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Archive pour le 11 avril, 2008

Complément d’informations concernant ce dossier évoqué par le Ministre de l’Intérieur

Nature du projet: recrutement de l’Unité de Suivi et d’Assistance Technique au Programme (USAT). Programme d’appui à la réhabilitation des zones affectées par les actes de terrorisme Algérie.
Le marché consiste à fournir l’assistance technique, coordonnée au sein de l’Unité de Suivi et d’Assistance Technique au Programme (USAT), qui doit apporter l’appui au bénéficiaire pour l’exécution technique et administrative des activités qui sont financées par le programme.
Le marché fournira les experts pour l’appui à la planification, la gestion et au suivi du programme.
Budget maximal disponible
Le budget maximal disponible est de 2.495.000 €

Description :
Le marché est passé dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’Appui à la Réhabilitation des Zones Affectées par les Actes de Terrorisme dans les wilaya de Mascara, Relizane, Tissemsilt, Tiaret, Ain Defla et Chlef. La contribution communautaire accordée par ce programme est constituée :
a) d’un appui au financement de plans de réhabilitation, de développement local et de relance des activités productives.
b) De l’assistance technique pour (i) des études, (ii) la préparation et la gestion des opérations de réhabilitation, (iii) le suivi du programme et (iiii) l’évaluation des appels à proposition en direction des associations.
c) de subventions qui seront destinées aux associations agrées au niveau national.
Le marché consiste à fournir l’assistance technique, coordonnée au sein de l’Unité de Suivi et d’Assistance Technique au Programme (USAT), qui doit apporter l’appui au bénéficiaire pour l’exécution technique et administrative des activités du programme.
Le marché fournira les experts pour l’appui à la planification, la gestion et au suivi t du programme.
Le Prestataire mettra à la disposition du programme 2068 personnes/jour d’assistance technique internationale et 792 personnes/jour d’assistance Technique locale repartis comme suit.
Nom des candidats retenus:
1. EuroEstudios S.L (Espagne) – Lotti Associati (Italie)
2. GOPA Consultants (Allemagne) – Institut de Développement des Ressources Humaines (IDRH) (Algérie)
3. Louis Berger SAS (France)
4. WYG International (Royaume Uni) Centre National d’Etudes et d’Analyses pour la Population et le Développement (Algérie)
La décision de choisir entre les soumissionnaires ci-dessus n’a pas été prise. L’appel d’offres a été annulé et une nouvelle procédure de consultation a été lancée par la Commission européenne le 23 décembre 2005.
En juillet 2006 d’autres soumissions ont été reçues, et la sélection a aboutie aux résultats suivants :
Nom des candidats retenus sur la liste restreinte
1. BDPA (France) – CENEAP (Algérie)
2. GFA Consulting (Allemagne) – BRL Ingénierie (France) – BNEDR (Algérie)
3. GOPA (Allemagne) – IDRH (Algérie)
4. EuroEstudios S.L (Espagne) – Lotti Associati (Italie)
5. WYG International (Royaume Uni)

La deuxième annulation a été prononcée en juin 2006 il y a donc près de deux ans.

Par Mohand (visiteur du blog)

Zerhouni regrette les sympathies affichées par certains responsables algériens à l’égard d’ONG étrangères

yazidzerhouni.jpgLe ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni a regretté mercredi les sympathies affichées par « certains responsables » à l’égard d’ONG étrangères. Intervenant lors d’une session plénière de l’APN consacrée à l’examen du projet de loi relatif aux conditions d’entrée, de séjour et de déplacement des étrangers en Algérie, le ministre de l’Intérieur a affirmé avoir « beaucoup de regrets de voir certains responsables en Algérie proposer de laisser une liberté totale aux ONG (étrangères) ». 

Zerhouni s’est interrogé sur les motifs pour lesquels ces ONG qui prétendent apprendre aux Algériens les principes de la transparence, de la démocratie et de la bonne gouvernance – si « vraiment » elles parlent de transparence- occultent-elles leurs sources de financement et leurs bailleurs de fonds qu’elles dépensent dans le pays pour, a-t-il dit, « corrompre les Algériens ».  Il a demandé aux ONG de « prouver leurs compétences et leur expertise » pour intervenir dans l’exécution de certains programmes et projets dans le pays si vraiment « elles voulaient travailler dans la transparence ». Le ministre a regretté que certains responsables même au sein de l’APN puissent traiter avec ces organisations, les exhortant à « davantage de vigilance ».  Il a cité à titre d’exemple le cas d’une ONG de l’Union européenne qui a proposé à l’Algérie en 2002 la somme de 200.000 euros pour contribuer au projet initié par l’Etat pour favoriser le retour des personnes ayant été forcées à fuir les zones rurales en raison des actes terroristes. 

Néanmoins, poursuit le ministre, cette ONG a élaboré un cahier des charges en vertu duquel l’enveloppe financière ne devait pas être mise à la disposition des autorités publiques et à exigé, en revanche, qu’elle soit destinée aux associations représentant la société civile et que le projet soit mis en oeuvre sous sa supervision

Algérie : L’impossible justice pour les victimes des « années de sang »

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Par François Gèze et Salima Mellah, 10 avril 2008 

Article publié dans le dossier de la revue Mouvements  : « Vérité, justice, réconciliation. Les dilemmes de la justice transitionnelle », Mouvements , n° 53, mars-mai 2008 (en vente en librairie le 10 avril 2008). 

Après sept années d’une « sale guerre » (1992-1999) qui a fait quelque 200 000 morts, 20 000 « disparus » et provoqué le déplacement forcé de plus de 1,5 million de personnes, la violence perdure en Algérie, endeuillée en 2007 par des attentats suicides. La « loi de réconciliation nationale » mise en œuvre par le régime en février 2006, loin de pacifier le pays, a surtout fait fonction d’autoamnistie pour les responsables militaires et policiers responsables de violations massives des droits humains, tandis que la grande majorité des membres des groupes armés échappaient également à la justice. La longue lutte des familles de disparus, réclamant « vérité et justice », s’est heurtée jusqu’à ce jour à l’indifférence du pouvoir et de la communauté internationale. Tandis que certaines associations de victimes prônaient en 2007 une forme très restreinte de justice transitionnelle inspirée du modèle marocain de l’Instance Équité et Réconciliation, exonérant les responsables des crimes de toute poursuite.

Lire la suite www.algeria-watch.org  

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