Le troisième mandat ou la mandat…habituel?
Depuis l’indépendance, à toutes les étapes décisives et graves qu’a connues le pays, l’usage s’est installé pour penser l’Algérie en tant que présidence et de reporter ou d’éviter carrément de la penser en termes d’Etat. La réflexion sur la présidence, elle-même, est davantage centrée sur la personne du président plutôt que sur l’institution présidentielle.
A toutes les étapes, nous choisissions un président, ou pour être plus précis, on nous présente un président, en la personne de qui nous plaçons tous nos espoirs, à qui l’on confie tous nos problèmes, en qui l’on découvre des qualités qui justifient la confiance portée en lui, en ses capacités et sa sagesse.
Des voix s’élèvent alors, par conviction ou conformisme, pour appeler à son élection ou à sa réélection.
Mais le mandat du président, ainsi investi de notre confiance, s’achève en règle générale dans un flot d’accusations et de critiques. Des voix s’élèvent alors, par conviction ou par conformisme, pour lui faire assumer, seul, la responsabilité de l’impuissance, des erreurs, du marasme, des déviations et des dépassements qui ont eu lieu dans le pays au cours de sa magistrature.
Telles sont les caractéristiques, à de rares exceptions près, qui ont marqué le parcours et le destin de la plupart de ceux qui ont assumé la responsabilité de la première charge du pays. Certains de ces hommes sont partis dans un silence relatif, d’autres ont laissé leur vie en guise de fin de mandat.
Durant toutes ces étapes décisives et graves, les voix des opportunistes sont celles qui s’élèvent le plus haut, qu’il s’agisse des campagnes de glorification ou de celles de dénigrement.
Dans toutes ces étapes, l’on constate systématiquement l’absence de tout débat sérieux sur l’évaluation du système de pouvoir établi depuis l’indépendance, de ses institutions, des programmes et des politiques suivies durant l’étape précédente dans la gestion du pays. Ou, plus justement, ce débat est délibérément éludé.
Si nous avions mené ces débats, nous aurions pu identifier les causes réelles de l’impuissance, des erreurs, du marasme, des déviations et des dépassements subis par notre pays.
Si ces débats avaient pu être menés, l’on se serait rendu compte que la part négative qui revient aux hommes qui se sont succédé à la présidence est peut-être moins importante — que leur apport positif aurait pu être plus grand — si le système de pouvoir à la tête duquel ils ont été placés reposait sur des structures saines et si ses institutions exprimaient réellement la volonté du peuple. Autrement dit, si ces structures et institutions étaient démocratiques, et effectivement représentatives et efficientes.
De nombreuses voix commencent à s’élever aujourd’hui, par conviction ou par conformisme, avec les mêmes méthodes et les mêmes approches politiques antérieures, pour appeler le président de la République, le frère Abdelaziz Bouteflika, à se porter candidat pour un troisième mandat. Comme si l’Algérie n’avait besoin aujourd’hui de rien d’autre que de perpétuer la situation actuelle que tout un chacun connaît et sur laquelle je n’éprouve pas la nécessité de m’étendre. La majorité des Algériens s’en plaignent ou subissent amèrement.
Ma conviction est que la prolongation du mandat du président, sans changement radical du système de pouvoir, conduit le pays, au minimum, à une impuissance plus marquée à résoudre ses problèmes et à faire face aux grands défis qui l’attendent à l’intérieur et à l’extérieur.
De même que l’intronisation d’un nouveau président, quelles que soient ses qualités, sans changement radical du système, conduira aux mêmes résultats.
Cette problématique est fondamentalement celle qui a dicté l’appel que j’ai signé avec les frères Hocine Aït Ahmed et Mouloud Hamrouche, au mois de septembre dernier et que certains ont qualifié d’initiative.
En réalité, il s’agissait, en plus, d’une invitation à l’initiative adressée aux responsables et aux citoyens, individus et organisations et à tous ceux qui croient en l’impérieuse nécessité d’un changement démocratique et en la nécessité d’appeler à ce changement et d’agir pour le réaliser.
Le problème central qui se pose aujourd’hui n’est pas, simplement, le choix d’un homme, capable de résoudre les problèmes du pays, mais l’édification d’un système de gouvernement qui donne à tous les Algériens la possibilité d’apporter leur contribution à la solution de ces problèmes.
Abdelhamid Mehri, 2 janvier 2008
vou parlé de mahri comme un grand et vou tourné le dos au veritable militant du ffs , quelle betise et cecite politique . le ffs n est plu celui de zenati etdes elephants des annes 90. donc un peu de respect au moins pour les martyrs de 1963 et ceux de la democratie .
l heure est tres grave pour les kabyles particulierement et les algeriens . un 2 ou 3 ou quatrieme mandats ce n est pas la procupation des citoyens.
vous le savez tres bien mieux que tout le monde que le ffs est aussi responsable de la crise car il a decu tout ceux qui croye tres fort en lui. il doit l assume devant l histoire.
le FFS ne tourne jamais le dos a personne, c’est par contre eux qui ont tourne le dos et bien sure avec une retraite polique suivis d’une retraite financiere.
Le problème du ffs est hélas commun à tous les partis algeriens.Pourtant, d’aucuns ont à une époque placé tous leurs espoirs en ce parti dont la crédibilité n’était nullement mise en doute. Hélas ! le péché mignon a ratrappé cette formation (manque de démocratie à l’intérieur meme du parti, à l’instar d’ailleurs de tout ce qui se passe chez nous) Merci de me lire.
«La crise est dans l’absence de débat, dans la confiscation des prérogatives des instances du parti, dans la culture de la violence, dans l’impunité, dans le système de désignation arbitraire aux postes de responsabilité, dans le phénomène de la corruption politique, dans la dépolitisation de l’action partisane, dans la banalisation des statuts et des règlements du parti, dans l’encouragement du clanisme, dans la prime au chantage, dans la marginalisation de ceux qui réclament le débat et la démocratie, dans l’avortement de toute initiative de réconciliation interne et dans l’évacuation de toute idée de reddition des comptes. Toutes ces dérives s’expliquent par la dénaturation de l’identité originelle de notre parti, l’absence d’un projet politique mobilisateur et rassembleur, la grave disqualification des règles d’organisation et de fonctionnement ».
«Réduire la crise du parti à un simple mécontentement de militants déçus pour ne pas avoir été retenus dans les listes de candidatures aux élections relève de la myopie politique ou de la désinformation. Une telle affirmation témoigne d’une volonté délibérée d’éviter tout débat sur les véritables causes de cette crise. Les élections
voila un extrait du message de bouhara qui parle du FLN et mes chers camarades…. on dirait qu’il par du FFS.
à vous de juger
ne sont pas la cause de la crise. Elles ont contribué à révéler toute son ampleur et toute sa gravité. La crise est multidimensionnelle et chronique», peut-on lire. Crises d’identité, de représentation, de fonctionnement, d’organisation, de confiance et de stratégie : le FLN version Belkhadem est, selon Bouhara, dans un état de déchéance avancée.
Monsieur Mehri, a usé de techniques de communication hélas non accessibles au commun des algériens pour dire ce que vous et moi pensons en ce moment précis.Il s’agit avant tout de deviner à qui ce message est adressé. le commun du peuple est de facto exclus des « confessions » de monsieur Mehri, sinon , il aurait pu s’exprimer de manière à se faire entendre du commun des mortels.Monsieur Mehri, enfant du système(ne l’oublions pas) est en train de s’adresser à ses semblables dans un message codé inaccécible à des gens comme vous et moi.Mes frères, l’urgence qui nous attend est de stopper, par tous les moyens légaux,la révision de la constitution.A l’issue de cet acte, le pire est à craidre.Tanmirt.
le FFS et un grand Partis, mais le probleme c’est une partis Algerien, alors rien a dire
le ffs doit se tronsformé à un grand parti nationale ci il veux etre un jour une véritable. altirnative démocratique la nationalisation de ffs reste le maieure moiyan d’afrontet tout les tantatives qui vése à marginalisé le parti. dans l’Etat actuale des choses le ffs ne représente aucan danget pour le pouvoir qui reste puissent grace ou sutien des grndes puissance et ce sutien lui mmeme et l’uavre de l’fablasse flagrant de l’opposition démocratique dans le ffs et le prancipale mouteur de cet opposition. et pour réaliseé le chongement escompté il ent indisponsable de travallet avec toute les forces qai croit a la démocratie ou sien au en doure de régéme.mais je reste convacu qu le chemien pour la démocratie en algérie et encore log car l’éritage de cet dictature militaire et trés lour et li foudra autou d’ans pour l’ifaceé.??!
Le FFS a son président et sa direction qu’il a choisi lui-même. Il lui a imprimé une ligne de conduite qui n’a pas changé depuis des années. Celui qui ne se plait pas dans cette ligne, il peut contribuer au multipartisme en créant son parti. Mais de grâce, ne changez pas et n’essayez pas de faire changer d’orbite au parti.
Au-delà du fait que nous voulons que le FFS scintille comme une étoile dans un ciel gris, il faut que l’on se penche sur le comment, les moyens à mettre en place et la durée.
Le FFS est un parti autonome d’opposition, de propositions et de positions. C’est de là qu’il tire sa crédibilité et sa cohérence politiques. Si la proclamation du 29 septembre 1963 est dépassée dans les âmes malicieuses, les fidèles compatriotes et militants croient que cet appel lancé par les maquisards de la démocratie est toujours en vigueur. Posez-vous les questions suivantes: du 5 juillet 1962 à ce jour, le système a-t-il changé ? Le processus de légitimation des institutions de la république est-il démocratique ? Le partage équitable des rentes et des ressources, toutes les ressources du pays est-il appliqué ? La justice entre les citoyens de la république, selon les priorités, les compétences et les règles éthiques et juridiques sont-elles le vécu des Algériens ?…et autres questions d’ordre existentiel et politique que le FFS impose dans le débat national.
Les militants du FFS sont des Algériens comme ceux des autres partis. Accordons-nous à nous dire seulement que le pouvoir a crée de fausses compétitions à l’échelle horizontale, pour que les avocats se trahissent et trahissent l’éthique de la profession pour défendre toutes les causes , pour que les médecins jetent le serment d’Apocrite et embrasse celui des hypocrites, pour devenir commerçants, les enseignants luttent que pour avoir un détachement dans les institutions antisociales et sans aucune prérogative, pour que les journalistes écrivent contre leurs libertés, diffament mais ne critiquent pas …etc.…etc.
AIT AHMED, des voyelles et consonnes qu’on doit écrire en lettre de noblesse et d’or a très bien dit que « nous aimons le FFS mais nous aimons l’Algérie plus fort que le parti ».
Cessons de vivre le cycle de vie des porque piques qui en période d’hibernation se serrent entre eux pour se faire une chaleur et parer au froid de l’hiver. Les piques les transperça, le mal que cause ces derniers les poussent à se relâcher, aussitôt le froid rattrapent les petits porteurs de piques et la mécanique dure toutes la période froides de l’hiver synonyme de froid, de brouillard et de douleurs.
Vous savez très bien que les services sévissent partout, et vous nous parlez de démocratie dans le FFS ? Le système est riche et soutenu par les négateurs de la démocratie dans le monde, par les lobbies politicaux-financiers « l’oncle SAM, et l’hexagone… » Demandons et d’avantage plus de démocratie pour l’Algérie, car le FFS n’est pas un pays. Et la revendication de démocratiser le FFS est une transposition du débat ver le bas, aux couches sociales, car le pouvoir en place à installé le débat de manque de démocratie dans les organisations pour faire oublier sa nature non démocratique.
De toutes les façons, les militants et les amis du FFS aiment ce dernier, mais à leur manière. La différence à mon sens est que certains militent pour donner au parti une place respectable, tandis que d’autres militent avec le parti pour faire à eux-mêmes une place honorable.
Pour ma part, je reste très convaincu que le FFS sait reconnaître les siens et « kima ygoulou ma yanfaa ghir s’ah ».
AISSA RAHMOUNE
AVOCAT STAGIAIRE.
c’est terrible