KARIM TABBOU (FFS) :«Zerhouni est un voyou»
Dans son dernier meeting de campagne électorale animé, tard dans la soirée de lundi dernier, à Tizi-Ouzou, le premier secrétaire national du FFS, K.Tabbou a eu des mots très durs à l’encontre du «pouvoir et de ses dérivés». Dans la salle OMS Saïd-Tazrout, Tabbou a développé, comme à son habitude, un discours truffé de petites phrases, des formules valises qui ont fait leur effet sur un public jeune dans sa dominante et où, visiblement, l’écrasante majorité de ce qui était connu comme étant le «peuple» du FFS n’était pas au rendez-vous et à travers lesquelles le premier responsable du parti d’Aït Ahmed parlera tour à tour et, en des termes peu glorieux, de Belkhadem, d’Ahmed Ouyahia, du Hamas dont les responsables «volent sans laisser de traces et qui demandent à faire confiance en leurs élus et de leur demander ensuite des comptes à l’issue de leur mandat».
Les députés et les partis politiques «des oiseaux migrateurs porteurs d’un virus aviaire pour la démocratie» n’ont pas échappé à l’humour persifleur de l’orateur. Sauf bien sûr le FFS à qui Tabbou prête, en Kabyle dans le texte, la majesté de «l’aigle qui plane très haut et loin des sphères où volent les corbeaux et autres oiseaux de proie». Entendre par là que le FFS reste le seul parti réellement d’opposition et dont le charisme et l’aura font peur au pouvoir. Tabbou énumère les multiples entraves dressées par l’administration devant les listes électorales du parti qui, selon encore le même orateur, constitue l’alternative et le seul recours pour la prise en charge des préoccupations des citoyens. Des entraves que Tabbou impute en premier lieu au ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni «un voyou» et qui n’a pas répondu, s’indignera le n°2 du FFS, au défi qui lui a été lancé pour une confrontation publique au sujet des listes électorales rejetées au niveau de plusieurs wilayas, ajoutant à l’adresse de Zerhouni : «Quand on ne peut pas assumer une responsabilité politique, on démissionne.» Réfutant les arguments avancés pour disqualifier les listes du FFS, Tabbou a eu encore une autre petite phrase : «Ce sont les députés qui constituent un danger pour la société et non les candidats du FFS.»
SAM, Le Soir d’Algérie
si zerhouni ne peu pas démissionner pck c un vovou cela est clair, car il devait le faire en avril 2001 mais bon on s’est habitué, mais pour donner justement exmple et peut être ils vont le suivre par haine ou jalousie, ayez le courage mr Tabou d’en assumer ton échec, en remettant la blouse du 1er SN du FFS cela par pédagogie et en tout esprit sportif on va te souhaiter bonne chance aya meddah nath vou ouadhou
Au cours de mon intervention du 28-09-62 à l’Assemblée nationale Constituante, j’ai parlé de la dynamique des institutions de l’Etat mais pas de l’Etat au sens latin de la hiérarchisation et de la bureaucratie, de préfet-flic de département. pas de mystique de l4etat au sens hégélien de personne morale mangeuse de libertés de la personne humaine. Pas d’Etat partisan et pas d’Etat techno militariste ou anarcho-syndicaliste. Au contraire, des institutions au service de la Démocratie » HAA
Justement en réponse au 1er SN du FFS je dirais dans mon petit coin, que si vous croyez au père Noel, faut croire en la démission de zerhouni, car cela il est plus accéptable de déposer sa démission en avril 2001 mais pas vraiment grave dans Etat de faucons vrais cons.. et puis je dis au 1er SN par respect au Président du FFS par morale et éthique au parcours du FFS et qui sait peut être ce systême va te suivre par haine ou par jalousie… ayez le courage d’en assumer ton Echèc sur tout les plans. et démissioner! du poste de 1er SN meme du FFS voir de la société… Car toi qui aime écouter Lounis mais sans pour autant retenir ce qu’il raconte dans une chanson que tu aime écouter il dit » Win Ivghane Atessgueme Isseguem Imanis ».
Un Passager.