Levée de l’état d’urgence : le refus de l’Algérie
En réponse à une demande émanant du comité contre la torture de l’ONU relative à la nécessité de lever l’état d’urgence en vigueur depuis 1992, le représentant algérien à l’organisation onusienne, Idriss Jazaïri, a estimé que cette situation n’entrave pas le respect des droits de l’homme. Plus précis, le diplomate a ajouté qu’aucune décision n’a été prise par le gouvernement algérien concernant cette question.
Finalement, pourquoi se passerait-on d’un instrument qui permet de s’emparer des richesses de l’Algérie et de mettre à sac le pays sans que quiconque ne puisse trouver à y redire ?