Photo souvenir
Nadir Benseba, membre du syndicat national des journalistes (SNJ) et coordinateur du Centre d’Alger de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), recevant un prix des mains de M. Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) et ancien chef du gouvernement, lors d’une cérémonie organisée à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse qui coïncide avec le 3 mai.
Pour rappel, Ahmed Ouyahia est l’artisan en 2001 des amendements du Code pénal et de l’article 144 bis, pénalisant les délits de presse, qui énonce qu’est « punie d’un emprisonnement de 3 mois à 12 mois et d’une amende de 50 000 à 250 000 DA ou de l’une de ces deux peines seulement, toute personne qui offense le président de la République par une expression outrageante, injurieuse ou diffamatoire, que ce soit par voie d’écrit, de dessin ou de tout autre support de la parole ou de l’image ou que ce soit par tout autre support électronique, informatique ou informationnel ».
L’article 144 bis 1 précise que si « l’outrage » est le fait d’une publication quelle que soit sa périodicité, les poursuites prévues à l’article précédent sont engagées contre le rédacteur de l’article, les responsables de la publication et, fait nouveau dans la législation algérienne, contre la publication elle-même. En plus des peines de prison et des amendes encourues par les journalistes, la publication aussi est passible d’une amende de 500 000 à 2 500 000 dinars algériens.
…les médiocres ont pris des allures d’astres scintillants ! Cela a-t-il besoin de commentaires?
Cher ABDOUMENFLOYD,
Je n’ai jamais remis en cause votre honneteté, d’ailleurs, je ne vous connais pas. Je parle de la reproduction d’articles que j’écris moi-même. Sans rancune ! Bon courage
Pas de soucis monsieur ,bon courage a vous,ALGERIE ;JE T’AIME… “TRAVAILLONS TOUTES ET TOUS ENSEMBLE A L’INSTAURATION DE LA 2e REPUBLIQUE »