10 avril, 2008
Graves révélations sur la gestion de l’OAIC !
Savez-vous que Kacem Mohamed Madani, DG de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), était un petit voleur de serpillières et de détergents lorsqu’il était un petit fonctionnaire au ministère des transports ? Savez-vous qu’il a été révoqué pour ces délits ? Comment un personnage de triste renom a-t-il pu s’infiltrer dans les rouages de l’Etat algérien à un niveau de responsabilité aussi sensible pour l’économie de notre pays? La réponse est simple: grâce à Chelghoum, ce grand stratège dans la rapine organisée. Demandez à Kacem DG d’un Office national stratégique, et devant témoins, de rédiger une missive aussi simple soit-elle et vous verrez le résultat. Je défie les autorités compétentes de le faire.
Demandez à Kacem et au tireur de ficelles Chelghoum ce qu’ils ont fait de l’argent du dispatche. Des millions de dollars sont allés dans leurs proches en toute impunité avec la complicité d’une certaine personne dont je terrai le nom pour le moment. Cette personne établie à Nice est leur affréteur en titre.
Demandez à Kacem, le mal nommé, pourquoi il a loué une villa chez un particulier à Dely Brahim pour loger les services de l’inspection générale de l’OAIC qui ne rempli plus aucune mission depuis belle lurette. Les rapports d’inspections peuvent faire foi, si rapports il y a. Chez qui a été louée cette villa et à combien ? Cherchez du côté de Chelghoum et vous saurez la vérité.
Demandez à Chelghoum à combien a-t-il loué les coucous épandeurs d’insecticides lors de la lutte antiacrédienne. Cherchez du côté de Sidi Yahia, dans un restaurant qui sert de la bouillabaisse.
Savez-vous que le Directeur régional ouest de l’OAIC est âgé de 67 ans ? Savez-vous aussi qu’il a été précédemment et pendant de longues années directeur de l’unité portuaire d’Alger et qu’il s’est désisté de locaux de très grande valeur commerciale situés à Alger au profit d’un ponte du régime dont je vous donnerai le nom plus tard. Savez-vous qu’il a été promu pour services rendus et muté à Oran où semble-t-il fait bon vivre? Tous les soirs, dans un restaurant huppé d’Oran avec l’un de ses compères en bonne compagnie et force de breuvages. Tout cela bien entendu aux frais de la princesse OAIC. Savez-vous aussi qu’il a été loué pour ce monsieur une villa meublée dans un quartier huppé d’Oran. A quel prix ???
Demandez à Kacem comment il est allé au pèlerinage à la Mecque. S’il était un tant soit peu honnête, il vous avouera qu’il s’est servi des fonds sociaux de l’OAIC, destinés aux travailleurs à faible revenu, et, cerise sur le gâteau, pourvu d’un ordre de mission signé par Sa Majesté le ministre de l’agriculture Said Barkat. C’est très facile à vérifier.
La villa de Dely Brahim qui se situe à côté d’un somptueux restaurant Dar Edounia a été louée pour 35 millions de centimes par mois depuis l’année 2000. Pour vérifier encore le vol et la mascarade à l’OAIC, on s’adresse au syndicat des coopératives de procéder à la vérification des pièces détachées de la société belge VIGAN. Les responsables ont ramené les mêmes pièces détachées, mêmes références en deux fois sans les avoir utiliser. Par des cadres de l’OAIC