.
- Phil Rees, film producer, London, UK.
- Robin Virgin, Publisher, Pluto Press, London, UK.
- Naima Bouteldja, journalist, London, UK.
- Dr Stuart Hodkinson, British Academy Research Fellow, School of Geography, University of Leeds.
- Smail Zamoun, militant du front des forces socialiste.
- Youcef Mimouni, Ingénieur en Environnement, Algérie.
- Ali Foudi, Algeria Voice.
- Simozrag Ahmed avocat Algérie.
- Saïd Ait Abdallah, conseiller technique, France.
- Kamel-Badreddine Djadouri, Conseiller en personnel, Lausanne, Switzerland.
- Ahmed Chouchane, ex-capitaine de l’armée algérienne.
- Elhebib Gharbi, activiste pour les victimes des massacres, Algeria-investigation.org
- Ignazio Patrone, Sostituto Procuratore generale Corte di cassazione (Deputy Prosecutor at the Italaian Cassation Court)
- Pierre de Senarclens, prof. à l’Université de Lausanne (Suisse)
- Peter Hug, Secrétaire internationale du Parti socialiste suisse, Berne, Suisse.
- Werner Herzog, journaliste.
- Yves Dutier, consultant, France.
- Remy Madelin, consultant, France.
- Ghazi Hidouci, ex-ministre algérien de l’économie, France.
- Olivier Gazel, France.
- Youcef Ouramdane, militant FFS, Bejaia, Algérie.
- Boualem Mimouni, militant FFS, Bejaia, Algérie.
- Djamel Merabet, militant FFS, Bejaia, Algérie.
- Dr. A. Sivanandan, Editor Race & Class, UK.
- Liz Fekete, Editor of Institute of Race Relations European Race Bulletin, UK.
- Noreddine Chelouti, citoyen algerien, Suisse.
- Lyes Laribi écrivain/enseignant, France.
- Karim Ousfi Abdelkrim, militant pour les droits de l’homme, France.
- Fatiha Kada benabdallah, enseignante, France.
- Jeremy Corbyn, Labour MP (ou Depute Travailliste), London, UK.
- Marthe Bringard, enseignante, France.
- Hüseyin Aydin, député du parti Die Linke (La Gauche) au Bundestag allemand.
- Yazid Belmahi.
- Yves Lador, Conseiller auprès d’organismes internationaux, Genève.
- Kamer eddine Kherbane, Membre fondateur du Front Islamique du Salut FIS.
- Anne-Dominique Termont, ingénieur du son, France.
- Chemimi Arab, jeune manager algérien.
- Dr. H. Ouguenoune, ex. Capitaine du DRS Armée Algérienne, UK.
- Estella Schmid, Campaign Against Criminalising Communities (CAMPACC)
- Boualem Hamadache, Paris, France.
- Georges Menahem, Directeur de recherche CNRS – CEPN – IRDES; France.
- Boualam Azahoum, militant associatif, Lyon, France.
- Fairouz Medjabri.
- Vincent Genestet, Consultant, France.
- Heike Hänsel, Mitglied des Deutschen Bundestags (députée au parlement allemand) und entwicklungspolitische Sprecherin der Fraktion DIE LINKE.
- Abdelhamid Mehri, ancien secretaire general du FLN, Algérie.
- Dr. Ahmed Benani, politologue, Université de Lausanne, Suisse.
- Karine Gantin, journaliste, France.
- Hamida Ben Sadia, membre du Comité Central de la Ligue française des Droits de l’Homme.
- Hassen Bouabdellah.
- Mostafa Brahami, Dr. Economie, Lausanne, Suisse.
- Anna Mª Garriga, Barcelona, Espagne.
- Jean baptiste Rivoire, journaliste, canal plus, auteur de « Françalgérie, crimes et mensonges d’Etats ».
- Yahia Assam, Chef d’Edition, People Tv News Agency.
- Abdul Raouf Darwich, mathématicien, Université d’Angers, France.
- Amor Gidoum, Suisse.
- Chafaâ Bouaiche, journaliste, Algérie
- Mohamede Smain, Vice Président de la LADDH, chargé des relations extérieures, Algérie.

- Rachid Chaibi, Militant des droits humains, Algérie.

Dr Les Levidow, researcher, Open University, UK.
- Md Saou, Canada.
- Rabeh Benlatreche, Président de l’Association des Familles de Disparus Forcés de Constantine A.F.D.F.C ., Algérie.
- Wassila Benlatreche, membre de l’AFDFC, Constantine, Algérie.
- M. Benabdallah, enseignant.
- Noureddine Masmoudi, ancien haut fonctionnaire exilé, militant pour les libertés en Algérie.
- Montserrat Arbós, journaliste, Barcelona (Catalogne/Espagne).
- Alain Marchon, Responsable de Formation, France.
- Jeanne Kervyn, sociologue, Belgique.
- Mohamed Belhaoua, d éfenseur des droits humains, Algérie.

- Salima Ghezali, Journaliste Prix Sakharov du parlement européen. Alger.
- Jean-Yves Barrère, militant du Cedetim, France.
- Dr Mohamed Tahar Hamani, ex-Médecin militaire.

-Mourad Slimani, ingénieur projet, France.

-Amar Tabouda, étudiant, France.

- Ait Oufella Boualem, Montréal (Québec).

- Hocine Asselah, Alger.
- Patrick Baudouin, avocat à la Cour de Paris, Président d’Honneur de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH).
- Miloud Zehraoui, Architecte, Paris, France.
-Adel Guemar, journaliste independant, UK.

Courrier de Zehouane Hocine (ZH) aux partenaires de la LADDH

Contre feu

A tous nos partenaires à l’extérieur de l’Algérie
Objet :
« désinformation contre la LADDH »

Une conspiration avait été engagée fin avril dernier au cours du voyage du président de la LADDH Me Hocine Zehouane à Lisbonne au Portugal où il devait assister au 36ème congrès de la FIDH. Cette conspiration a consisté en premier lieu en la diffusion à partir d’un taxiphone de Constantine de tracts anonymes dans lesquels de présumés membres du conseil national (sans indication de noms, ni de signatures) appelaient à la destitution du président en exercice Me H. Zehouane et au retour de l’ex président Me Ali–Yahia Abdenour (87 ans, 4 grammes de glycémie, 2 pontages cardiaques et des pics de tension qui font à chaque instant craindre un accès fatal). Les auteurs de ces tracts anonymes avaient récidivé quelques jours plus-tard par la diffusion de lettres anonymes, cette fois manuscrites et anonymement imputées à des militants de Boumerdes, elles comportent un langage similaire et visent les mêmes objectifs.

Les investigations engagées autour de ces forfaitures convergent pour faire peser de fortes pressions sur un petit cercle branché à l’intérieur et à l’extérieur de la LADDH. k. Daoud ex responsable des relations extérieures se trouve au centre focal de ces présomptions. Les actions pénales engagées mais, malheureusement ralenties par l’atmosphère des vacances d’été et du mois de ramadhan vont reprendre leur cours normal et, espérons le, vont lever le voile sur la conspiration. Entre temps, pour mettre un terme à toute spéculation, un congrès extraordinaires de la LADDH a été convoqué le 26 octobre à Alger conformément aux dispositions réglementaires sous le contrôle d’un officier ministériel désigné par ordonnance du président du tribunal d’Alger.

Le congrès à débattu largement de la situation créée par les opérations de forfaiture anonymes mais ostensiblement relayées par une certaine presse sous la coupe des services de sécurité ; entendu les communications confidentielles qui ont conforté l’idée d’une entreprise de conspiration contre la LADDH menée de l’extérieur avec des relais internes ; il a procédé à de larges réaménagement organisationnels en rénovant le Conseil National lequel a élu un nouveau Conseil de Direction avec à sa tête le président Hocine Zehouane. Convoqués régulièrement et par voie d’huissier, les membres frappés de suspicion dont K.Daoud se sont abstenus de se présenter devant les congressistes de crainte d’avoir à s’expliquer sur bien des aspects ambigus sinon indignes de leur comportement. Depuis le 26 octobre, le groupe de k Daoud a versé dans l’hystérie sur le plan médiatique. Un dossier lourd est sur le point d’être formalisé qui le conduira devant les tribunaux. Le personnage primesautier qui s’est révélé en k Daoud est sans aucun doute inconscient des charges qui vont peser sur lui.

Nous alertons tous nos partenaires pour qu’ils n’accordent aucun crédit à aucune de ses correspondances, de ses envois par émail ou de ses communications téléphoniques touchant à la vie de la LADDH. Le nouveau responsable des relations extérieures de l’organisation est désormais le nouveau vice- président Mr Mohamed Smaïn. Toute autre communication qui ne porte pas sa caution ou sa signature ou celles du président H. Zehouane dans les rapports avec les partenaires extérieurs sont frappées d’inauthenticité et dénuées de toute valeur. FIN

Commentaire: A la lecture de ce document contenant des propos indécents à l’égard de Ali Yahia Abdennour, je me contenterai de publier un courriel adressé par K. Daoud à ZH en mai 2007.
«  Hocine, tu devrais consulter un psychiatre; il pourrait réduire les germes de violence que tu portes en toi. La guerre de libération est terminée il y a 45 ans. Je pense qu’il conseillera de t’enfermer dans une bibliothèque avec un stylo et du papier. C’est le meilleur service à te rendre car tu ne peux pas vivre tranquille en société. Et sans rancune, Kamel « 

Enricon Macias distingué par l’armée israélienne

enrico.jpgIntéressante vidéo d’Enrico Macias distingué par l’armée israélienne et affirmant qu’il s’est « tourjours dévoué corps et âme pour Tsahal »

 

http://www.dailymotion.com/video/xmi4n_enrico-macias-corps-ame-pour-tsahal_news

 

 

Saliha Amouri candidate FFS à la Casbah

handicaps.gif“Rendre les handicapés et nécessiteux autonomes”

«Le Front des forces socialistes m’a donné une occasion d’imposer et réaliser ses objectifs qui sont en parfaite symbiose avec le programme du parti», déclare Saliha Amouri 2e de liste du FFS dans la circonscription de la Casbah.

Mère de deux enfants, dont l’un est handicapé, elle a fondé une association caritative dont l’objectif est de répondre aux besoins de cette frange de la population en totale dépendance vis-à-vis des parents et de la famille. Et justement, dira-t-elle, «si le destin me propulse à prendre part dans la gestion communale, je concentrerai toute mon énergie à réserver un quota de logements sociaux qui seront distribués au profit des handicapés» pour justement éviter le rejet des enfants ayant des problèmes physiques innés ou ayant subi des accidents durant leur enfance. La représentante de la formation d’Ait Ahmed compte, en outre, intensifier des actions sociales envers les nécessiteux, « pas pour une assistance éternelle mais pour leur apprendre un métier garantissant leur intégration du monde professionnel susceptible de les rendre autonome. » Toujours, dans le même registre, « tous les handicapé moteurs doivent disposer d’un fauteuil roulant » envisage-t-elle de réaliser, mais parallèlement, « je me tiendrai solitaire mes collègues élus et spécialement de ceux du FFS pour que le programme élaboré pour la commune de la Casbah soit traduit réellement en actes concrets pour l’allégement des difficultés du quotidien de la population ». M. C. L’Authentique

La phrase du Jeudi

fronde.jpgA propos des frondeurs du FFS: «Si vraiment il y avait une seule goutte de sang FFS qui coule dans leurs veines, ils ne seront pas aujourd’hui des têtes de liste au sein du RND ou du PT. Ces oiseaux politiques migrateurs sont porteurs du virus de la grippe aviaire extrêmement dangereux pour la démocratie». Karim Tabbou, premier secrétaire du FFS lors du meeting populaire animé le mardi 20 novembre 2007 à Ain Beniane (Alger)

FFS: Pour une «double décentralisation»

affiche1.jpgPar Makhlouf Mehenni, Infosoir
Constat: Il y a aujourd’hui une décentralisation des responsabilités sans une décentralisation des moyens, constate le premier secrétaire national du Front desForces Socialistes.

C’est pour un nouveau concept que le Front des Forces Socialistes vient d’opter afin de séduire l’électorat le 29 novembre prochain: la double décentralisation. Invité ce matin de la rédaction de la Chaîne III, son premier secrétaire national explique : «Lorsque les Algériens veulent se révolter contre certaines situations, comme le chômage, ils vont vers une APC qui, malheureusement, ne peut pas régler leurs problèmes.» Autrement dit, le président d’APC est tenu pour responsable de tous les problèmes et déficits enregistrés au niveau de sa municipalité sans pour autant détenir les moyens juridiques et financiers pour répondre aux doléances de la population. «Il y a aujourd’hui une décentralisation des responsabilités sans une décentralisation des moyens», constate, amer, Karim Tabbou. C’est pourquoi le FFS propose un nouveau code communal et de wilaya qui prenne compte de cet impératif de «double décentralisation». «Nous voulons une double décentralisation avec tout ce que cela induit comme autonomie de la gestion de la collectivité, car il y a des collectivités qui peuvent développer un certain nombre de secteurs et qui peuvent bénéficier d’une autonomie fiscale locale qui peut générer des recettes et créer des richesses au niveau local.» Malheureusement, regrette encore M. Tabbou, «toutes ces idées ne peuvent être exécutées que dans le cadre d’un système politique cohérent qui permet une réelle représentation». Et de plaider pour une véritable représentativité au niveau local et pour une meilleure implication de la population dans la gestion des affaires. «Il faut, estime-t-il, que des les APC et APW puissent reprendre leur vocation d’institutions au service de la population et qui donnent véritablement la possibilité aux citoyens de participer à la gestion des affaires. Sans avoir doté ces institutions d’instruments pour rendre le citoyen acteur principal dans la gestion de la collectivité, nous allons continuer à fonctionner dans un système régi par l’autorité centrale.» Même si, reconnaît-il, «dans les textes, notamment la Constitution, il est proclamé que les institutions locales sont les premières institutions de l’Etat, la décentralisation est totalement consacrée et l’autonomie est un principe de gestion de ces collectivités». Interrogé sur les résultats quelque peu mitigés du parti lors des élections partielles de 2005 en Kabylie, une région où il est pourtant supposé disposer d’un réel ancrage populaire, Tabbou, tout en estimant que «c’est trop dire que d’avancer que le FFS est en recul», reconnaît, néanmoins, que le plus vieux parti de l’opposition a laissé des plumes dans son bras de fer avec le mouvement des archs. «Je tiens à préciser que les partielles de 2005 n’étaient pas un scrutin ordinaire. Il a été imposé par les autorités au parti après avoir dissous les assemblées qu’il avait gérées, avec une situation particulière en Kabylie. Il est évident que le FFS, qui a eu à affronter cette situation, ne pouvait qu’enregistrer des pertes qui étaient des conséquences directes de ses positions.»

M.M.

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