Mustapha Bouchachi, président de la LADDH au Courrier
«Il faut dépénaliser le délit de presse…La Ligue algérienne de la défense des droits de l’homme (LADDH) a demandé la levée de l’état d’urgence qui entrave davantage le métier de journaliste…Il est temps de dépénaliser et de revoir le code de l’information que nous considérons, en tant que militants des droits de l’homme, comme un code pénal bis. Pour promouvoir la liberté de la presse, il faut ouvrir le champ audiovisuel, à l’instar de ce qui se fait dans tous les pays démocratiques…La presse algérienne travaille dans des conditions dangereuses. Il faut que la liberté d’expression soit respectée, selon les standards universels».
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