Le martyr des Algériens se poursuit
Je m’incline respectueusement devant les victimes des attentats de Ben Aknoun et de Hydra que je condamne énergiquement et sans réserve.
Je constate avec tristesse et colère que la violence n’a pas cessé, au contraire elle prend une tournure grave avec l’apparition récente de la « culture du kamikaze » inconnue jusque là dans le pays en s’attaquant de plus à la représentation internationale.
La responsabilité du pouvoir dans cette violence est entière : elle est politique.
L’opposition politique comme les organisations autonomes de la société civile n’ont pas cessé d’appeler le pouvoir à cesser d’asphyxier la société par un état d’urgence qui dure maintenant depuis 15 ans, qui interdit le débat entre les citoyens et le dialogue entre les différentes composantes de la population. Les Algériens ont besoin de respirer la liberté.
Le respect des droits politiques comme de l’intégrité des droits de l’homme sont la voie de sortie de crise.
Le pouvoir doit prendre le chemin politique pour la solution des graves problèmes que nous vivons malgré la richesse de notre trésorerie qui ne profite pas à la population et qui enrichit la base prédatrice du pouvoir protégée grace à l’oppression des citoyens.
On peut craindre qu’aux attentats terroristes le pouvoir oppose une réponse exclusivement policière. La répression seule ne peut avoir pour conséquence qu’une aggravation de la violence qui a sa propre dynamique, impossible à réduire par la simple répression qui pourrait être aveugle.
Espérons que le pouvoir finira par retenir la leçon de la violence : elle ne mène qu’à la violence qui ne cesse d’endeuiller la population. Il faut exiger du pouvoir qu’il prenne le chemin de la sagesse politique avec la participation de tous et en particulier des structures de contre-pouvoir que sont l’opposition politique et les organisations autonomes de la société civile.
Kamel DAOUD
Membre du Comité Directeur/ Chargé des relations internationales LADDH
C BIEN DIT . C EST UNE CRISE EMIMAMENT POLITIQUE. LORSQUE ZERHOUNI EST MINISTRE DE L INTERIEUR. IL N Y ARIEN A DIRE.
LE SYSTEME A ETAIT LA SOURCE DE NOS PROBLEMES DEPUIS L ASSASSINAT DE ABANE RAMDANE. LES MARTYRS DE 1954 1962 SE SONT SACRIFIER POUR UNE ALGERIE LIBRE ET HEUREUSE ET NON PAS POUR UNE RPUBLIQUE DES BARBUS QUI M INTERDIT DE VIVRE NON MUSULMAN
ET L L ETAT DE BOUTEF UN ETAT DE VIOLENCE ET DE RACISME.
BIEN DIT
en crise depuis la nuit des temps. malediction apres le colonialisme bien venue al dictature de tlemcen et aux follies des integristes . oh heureusememt qu il ya la biere et le parabole ……..
adieu l algerie
Moumkin est un mot qu’on utilise toujours. Moumkin que zerhouni soit traduit devant le TPI. Moumkin que les Algériens vivent heureux en coabitation dans la paix et leur différence .Yes it is possible si boutef est le systeme disparaissent . moumkin is moumkin. le journal moumkin vous salut . travaillons pour que le systeme disparaissent car il n y a jamais eu ni de republique zero autre chose.