Nos valeureux interprètes
La direction de la bibliothèque nationale d’El Hamma, Alger, a chargé des étudiants en interprétariat de traduire de l’arabe vers le français un roman de l’écrivaine la plus lue dans le monde arabe, Ahlem Mostaghanemi. Jusque-là tout allait bien. A la surprise générale, les étudiants-interpètes ont traduit, en premier, le nom de la romancière. Ainsi, « Les rêves d’un Mostaghanemois » a pris la place de Ahlem Mostaghanemi !
Ça promet !!!
Doit-on s’étonner de ces inepsies quand nos universités ont été transformées en créches pour adultes et que nos « doyens » et « recteurs » sont nommés par le sinistre DRS sur la base d’allégeance en lieu et place de la compétence?
Triste en effet!
L´école du népotisme où règne l´incompétence et la médiocrité.
Bientôt nous toucherons le fond.
@ Miriam,
Et après cela nous… creuserons, pour paraphraser un certain Fellag !
Salut a tous,
On touche vraiment le fond là.
Quand je pense a tout ce gachis, cela me donne envie de vomir a la figure de nos chers gouvernants
voila un autre exemple des prouesses de l école algérienne
Bonne lecture
Salut meussieu l’ambassade du Canada.
Voilà , je m’apele KADA et j’ai 20 tans . je t’ecri pour te dire que le visa il me faut tout de suite un d’uregence s’il te plait …..C’est une question de mort ou de mort . C’est vrai que je te jure que je te dis la viriti je vai exploser si tu me refuse a moi non je diconne pas c’est sirieux.
Pour moi tout est OK j’ai apele mon cousin Rachide que lui il est la bas depuis 35 an et lui il a tout preparé la bas pour moi tout il y a le travail , il y a le logement il y a la femme pour le koncubinage il y a les papiers et tout « le vent il te touche pas » il m’a dit mon cousin Rachid.
Pour la sikiriti sociale pas de probleme . Moi en tres bonne sante le etat du Canada ne donne pas un centime pour moi pour rembourse mé medicament je debrouille de debut jusqu’à la fin je te jure c’est vrai donne moi le visa et pas de probleme moi je fais la plomberie……..de l’ilictriciti ………….la couisine ……… informatik un peu sur le caramail , la micanique des voitures et la massonerie enfin je debrouille beaucoup de doménes et si tu veux je te donne pour les onfant de la bas des cours de l ‘arabe parce que moi j’ai lu beaucoup le journal el khabar qui est tres bien ici.
Dans mon piye je suis pas bien meeussieu l’ambassade , le digoutage il te tue,, la crise de l’iconomi le chomage la crise du logement et bcp de probleme que tu connais « il vaut mieux laissé le puit avec la couverture »
Voilà meussieu l’ambassade je t’es pas dis tout mais c’est pas grave la prochaine fois je te raconte tout je te jure moi j’ai beaucoup le respeecte pour ton piyé alors s’il te plait donne moi le visa.
En attendant que tu me donne le visa meussieu l’ambassade d’ici le plus rapide possible je t’embrasse toi et ta femme et toute la famille a bientôt
Vive Canada .
c’est malheureux ce qui se passe au departement d’interpretariat en ce qui concerne ces etudiants on doit les conduire aux ecoles primaire pour qu’ils apprennent de nouveau les langues
bonjour à tous ! eh bien je dois dire qu on apperçoit plus cet esprit culturel chez nos chers etudiants ,en fait ils sont exonérés du savoir davantage du savoir faire!! mais voyant; la faute ne revient- elle pas aux dirigeants immondes? avec tout mon respect.le système educatif=pedagogique necessite de vraies modifications;espérant des progrés ulterieurement et celà ne pourrait s averer que bénéfique autaunt pour les etudiants que pour les responsables…..mieux vaut tard que jamais .
bjr, je suis étudiante à la fac centrale ; specialité intérpretariat. j’ai honte pour ce que mes chers confrères ont fait comme betise, en effet c’est une erreur inpardonnable !!! comment ne même pas connaitre l’ecrivaine A.M!!
mais je tiens a souligner que ce n’est pas le cas de tous les etudiants en intérpretariat, nous ne sômmes pas tous mediocres, y en a qui ont un bon niveau mais malheureusement, qui se font decouragé par le niveau de certains prof….
bref, la majorité des étudiants ne fournit pas assez d’efforts, car pour maitriser les trois langues il faut travailler dur et pratiquer les langues etc….
et enfin il faut mériter pour faire cette specialité!
au revoir et merci
Bonjour
Je remercie les instigateurs de ce sujet, ceci mérite en effet un long débat qui toucherai l’enseignement supérieur algérien en amont comme en aval; cependant aborder la question ayant cette mauvaise foie qui sert, à mon sens, à ridiculiser des étudiant d’interprétariat ne nous avances en rien.
Je ne crois pas qu’un ton aussi sarcastique et moqueur puisse régler le problème du niveaux des traducteurs et interprètes en Algérie,par ce qu’avant d’engager un tel débat il va falloir faire un tour du coté des amphis de la fac d’Alger et voir le nombres d’étudiants inscrits, de ce qui assistent aux cours et des autres qui décrochent des diplômes d’interprète ou de traducteur, je ne cherche surtout pas à justifier l’injustifiable ( la médiocrité du niveau) mais il me semble qu’il faut regarder les choses en face et que c’est pas des logomachies dont on a besoin à la fac centrale mais d’un véritable encadrement, d’un sérieux travail de sélection des étudiants qui sont susceptibles d’apprendre non pas les langues étrangères, celles-ci doivent un acquis, mais la manière de s’en servir. Pour cela il faut des enseignants, une relève ce qui n’existe pas pour le moment, alors qu’on continu d’accepter des étudiants, qui par dépit s’inscrivent à la fac centrale, par ce que l’offre de formation post-bac reste très limités et ne répond plus aux exigences du marché du travail par ce qu’elle ne le suit pas et ne cherche pas à suivre ces évolutions.
Quant à la formation elle même, il faut distinguer l’interprète qui lui à pour mission de restituer fidèlement un discours prononcé en langue A qui est sa langue maternelle vers une langue B qu’il maîtrise aussi bien qu’une langue de départ qui est sa langue A en toute évidence; le traducteur quant à lui passe par le même processus de restitution du sens des mots en livrant un travail écrit ayant reçu quant à lui un support écrit sur lequel il intervient afin de rendre une traduction dans une combinaison linguistique donnée. Maintenant si vous dites qu’on a demander à des interprètes (en formation) de traduire une œuvre littéraire d’un auteur algérien contemporain, il n’aurait pas que des étudiant à blâmé, un interprète est loin d’être qualifié ou même disposé à traduire une œuvre littéraire !!! Les choses vont de même pour un traducteur !!! Il faut se poser la question : qui a demandé à des étudiants de traduire un roman ? Ne savent-ils pas que la traduction d’un roman est un processus de réécriture de cette même œuvre ? Ignorent-ils qu’il faut avoir fait des études très poussées afin de pouvoir répondre aux exigences de l’écrivain, de pouvoir jouer sur les tournures, avaler tout le sens du bouquin et pouvoir le recracher par la suite, jouir d’une culture et d’une connaissance littéraire immense, avoir lu des centaines de livres et de romans en langues d’origines et leurs traduction ???
C’est très facile de se moquer de ces pauvres étudiants mais soyons honnêtes un étudiant ne peut pas traduire un roman, encore moins un roman d’une écrivain algérienne qu’il ne connaît pas pour la simple raison que l’école algérienne, allant du primaire jusqu’à lycée, préfére nous bourrer le crâne avec des auteurs et des poètes orientaux, à qui j’aia beaucoup de respect que de nous programmer des écrivain algériens tel que Maameri, Kateb,Feraoun, Haddad, Amrouche, Abba,Benhadouga, qui sont dans les oubliettes !!!
Ahlem Mestghanmi est connue, un étudiant algérien doit absolument connaître au moins son nom.
bon jour malheureusement c’est la réalité d’un département vieillots avec des gens vieillots, je peux juste dire qu’il ya une minorité qui croyez moi proposent d’excellente traduction littéraire.
bonne journée