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Archive pour le 21 mars, 2008

Urgent: 1 mort et des dizaines de blessés par balles à Ghardaia

Des émeutes ont éclaté mercredi 19 mars dans la commune de Berriane située a située à 40 km du chef-lieu de la wilaya de Ghardaia, a indiqué un communiqué de la fédération du FFS de Ghardaia.

A l’origine des événements, un jet de pétards dans une maison suivi d’un échange de jets de pierres. Au fil du temps, les événements connaissent des développements dangereux. L’aggravation de la situation est due essentiellement à l’absence de intervention des services de sécurité. Pourtant, les émeutes se sont déroulées au niveau de la route nationale 1, à quelques mètres de la brigade de la gendarmerie nationale.

Profitant de l’absence des services de sécurité, certaines parties occultes ont transformé les émeutes en affrontements entre deux communautés.  Les aventuriers ont réussi à opposer les jeunes mozabites aux jeunes chaâmbas.  Avec une telle instrumentalisation, les événements ont vite connu une extension et pris une dimension dangereuse. Ainsi,  des magasins ont été incendiés et des domiciles violés et pillés. L’absence des services de sécurité et des autorités locales ont rendu vains les efforts consentis par les élus locaux pour rétablir le calme. Par ailleurs, les brigades antiémeutes ne sont intervenues que six heures après le déclenchement des événements.

Le jeudi 20 mars, la ville connaît un retour au calme…qui n’a pas duré longtemps. En effet, à 10h00 les événements reprennent de nouveau. « Les autorités n’ont pas mis en place un plan pour maîtriser la situation », constatent les militants du FFS.

La situation s’est détériorée. Des tirs à arme à feu au quartier Kef Hamouda ont fait un mort (Laaskar Ali, jeune de 30 ans ) et plusieurs blessés par balles.

Sid Ahmed Ghozali à propos du départ de M. Hamrouche du gouvernement

Le départ de Mouloud Hamrouche était-il un départ naturel ou provoqué ?

C’est fifty-fifty. J’ignore l’existence d’une lettre de démission de sa part. On m’a dit qu’il a été démissionné. L’évolution des choses conduit à voir que la réalité est plus subtile que ça. Quand on évoque, en effet, ceux qui étaient derrière la conception du discours du 19 septembre 1988 qui mettait les échecs de la décennie 1980 sur le dos du FLN, et ceux qui ont obtenu le limogeage de Kasdi Merbah, ce sont les mêmes forces informelles des arcanes du pouvoir que l’on évoque. Je n’exclus donc ni l’hypothèse d’un problème de loyauté quelque part, le long d’une ligne de clivage au sein du microcosme civil et militaire, ni même celle d’une démission qui aurait été «concertée» aux fins de blanchir le sacrifié d’octobre 1988, le FLN et de le remplacer par un nouveau bouc émissaire. Lequel serait… le gouvernement Ghozali, par exemple ? Du temps où j’étais aux Affaires étrangères, le chef du gouvernement, à peine installé dans ses fonctions, semble avoir suscité des questionnements dans certains milieux de la Défense. J’étais présent au Conseil des ministres où il a dénoncé les services de la Défense comme étant la source d’attaques contre son gouvernement pour obtenir aussitôt le départ du responsable desdits services. C’est un fait unique dans les initiatives et les pouvoirs des chefs de gouvernement depuis l’amendement de la Constitution de novembre 1988. De surcroît, l’opacité dans les actions économiques et financières du chef du gouvernement et dans ses initiatives politiques semble avoir préoccupé le ministre de la Défense au point de s’en montrer suffisamment alarmé auprès du président, puisque c’est une séance d’«explications» qui fut tenue à la présidence, d’un côté les chefs du parti et du gouvernement accompagnés des ministres de l’Intérieur et des Finances, et de l’autre côté de la table, le directeur de cabinet et deux conseillers du président, ainsi que les ministres de la Défense et des Affaires étrangères. Les questions portèrent sur la situation financière du pays, sur les préparatifs des élections communales et sur les tractations politiques qui tournaient autour des futures élections législatives. Après quelques réponses très évasives, données dans une atmosphère d’une grande froideur, la séance tournait court et se soldait rapidement par une sorte de fin de non-recevoir à la question posée : «Où allons-nous ?». (In Le Soir d’Algérie du jeudi 19 mars 2008

Les guerres de Bush pour le pétrole

Par Hocine Malti, Algeria-Watch, 21 mars 2008

(Extrait)…Grande était la déception des participants du rallye Lisbonne – Dakar quand on leur a annoncé, en toute dernière minute, la veille du départ de la capitale portugaise, que l’épreuve était annulée ! Les rêves et les économies des uns, les ambitions et les contrats de sponsoring des autres s’étaient, tout d’un coup, envolés. Le groupe Amaury, organisateur de la course, déclarait avoir pris cette décision à la demande expresse du ministère français des affaires étrangères, qui avait eu connaissance de menaces de l’organisation terroriste Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui projetait de s’attaquer à la caravane lors de la traversée de la Mauritanie (…)

Vous pouvez lire le texte complet sur www.algeria-watch.org

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