Courrier de Zehouane Hocine (ZH) aux partenaires de la LADDH
Contre feu
A tous nos partenaires à l’extérieur de l’Algérie
Objet : « désinformation contre la LADDH »
Une conspiration avait été engagée fin avril dernier au cours du voyage du président de la LADDH Me Hocine Zehouane à Lisbonne au Portugal où il devait assister au 36ème congrès de la FIDH. Cette conspiration a consisté en premier lieu en la diffusion à partir d’un taxiphone de Constantine de tracts anonymes dans lesquels de présumés membres du conseil national (sans indication de noms, ni de signatures) appelaient à la destitution du président en exercice Me H. Zehouane et au retour de l’ex président Me Ali–Yahia Abdenour (87 ans, 4 grammes de glycémie, 2 pontages cardiaques et des pics de tension qui font à chaque instant craindre un accès fatal). Les auteurs de ces tracts anonymes avaient récidivé quelques jours plus-tard par la diffusion de lettres anonymes, cette fois manuscrites et anonymement imputées à des militants de Boumerdes, elles comportent un langage similaire et visent les mêmes objectifs.
Les investigations engagées autour de ces forfaitures convergent pour faire peser de fortes pressions sur un petit cercle branché à l’intérieur et à l’extérieur de la LADDH. k. Daoud ex responsable des relations extérieures se trouve au centre focal de ces présomptions. Les actions pénales engagées mais, malheureusement ralenties par l’atmosphère des vacances d’été et du mois de ramadhan vont reprendre leur cours normal et, espérons le, vont lever le voile sur la conspiration. Entre temps, pour mettre un terme à toute spéculation, un congrès extraordinaires de la LADDH a été convoqué le 26 octobre à Alger conformément aux dispositions réglementaires sous le contrôle d’un officier ministériel désigné par ordonnance du président du tribunal d’Alger.
Le congrès à débattu largement de la situation créée par les opérations de forfaiture anonymes mais ostensiblement relayées par une certaine presse sous la coupe des services de sécurité ; entendu les communications confidentielles qui ont conforté l’idée d’une entreprise de conspiration contre la LADDH menée de l’extérieur avec des relais internes ; il a procédé à de larges réaménagement organisationnels en rénovant le Conseil National lequel a élu un nouveau Conseil de Direction avec à sa tête le président Hocine Zehouane. Convoqués régulièrement et par voie d’huissier, les membres frappés de suspicion dont K.Daoud se sont abstenus de se présenter devant les congressistes de crainte d’avoir à s’expliquer sur bien des aspects ambigus sinon indignes de leur comportement. Depuis le 26 octobre, le groupe de k Daoud a versé dans l’hystérie sur le plan médiatique. Un dossier lourd est sur le point d’être formalisé qui le conduira devant les tribunaux. Le personnage primesautier qui s’est révélé en k Daoud est sans aucun doute inconscient des charges qui vont peser sur lui.
Nous alertons tous nos partenaires pour qu’ils n’accordent aucun crédit à aucune de ses correspondances, de ses envois par émail ou de ses communications téléphoniques touchant à la vie de la LADDH. Le nouveau responsable des relations extérieures de l’organisation est désormais le nouveau vice- président Mr Mohamed Smaïn. Toute autre communication qui ne porte pas sa caution ou sa signature ou celles du président H. Zehouane dans les rapports avec les partenaires extérieurs sont frappées d’inauthenticité et dénuées de toute valeur. FIN
Commentaire: A la lecture de ce document contenant des propos indécents à l’égard de Ali Yahia Abdennour, je me contenterai de publier un courriel adressé par K. Daoud à ZH en mai 2007.
« Hocine, tu devrais consulter un psychiatre; il pourrait réduire les germes de violence que tu portes en toi. La guerre de libération est terminée il y a 45 ans. Je pense qu’il conseillera de t’enfermer dans une bibliothèque avec un stylo et du papier. C’est le meilleur service à te rendre car tu ne peux pas vivre tranquille en société. Et sans rancune, Kamel «
L’Algérie demeure à la traîne, selon la LADDH
La Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), aile de Me Hocine Zehouane, se prononce contre la révision constitutionnelle préconisée par le FLN.
« Non à la révision constitutionnelle, oui à une refondation institutionnelle », déclare le président de la LADDH lors d’une conférence-débat, organisée hier à Alger, à l’occasion de la célébration du 59e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme. Pour étayer ses dires, l’orateur affirme que la révision de la loi fondamentale du pays ne résoudra pas les multiples crises dont souffre l’Algérie, d’autant que les institutions en créent d’autres chaque 5 ans. Pour entreprendre cette refondation, précise Hocine Zehouane, il faut que l’élite algérienne s’engage et engage des réflexions autour de cette question. « Où sont les constitutionnalistes algériens ? », s’interroge-t-il, en assurant que la LADDH est en mesure de contribuer à cette démarche nécessaire. L’interlocuteur critique également la réforme du système judiciaire engagée par le gouvernement. « Les commissions de réforme de la justice sont restées secrètes », lance-t-il. Revenant sur la question des droits de l’homme en Algérie, Me Zehouane dresse un tableau sombre de la situation. L’Algérie, selon lui, est très en retard par rapport à ses voisins marocain et tunisien au niveau de l’organisation de la société civile. « Il n’y a pas de droits de l’homme dans ce pays », tranche-t-il, en citant tous les verrouillages administratifs auxquels font face les militants des droits de l’homme. L’Etat d’urgence qui dure depuis 15 ans, le blocage de l’organisation de la société civile et le comportement des institutions du pays constituent, insiste-t-il, des éléments ayant mené à la dégradation de la situation des droits de l’homme. Il fustige, dans la foulée, le refus des agents de l’administration de répondre aux demandes d’autorisation d’organiser des activités formulées par les organisations des droits de l’homme. « Les institutions ne respectent même pas leurs lois et décisions. Elles poussent le cynisme jusqu’à ne pas répondre à nos demandes. Je ne peux que considérer cela comme un déni du service publique », dénonce-t-il, avant d’ajouter : « Nous sommes le pays des aberrations. » Plaidant pour la suppression du préalable de l’autorisation pour l’organisation des rencontres et conférences, Hocine Zehouane appelle les militants des droits de l’homme à se mobiliser en vue « de réaliser le sursaut indispensable pour faire éclater les carcans ». Poursuivant son analyse, il dira également qu’il y a toujours possibilité d’atteindre cet objectif, si les citoyens prennent conscience de la situation et s’organisent afin d’exercer leur citoyenneté. « Il faut institutionnaliser les droits de l’homme dans notre société. Il faut avoir notre part d’humanité », dit-il, en affirmant que ce slogan sera désormais la devise de la LADDH.
Madjid Makedhi
• Une raffinerie de pétrole de Bejaia prévue à Béjaia est transféré sur papier sans études préalables à Tiaret , alors que le dossier de maturation du projet a couté 3 millions de Dollars à Sonatrach.
• Une centrale thermoélectrique devant approvisionner toute la région d’Azzefoun vient d’être délocalisée cette semaine alors que toutes les études ont été finalisées.
• Une usine pharmaceutique prévue initialement à oued aissi (tizi ouzou) a été transférée à Constantine.
• Peugeot a été dissuadé de s’implanter à Tizi etc…
Rien n’aura été épargné à la Kabylie.
Ces sujets ne sont-ils pas plus importants que vos querelles intestines et mesquines, messieurs les élus en tout genre ?
FFS ou RCD quelle différence de fond ?
C’est triste d’avoir Hocine Zehouane, comme président d’une ligue de défense des droits de l’Homme, alors qu’il les viole en rendant publique la maladie réelle ou fictive d’Ali Yahia Abdennour. Pour un défenseur des droits de l’Homme, cela relève du secret médical, c’est-à-dire que le médecin traitant n’a pas le droit de rendre publique les maladies de ses patients. Mais c’est un Hocine Zehouane qui le fait comme dénonciation ou une tare contre maitre Ali Yahia Abdennour.
Mais s’allier avec ces gens-là porte toujours préjudice.
MAAMAR BOUDERSA