Archive pour mai, 2008

Réaction à la décision du président Bouteflika de muter le wali de Chlef

Enfin, le Président de la République a mis fin ce jour 07/05/08 au marasme socio-économique qui perdurait depuis plusieurs années à Chlef par la présence d’un Wali attiré par les actes de corruption et ceci grâce à la bénédiction de certains services de l’Etat omniprésents sur le terrain. Etaient-ils complices ou impuissants ces derniers devant le Pharaon de Khémis (Tlemcen) ? L’avenir nous le dira. Mais, ces responsables ont opté plutôt pour le silence préférant perpétuer ce fléau dans notre Wilaya afin d’assurer aux générations montantes, la seule survie pour eux, la délinquance où l’émigration clandestine.
Toujours est-il que les agissements du premier responsable de la Wilaya ont terni l’image de l’Etat et particulièrement celle de sa région, qui demeure aux yeux des honnêtes citoyens, un des symboles de la culture algérienne.
Heureusement que l’Etat n’était pas sourd, pour une fois, aux protestations de toute une wilaya. Sa mutation hors de la wilaya de Chlef permettra à l’Etat, sans aucun doute, de renouer avec ses administrés sur la base d’une confiance retrouvée et basée sur le respect des droits et devoirs pour chacun d’eux. La sagesse pour chacun de nos responsables, investi d’une mission publique, doit être la règle et non l’exception vis-à-vis de leurs concitoyens déjà martyrisés par la cherté de la vie et le chômage qui les guettent quotidiennement. Le mal est très facile de le réaliser, le bien demeure, par contre, une denrée rare pour la majorité de nos responsables attirés par l’enrichissement illégal. C’est pourquoi, il est utile pour chacun de nous de dialoguer et de veiller à préserver le climat social déjà très précaire, face à une jeunesse algérienne victime des tares de notre mode de développement où l’argent, la corruption et le népotisme sont érigés en règle depuis très longtemps par certains responsables administratifs et élus du pays. Bonne chance au nouveau Wali de Chlef sur le terrain brûlé que lui a laissé son prédécesseur, muté à Annaba.

Par Hassen de Chlef

Nouvelles révélations d’un cadre de l’OAIC

Bulletin n°1, par l’oiseau du paradis 

Connaissant l’équipe actuelle de cadres de cet honorable Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), l’oiseau du paradis se permet de répondre : 

A l’arrivée de cette nouvelle équipe, à la fin de l’année 2000, (l’Office était dans une situation de quasi-banqueroute, au regard de l’article 715 bis du code de commerce, puisqu’il se caractérisait par un actif net négatif de 10 milliards de DA, un important portefeuille de créances représentant 80% du bilan et un important découvert (13,7 milliards de dinars) de son compte bancaire, bien que l’Etat avait déjà assaini la situation de l’Office à fin 1998 en injectant une somme de plusieurs dizaines de milliards de DA. 

Depuis la création de l’Office et jusqu’à fin 2000 aucun bilan de l’établissement n’avait été certifié.
Devant cette situation, l’autorité ayant la charge du secteur a préféré changer le staff de l’Office plutôt que de dissoudre l’organisme. 

Il faut souligner également que jusqu’à la date de l’arrivée des envahisseurs des Transports ainsi que les qualifient ces (…), qui sont venus mettre de l’ordre dans cet établissement et l’assainir, toutes les cargaisons des navires n’étaient nullement la propriété de l’office mais celle de certains de ces (…): le produit était cédé avec des bons contre la remise de sachets noirs pleins de. .. Les ventes aux transformateurs se faisaient à Perte et avec des crédits illimités dans le temps et dans l’espace, sans se soucier de la situation de l’Office, pour soit disant faire face à la concurrence des opérateurs privés.  Ce qui importait pour ces (…) c’était de vendre le produit pour pouvoir toucher au plus vite sa quote-part. 

Au plan international, beaucoup de sociétés de négoce ont refusé de travailler avec l’Office, compte tenu du comportement de ces (…), et les armateurs hésitaient à fréter leurs navires compte tenu des retards énormes pour leur déchargement et leur libération. 

Avec des retards de 1 mois et plus, pendant les périodes de juillet-août, les montants des suresaries dépassaient de très loin celui du produit, ces (…) n’hésitant pas à retenir les navires pour négocier une part sur les surestaries. 

A titre de rappel au bon souvenir de ces (…), l’un des Ministres de l’Agriculture de l’époque avait même saisi son collègue de l’Intérieur pour lui demander d’ouvrir une enquête sur ces (…), allant jusqu’à les qualifier de CAMORRA. 

Voila la bonne gestion dont se targuent ces (…), à comparer avec le redressement spectaculaire opéré à partir de la fin de l’année 2000 par les honnêtes gestionnaires qu’ils veulent salir, redressement opéré avec l’arrivée de Monsieur CHELGHOUM. 

L’une des premières mesures avait été de prononcer la propriété de I’OAIC sur le produit, jusqu’à son arrivée chez le client, par circulaire n°798 de novembre 2000, ce qui avait fait à l’époque jaser beaucoup de ces (…) 

La remise en ordre de la situation de l’Office était plus que nécessaire surtout si l’on se réfère aux rapports et enquêtes des institutions habilités, telles que I’IGF. 

D’ailleurs, il serait très utile, pour confondre ces (…) de diffuser quelques extraits de ces rapports. 

Avec cette première mesure, un vaste plan d’assainissement avait démarré à partir de 2001 permettant : 

- de reconstituer la trésorerie de l’Office grâce à la mise en place d’un nouveau système de commercialisation qui repose sur la centralisation des recettes des ventes effectuées par les CCLS pour le compte de l’Office, alors qu’auparavant ces recettes étaient accaparée par les coopératives et n’étaient pas reversées dans leur totalité. 

- de lancer des opérations de recouvrement des créances détenues sur les transformateurs publics et privés. 

- de lancer les travaux d’assainissement de ses dettes et créances vis-à-vis des CCLS et de leurs Unions, des dettes et créances inter- organismes.
- d’assainir les stocks et les investissements réalisés. 

La mise en œuvre de ce programme a permis d’améliorer de façon très nette la situation financière de l’Office permettant de réaliser des bénéfices à la fin de l’exercice 2001 et tous les exercices qui ont suivis. 

Toute cette dynamique a été conservée et entretenue jusqu’à ces jours suscitant la convoitise, d’autant qu’avec la mise en œuvre des mesures de redressement beaucoup d’intérêts ont été dérangés. Voila le pourquoi de l’actuelle campagne de dénigrement des cadres intègre de l’Office qui n’ont pour seul souci que celui d’assurer le développement et le renforcement de l’Office et de pérenniser son existence. 

Parmi cette bande de (…), un soit disant inspecteur général qui déclare être marginalisé, alors que lorsqu’il était à la tête de la Direction des Ressources Humaines et des Moyens Généraux, il ne faisait que signer des bons de commande pour récupérer de l’argent sans que la marchandise ne soit livrée pour utiliser l’argent le soir dans les boites de nuit. Il passait ses journées à harceler le personnel féminin de la Direction. S’il désire consulter son dossier il lui est possible de le demander avec même une cassette audio à l’appui (un document sera diffusé dans le prochain bulletin) l’honnêteté et la transparence de ces cadres. 

Un autre (…), ex-cadre dirigeant à la Direction du Commerce extérieur, ne se contentait pas de ses transactions avec l’extérieur a poussé le culot jusqu’à créer une entreprise maritime de contrôle au nom de sa femme dénommée PROCONTROL usant de ses fonctions et de ses relations avec les fournisseurs pour s’accaparer de toutes les opérations de contrôle des navires de l’Office payables en devises. (Un document sera diffusé dans le prochain bulletin) 

Parmi ces (…) un ex-cadre de la Direction des semences et d’appui à la production relevé de ses fonctions pour corruption avec les fournisseurs de produits phytosanitaires, grâce à quoi il s’est approprié de terrain et l’investissement dans une station de traitement et de conditionnement de semences dans une des wilaya de l’Ouest. L’intéressé en Congé de maladie au niveau de l’Office, travaillait pour le compte d’une coopérative privée spécialisée dans la commercialisation des produits phytosanitaires. Le nom de cette personne sera connu dans le prochain bulletin.

Chacun de nous peut contribuer à l’évolution de la société…

Dans un pays où l’information est verrouillée, les droits sont bafoués, la liberté d’expression est tout simplement interdite, on ne peut que se féliciter de l’existence de ce blog, seule tribune qui reste où le citoyen algérien quel qu’il soit peut s’exprimer librement et défendre ses idées tout en respectant les idées des autres, mais aussi peut débattre indirectement dans la sérénité la plus totale et le respect d’autrui.
Malheureusement le pouvoir algérien fidèle à ses habitudes mensongères et propagandistes réussit,même si à court terme, à faire pénétrer dans la société quelques uns de ses mensonges par ses relais médiatiques et ses partis préfabriqués dans je ne sais quelles officines de la police politique. Mais ne soyons surtout pas dupes ! Il ne peut exister une presse libre sous une domination dictatoriale où les aventuriers et les charlatans de tout bord n’hésitent pas à pénaliser une opinion qui peut nuire à leurs intérêts. Mais l’histoire retiendra qu’”on peut tromper un peuple une fois, deux fois mais on peut pas le tromper éternellement.» Je pense que ce qui fait d’un homme un grand politicien ce n’est pas simplement sa tendance critique vis-à-vis du pouvoir autoritaire, mais aussi sa force de proposition. Chacun de nous peut contribuer à l’évolution de la société d’une manière positive, par un esprit constructif, pour arriver un jour à civiliser la société et donc civiliser la politique.

Par Slimane kaced 

Mouvement dans le corps des Walis

ghazi.jpgLe président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a procédé, mercredi, à un mouvement dans le corps des walis, conformément aux prérogatives qui lui sont conférées par l’article 78-9 de la Constitution, indique
un communiqué de la présidence de la République. 
Ce mouvement comporte les nominations et fins de fonctions suivantes: 
Au titre des nominations, Messieurs : 
El Ghazi Mohamed, Wali de Annaba, précédemment Wali de Chlef 
Bousmaha Mohamed, Wali de Tiaret, précédemment Wali de Tindouf 
Merad Brahim, Wali de Boumerdès, précédemment Wali de Tiaret 
Fatmi Rachid, Wali de Souk Ahras, précédemment Wali de Béjaia 
Bedrici Ali, Wali de Béjaia, précédemment Wali de Boumerdès 
Chater Abdelhakim, Wali de Tindouf, précédemment SG de la wilaya de Chlef 
Hamidou Mohamed, Wali de Naâma, précédemment SG de la wilaya d’Oum El Bouaghi 
Djamaa Mahmoud, Wali de Chlef, précédemment SG de la wilaya d’Alger 
Bouguerra Ali, Wali de Bouira, précédemment SG de la wilaya de Sétif 
Kanoun Hacene, Wali d’El Tarf, précédemment SG de la wilaya de Sidi Bel Abbès 
Au titre des fins de fonctions, Messieurs : 
Bengayou Brahim, Wali de Annaba, appelé à d’autre fonctions 
Maatali Abdelkebir, Wali de Naâma, appelé à d’autres fonctions 
Tahri Miloud, Wali de Souk Ahras, appelé à d’autres fonctions 
Farsi Abdelkader, Wali de Bouira, appelé à d’autres fonctions. 
 
S’agissant des Walis Délégués, le mouvement auquel a également procédé le président de la République, comporte la nomination et la fin de fonctions suivantes : 
Au titre de nomination, Madame : 
Rais Fatma Zohra, Wali Délégué de Zéralda, précédemment SG de la wilaya d’El Tarf 
Au titre de fin de fonctions, Monsieur :
Redjimi Abdallah, Wali Délégué de Zéralda, appelé à d’autres fonctions.

Comité contre la torture de l’ONU: réponses de la délégation algérienne *

dris.jpgRéponses de Idriss Jazairy, Représentant permanent de l'Algérie auprès de l'Office des Nations Unies à Genève.   

L'état d'urgence:

« L’état d’urgence ne constituait rien d'autre que la continuation de l'Etat de droit dans des circonstances exceptionnelles. Il ne peut être évoqué par le chef de l'Etat, conformément à
la Constitution. L'état d'urgence est une garantie pour l'État d'assurer la protection permanente des personnes et le fonctionnement normal des institutions. Bien qu'il ait été appliqué en 1992, il n'a pas conduit à la suppression de
la Constitution. Des restrictions ont été levées régulièrement depuis lors. Les tribunaux spéciaux ont été dissous en 1995. Depuis lors, les crimes de terrorisme ont été jugés en vertu de la loi. La seule demande a été la possibilité d'appeler des unités de l'armée à effectuer des missions à assurer l'ordre public et la sécurité. L'état d'urgence ne constituait pas un déni des droits démocratiques. Sinon, comment pourrait-on expliquer les trois élections présidentielles qui ont eu lieu, l'augmentation du nombre d'associations, la libre circulation des millions de voyageurs en provenance et au départ de l'Algérie, et des centaines de conférences internationales et les organisations régionales et culturelles, scientifiques et les événements sportifs qui ont eu lieu? Les ambassades ont été rouvertes et les compagnies aériennes étaient rentrées. Tous ces indicateurs sont en cours de l'amélioration de la situation en matière de sécurité et le retour à la normale… Les attaques contre le siège des Nations Unies à Alger le 11 Décembre 2007 ont été un signe de la nécessité de rester vigilants et de garder l'état d'urgence en vigueur.  Il convient de noter que les principaux partis politiques, exprimant la volonté de la majorité de la population, sont contre la levée l'état d'urgence. Quand il est question de sauver des vies et de mettre en oeuvre la volonté du peuple, il n'était pas si terrible d'avoir un ID de contrôle un certain nombre de fois par jour… » 
 

 


La Charte de la paix et de réconciliation nationale:
 

«Il s'agissait de la compétence exclusive et inaliénable de propriété du peuple algérien. Le peuple algérien a souffert d’une décennie de terrorisme et a décidé de rétablir son destin. Est-il moral ou éthique de dire aux Algériens qu'ils avaient fait un mauvais choix et de dicter la route aux  personnes qu’ils vont emprunter ? Le Ministère de
la Justice a statué au nom du peuple. Les droits de l'homme ne devraient pas être utilisés comme instruments. La délégation ne peut accepter la remise en cause de la volonté de millions d'Algériens qui ont approuvé
la Charte. Je n’ai trouvé nulle part le mot amnistie dans
la Charte de la paix et de réconciliation nationale. L'article 45 de
la Charte n'a accordé une amnistie à personne. Il protège les forces armées de la procédure pénale lorsqu'il est lié aux missions qui ont été menées pour sauvegarder la nation et de protéger son peuple. Tout acte en dehors de ce cadre, y compris les crimes de droit commun, ne pas tomber dans le champ d'application de l'article 45 de
la Charte. La liberté d'expression est garantie par
la Constitution. L'article 45 de
la Charte a donné priorité à la paix et la réconciliation. Ceux qui violent cette décision étaient susceptibles d'être poursuivis en justice. Ces dispositions ont été pour traiter les cas comme ceux condamnant dans d'autres pays les révisionnistes ou le négationnisme de certains âges sombres de l'histoire. L'article 45 ne stipule en aucun cas que les actes perpétrés par les services de sécurité ne pouvaient pas faire l'objet de poursuites… L'État ne pouvait pas poursuivre ce qui s'était passé au cours d'opérations militaires où les soldats menaient une lutte contre un ennemi dans une bataille qui n'était pas couverte par le statut et les règles normales de conflits militaires. L'Algérie n'a pas été dans une lutte contre un État étranger, mais contre des terroristes… 
 

L’usage de la violence par l’Etat:  

L'État avait défendu la nation contre les attentats terroristes qui ont été sans précédent dans l'histoire. De nombreux policiers et soldats ont trouvé la mort dans la lutte. Pourquoi doit-on chercher à comparer les terroristes et ceux qui ont cherché à protéger la nation? Si les forces de sécurité sont blâmés maintenant, qui serait prêt à protéger le pays, la prochaine fois en cas de problèmes ?  Les droits de l'homme ne doivent pas être utilisé comme un instrument politique. Dans d'autres cas cités par les experts, l'utilisation de la force par les autorités publiques afin de surmonter l'opposition sans défense ont été mentionnés, mais dans les faits, ces mesures ont été prises contre les criminels armés qui ont essayé de prendre la nation en otage.  

La question des disparus :  

Les disparitions ont été une des conséquences des drames vécus par la société algérienne. L’Algérie reconnaît la responsabilité civile et le Président a présenté sa compassion aux familles des victimes dans tous ses meetings en octobre 2005.
La Charte a été une réponse patriotique. 
 

La définition du terrorisme:   

"La définition du terrorisme diffère d'un État à l'autre. Concernant la durée de la garde à vue pour les crimes terroristes, elle varié d'un État à un autre. L'absence de consensus au niveau international a donné lieu à diverses interprétations. L'Algérie est la recherche d'une définition globale du terrorisme. Il était difficile de donner une définition. Avant 1992, il n’y avait pas eu de définition. Il est difficile de le définir, car le terrorisme cible arbitrairement un groupe de personnes ou des lieux publics de différentes manières  

Droit des détenus : Les détenus avaient le droit de communiquer immédiatement avec la famille et de recevoir des visites. Ils pourraient également être examiné par un médecin de leur choix et ont le droit d'être informé de tous leurs droits. La présence d'un avocat de la défense n'a pas été mentionnée dans les textes juridiques en cours, mais beaucoup de pensée est actuellement donnée à ce sujet dans le cadre de la révision actuelle de la loi."  

La peine de mort :

"Aucune exécution n'avait eu lieu depuis 1993."  

Tribunaux militaires:

"Ils ont été établi pour des infractions militaires seulement. La trahison est le seul cas où un civil pourrait être jugé par des tribunaux militaires. Des décisions ont été rendues publiques et pourrait être portée en appel devant
la Cour suprême. Les tribunaux militaires ont été présidés par un juge civil. 
 

Pourquoi les agents de la fonction publique ne sont pas mentionnés dans les dispositions légales contre la torture ? "Il s'agit d'un malentendu, la définition de la torture est en pleine conformité avec ces dispositions. Tout agent qui torture un détenu ou qui a accepté ou ignoré les actes de torture soit poursuivi et emprisonné."   

La réduction de la responsabilité pénale à 16 ans  :

"Ce n'est pas le cas. Les mineurs entre 16 et 18 ans ne pourraient être apprécié que dans les cas de terrorisme comme cela a été considéré comme une infraction grave. Toutefois, un terroriste à cet âge ne peut être condamné à l'emprisonnement à vie, un mineur doit être condamné à la moitié de la peine infligée à un adulte."  

Aide accordée aux victimes de la tragédie nationale:

"L'assistance dans le domaine du logement, le microcrédit et le soutien social a été fournie pour permettre aux victimes de se réinsérer dans la société. Il n'y avait pas de distinction entre les différents groupes. L'État a compensé toutes les victimes de la tragédie nationale. En ce qui concerne les familles qui ont des membres disparus, 5730 avait obtenu le soutien financier de l'Etat. Cinq mille d'entre eux qui ont perdu leur travail à cause de la tragédie nationale ont également été pris en charge. Les conditions requises pour obtenir une indemnisation,la délégation a noté que, en vertu de la loi, une disparition doit être certifiée par un juge. Une disparition après quatre ans la famille obtient un certificat de décès. En vertu de
la Charte, ce délai a été raccourci." 
 

Prévention de la violence contre les femmes :

"Les droits des femmes font partie des droits de l'homme enseignés dans les facultés de droit, les académies de police et les écoles pour officiers de l'armée. La police a édité un manuel sur les normes internationales des droits humains. Ce manuel a été distribué à grande échelle au niveau de la police nationale et de l'armée."   

Commission consultative des droits de l'homme :

« Son rapport a été distribué à la presse. Une conférence de presse a été organisée. Une brochure est également disponible et il y avait un site Web".  

Les juges et leur période d'essai de dix ans :

"Les juges n'ont pas été radiés à moins qu'il n'y ait une faute grave. Le rapport a parlé de la rotation. Pour les dix premières années les juges pourraient déménager dans une autre région et ils pourraient s'installer, après dix ans. Il s'agit d'une question de la rotation et non de radiation."  

Visites des rapporteurs spéciaux en Algérie  :

"L'Etat souhaite recevoir des informations et une justification sur les raisons d'une visite pour enfin envoyer une invitation. L'invitation d'un rapporteur spécial est une prérogative de l'État qui ne devrait pas être transformée en obligation. L'Algérie souhaite collaborer avec tous les Rapporteurs spéciaux, mais cela doit se faire d'une manière organisée. Le Comité n'est pas une salle d'audience et les rapporteurs spéciaux ne sont pas des inspecteurs de police."  

*Le texte est traduit de l’Anglais. Toutes nos excuses pour d’éventuelles erreurs.  El Mouhtarem

الرئاسة تستمع إلى قاسم حول المخزون الاحتياطي للجزائر

شوهد المدير العام للديوان المهني للحبوب، السيد محمد قاسم، قبل يومين، بمكان قريب من مدخل رئاسة الجمهورية، حيث كان هناك بطلب من إطارات سامية في قصر المرادية للاستماع إلى روايته بخصوص المخزون الاستراتيجي للجزائر فيما يتعلق بالقمح اللين، بعد التقرير الذي أعده وزير الفلاحة، السعيد بركات، والذي تحدث فيه عن وجود احتياطي لمدة ستة أشهر، علما أن الاحتياطي الفعلي الموجود لا يتجاوز ثلاثة أيام فقط، حيث تشهد بعض المخازن في ولايات غرب البلاد حالة نفاذ كامل. وحسب مراجع \ »النهار\« ، فإن الاستماع للسيد قاسم الذي يعاني من متاعب قضائية متزايدة، يهدف إلى محاولة تعرف السلطات العمومية على حقيقة المخزون الإستراتيجي للجزائر، بين ما هو موجود كطلبات مكتوبة وبين ما هو موجود فعليا في المخازن عبر التراب الوطني، سيما مع تزايد المخاوف من تحريك بعض أوساط المعارضة لأعمال شغب بسبب نقص الإحتياطي

Rabat réaffirme son appel à la normalisation des relations avec l’Algérie

drapeaupaint.pngLe Maroc a réaffirmé lundi son engagement en faveur de la normalisation de ses relations avec l’Algérie, a indiqué le ministre marocain des Affaires étrangères Taïeb Fassi-Fihri dans un communiqué.

Le Maroc « réitère son engagement sincère en faveur d’une normalisation de ses rapports bilatéraux avec l’Algérie soeur et voisine », a déclaré le ministre qui a reçu lundi le chargé d’affaires auprès de l’ambassade d’Algérie à Rabat. 

« Le Maroc appelle, de nouveau, à la réouverture de la frontière terrestre entre les deux pays, fermée depuis 1994, et à la reprise de la coopération bilatérale dans ses différents volets », a ajouté le ministre. 

Le 20 mars, le Maroc avait appelé une première fois l’Algérie à rouvrir sa frontière terrestre avec le royaume et à une normalisation des relations entre les deux pays. 

Lundi, M. Fassi-Fihri a transmis à son interlocuteur une proposition du gouvernement marocain consistant dans la tenue d’une réunion des ministres des Affaires étrangères et de l’Intérieur des deux pays. 

Le but est de « faire le point sur l’état des relations bilatérales, d’examiner les questions en suspens et d’arrêter, d’un commun accord, les modalités d’une relance effective et durable des relations entre les deux pays frères », conclut le communiqué.

« Un incident technique » derrière l’interruption de la diffusion de l’hymne national marocain

L’incident technique survenu lors de la diffusion de l’hymne national marocain, avant la dernière rencontre Algérie-Maroc comptant pour les éliminatoires de la CHAN2009 (premier tour-aller), est dû à « la défectuosité de l’enregistrement » remis par la délégation marocaine, a indiqué lundi le président de la Fédération algérienne de football (FAF), M. Hamid Haddadj. 

Dans un message adressé à son homologue marocain, M. Haddadj a soutenu que cet « incident technique est dû à la défectuosité de l’enregistrement remis par votre délégation, conformément à la réglementation ».

Ouvrir l’audiovisuel au privé ou ouvrir l’ENTV au public ?

logoentv.gifPar Chafaa Bouaiche, La Tribune du 6 mai 2008 

Le «débat» sur la «nécessité» d’ouvrir l’audiovisuel au privé s’est encore une fois invité en Algérie à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse. En effet, lors de la cérémonie qu’il a organisée en l’honneur des journalistes ou à l’occasion de son passage au forum de l’ENTV, le ministre de la Communication, M. Abderrachid Boukerzaza, a été interrogé au sujet d’une éventuelle ouverture du champ audiovisuel au privé. La réponse de M. Boukerzaza est sans ambiguïté : l’ouverture de l’audiovisuel, a-t-il expliqué, doit passer par plusieurs étapes, soulignant que la plus importante, déjà réalisée, est celle relative à la création d’agences de communications et de production audiovisuelle «qui existent actuellement en grand nombre en Algérie». Même s’il est vrai que le nombre d’agences de production audiovisuelle est important dans notre pays, beaucoup de gens se posent la question sur l’identité de leurs propriétaires. D’ailleurs, de nombreux spécialistes dans le domaine de la communication savent, par exemple, que des journalistes, payés par l’ENTV, ont créé leurs propres «boîtes». Ainsi, la télévision publique leur assure des salaires, sans travailler, en leur qualité de journalistes et des marchés en leur qualité de patrons. Aussi, il faut souligner que l’octroi des marchés ne se fait pas souvent dans le respect des règles et des critères qu’exige la loi. Ce qui fait que beaucoup de produits émanant de ces agences privées frôlent la médiocrité… Par ailleurs, le programme de l’ENTV est médiocre, la qualité du son et de l’image laisse à désirer. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui ont fait que l’Algérien, de plus en plus exigeant, a décidé de tourner le dos à la télévision de son pays.
Une question se pose aujourd’hui : l’ouverture de l’audiovisuel au privé apportera-t-elle un quelconque changement ? Les Algériens ne peuvent être que sceptiques, car l’existence d’une presse privée ne reflète pas forcément l’existence d’une presse libre et professionnelle. Si l’ENTV n’ouvre ses portes aux partis de l’opposition, par exemple, que lors des campagnes électorales, qui pourra garantir aux Algériens qu’une télévision privée ne fera pas autant ou pire ? Aujourd’hui, en cédant au pouvoir de l’argent les secteurs de la presse écrite et de l’audiovisuel, l’Algérie risque de mettre en péril une profession pour laquelle de nombreux journalistes ont sacrifié leur vie.
L’urgence n’est pas à l’ouverture de l’audiovisuel au privé mais plutôt d’ouvrir la télévision algérienne au public. Pour ce faire, il suffit de réhabiliter le caractère de service public de l’ENTV. Un service longtemps remis en cause par les opportunistes, les arrivistes et les corrompus que seul le gain facile motive. Notre télévision publique doit avoir l’ambition de s’ancrer y compris en dehors des frontières algériennes. Et ce n’est certainement pas avec son rythme actuel et la déliquescence de ses programmes qu’elle réussira cette mission. Il est grand temps que les autorités politiques du pays prennent les choses en main pour rendre aux Algériens leur télévision.

La famille Berrekla demande une enquête sur la mort de Zineddine

Prés de quatre mois après la mort du jeune Zineddine Berrekla, tué par balle dans un point de contrôle militaire au niveau du carrefour de Oued Aïssi dans la wilaya de Tizi-Ouzou, le 29 janvier dernier, la famille de la victime est revenue à la charge pour réclamer toute la vérité sur la mort de son fils.  A cet effet, elle dénoncé la décision du wali qui consiste à accorder la qualité de victime du terrorisme au défunt et sa prise en charge dans le cadre de victime d’accident survenu dans le cadre de la lutte antiterroriste. Pour la famille de la victime« L’Etat doit reconnaître que Zineddine est mort suite à une bavure militaire». Tout en qualifiant l’événement d’« acte ignoble, indigne d’un Etat libre », elle exige une enquête indépendante sur cet «assassinat, ses circonstances et ses commanditaires. Mais aussi le jugement de l’auteur de cet acte». La représentante de la famille Berrekla affirme que son frère avait observé toutes les consignes de précaution qu’un automobiliste doit respecter dans un barrage militaire. Docteur de son état, elle indique que les soldats avaient tiré sur la victime après lui avoir donné l’autorisation de passage. Atteint à la nuque par une balle, celle-ci ne lui laissa aucune chance de s’en sortir vivant. 

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