Chawki Amari condamné à deux mois de prison
La cour d’appel de Jijel a rendu hier sa décision dans le procès en appel opposant le wali de Jijel au directeur du quotidien El Watan, Omar Belhouchet, et au chroniqueur Chawki Amari. La cour a confirmé le verdict rendu par le tribunal de Jijel, prononcé le 27 mai 2007 et condamnant les deux journalistes d’El Watan à une peine de deux mois de prison ferme et le versement solidairement de la somme d’un million de dinars au wali, représentant les dommages causés à la partie plaignante. Le wali avait, rappelons-le, déposé une plainte suite à la publication d’une chronique intitulée «Un bel été à Jijel», dans l’édition du 17 juin 2006. Nous republions la chronique de Amari.
Un bel été à Jijel
Du nouveau dans la caste des intouchables. Après le wali de Blida, au Centre, celui d’El Tarf, au bout, est sous les projecteurs de la justice et sous toute réserve, indique qu’une petite lessive est en train d’être mise en marche pour laver ce corps aux grosses tâches des représentants régionaux de l’Etat. Dans ce scénario, le prochain wali à être sur la liste semble être celui de Jijel. Accusé de tous les maux, dilapidation des deniers publics, attributions de marchés douteux et détournement de budgets communaux, dans ces califats qui caractérisent les régions éloignées des centres de décision, il aurait même été, détail marquant, jusqu’à offrir un 4X4 de la wilaya à sa maîtresse. Trompe-t-on l’Etat quand on trompe sa femme ? Pas forcément. Mais quand les maîtresses de walis roulent dans les 4X4 de l’Etat à l’heure où la plus petite voiture de base coûte encore 4 ans de salaire de base, il y a de quoi monter au maquis. Pas celui de Jijel, mais celui du combat contre l’impunité des fonctionnaires désignés de l’Etat. L’ère féodale des walis, qui après avoir ruiné des wilayas sont souvent mutés dans d’autres wilayas pour faire la même chose, a touché sa limite de l’acceptable. Pas de faux espoirs pourtant, puisque les questions restent entières. Qui nomme les walis ? Celui qui les limoge. Qui limoge les walis ? Celui qui les nomme. Qui déclenche des enquêtes sur eux ? Le contre-pouvoir judiciaire et policier étant ce qu’il est, c’est-à-dire un simple soldat du pouvoir exécutif, le mystère est aussi obscur que la question de l’origine du monde ; est-ce le système qui a créé la corruption ou la corruption qui a fabriqué le système ? Est-ce le président qui nomme les walis ou les walis qui sont imposés au président ? Répondre à cette question de fonctionnement est déjà comprendre pourquoi ne fonctionne pas le pays le plus riche de sa région. Chawki Amari
En un mot: la justice algérienne doit passer en justice!
Alors on peut plus dire. ni s’exprimer comme on veut. et comme regarde des choses,mais que je suis un algerien et fierre de l’etre,j’éxprime comme je veut.
la vie tu commence a me nérvé
tu veut que je me sépare de la tranquilité
tu veut que je deviens un homme mechant
parmis ses bourreaux est ses charlatans
dans ce pays du président est des ministres
meme le Gia recrute des terroristes
a qui de trouver la solution
pour sortire de cette situation
le president habite a la télévision
tout les algeriens ecoute sa discution
mais les journalistes soufrent des questions
parceque il n’ya pas une liberté d’exprssion
alors je disait cest un bon pays
cest possible qu’il vont me payer
mais mon coeur me dit je suis désolé
je suis algerien je peut pas volé.
asuivre……….
nous savon aujourd’hui que se regne de la raison n’etait rien d’autre que le regne idéalisé de la bourgeoisie,est que la justice eternél trouva sa realisation dans la justice bourjeoise devant la loi.
j.j.rooooooooooooo
alors que je suis algerien et fiere de l’etre j’exprime comme je veut.
on a mare de ce systeme
meme de cette politique criminel
on a mare de vos information
boudiaf et mort en plein television
vous parler de la reconciliation
ou se cache t’il libérté d’expression
les journalistes dans le prison
putain dit nous pour quel raison
la constitution nest pas une solution
pour faire dormire le peuples sans reclamation
changer ses ides ses ides idio
tout le monde le savais que vous etes des bourreaux.
vous voulez me tué
moi aussi sans pitié.
j’ésperre que la jeunesses va comprendre que sse passe dans leurs pays
on se regroupes hommes est femmes
pour ce pouvoire en fait la flamme
Dans un pays où la démocratie se résume à aller voter…
… pour des résultats,d’avance truqués…
Dans un pays où l’école est sinistrée…
… et qui au lieu de former le citoyen,forme le Harraga et le proscris…
Dans un pays où la fine fleur de la jeunesse est assassinée…
…et les boureaux anoblis et pardonnés…
Dans un pays où on t’ordonne de force de te réconcilier…
…Pour offrir le prix Nobel à un président,à vie, autoproclamé…
Dans un pays ou l’opposition se résume à un sérail de génuflexeurs affamés…
Dans ce pays mon fils…
…Le cauchemard continue!!