L’état d’urgence ne constitue pas une entrave à la démocratie !
Le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme CNCPPDH a évoqué, dans un entretien à l’APS, la question du maintien de l’état d’urgence, estimant que ce dispositif « ne peut constituer une entrave
à l’exercice démocratique » ni, a-t-il dit, « un obstacle à l’exercice des libertéé individuelles et collectives ».
« La presse est libre, le droit au rassemblement est garanti et les élections se sont effectuées dans un climat de liberté », a-t-il relevé, expliquant que l’état d’urgence est un arsenal juridique dont s’est doté l’Etat pour « combattre le terrorisme et non pas pour entraver les libertés des citoyens ».
Concernant le problème des détenus de Guantanamo, devant regagner le pays, il a réfuté la thèse consistant à dire que « leurs libertés ne seront pas respectées en Algérie ».
Il donne de la voix pour se faire entendre mais qui l’écoute ce guignol? Dire que les libertés sont respectées c’est simplement ridicule. Episodiquement ce charlot se met en scène pour justifier sa paie et sa place. Qu’il nous explique pour le CdH de l’ONU a condamné l’Algérie fin 2007. Il devrait refaire sa licence obtenue avec la bonification qu’on sait.
SANSAL dit par contre des vérités, un écrivain de qualité un homme sérieux, un cadre supérieur de haute compétence et travailleur de surcroit.Du temps ou en Algérie on travaillait sérieusement il faisait la fiérté de certains Algériens dont ils partageaient les convictions et le labeur , comme on aimerait en avoir beaucoup dans notre pays rempli de nuls et gérés par des bandits , dont certains en robe , d’autres avec des galons dorés et enfin une clique de coquins et de copains. Le pays est anesthésié et asséché.
meme 200000 morts ce n’est pas une entrave bien au contraire