15 avril, 2008
La phrase débile du jour…
«Nous sollicitons les conseils du FMI pour faire face à la hausse des prix», M. Leksasi gouverneur de la Banque d’Algérie.
«Nous sollicitons les conseils du FMI pour faire face à la hausse des prix», M. Leksasi gouverneur de la Banque d’Algérie.
Après quelques mois de chômage politique, l’ex-chef du gouvernement et actuel secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, reprend du service. En effet, après avoir été envoyé en Inde en qualité de représentant personnel du chef de l’Etat au sommet Inde-Afrique qui s’est tenu dans la capitale indienne, Ahmed Ouyahia est chargé par le président Abdelaziz Bouteflika de conduire, mercredi 16 avril, la délégation algérienne à la réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies, à New-York. La réunion du Conseil de sécurité va porter sur les relations entre l’ONU et les organisations régionales, en particulier l’Union africaine, dans le maintien de la paix et de la sécurité internationale. Contrairement aux affirmations de journalistes sur l’éventuel retour de Ouyahia au gouvernement, sa désignation comme vice-président de la République ou encore sa candidature à la président de la République, il est clair que Ouyahia est revenu pour s’occuper des questions africaines. Est-il exclu définitivement des questions algériennes ? Nous l’espérons bien. Mais en attendant, Ouyahia est orienté vers l’ANSEJ politique.
El Mouhatarem
« Le FLN a décidé de mettre ses locaux à travers le territoire national à la disposition des classes d’alphabétisation », Abdelaziz Belkhadem
« D’un point de vue purement professionnel, la télévision algérienne est en faillite professionnellement parlant, mais elle possède des cadres et des compétences qui n’ont pas été exploités de la bonne façon. La télévision algérienne a formé une génération de journalistes professionnels qui ont réussi de part le monde, et je suis fière ici, au Golf, d’être le produit d’une industrie locale algérienne, et je dois beaucoup à la radio et la télévision algériennes. Cependant, je ressens une grande amertume lorsque je vois le niveau qu’a atteint la télévision algérienne. Malheureusement, l’Algérie riche en compétences et en argent est incapable aujourd’hui de trouver une voix médiatique qui reflète son image, sa beauté, sa culture et ses traditions à l’étranger. «