Qui a induit en erreur l’AFP et Reuters?
Pourquoi personne dans la presse ne se pose la seule et vraie question: « QUI A INDUIT EN ERREUR L’AFP ET REUTERS? » Ces deux agences sont connues pour être professionnelles et très rigoureuses dans la rédaction et la diffusion de leurs dépêches. Lamine Chikhi et Hassan Zenati n’ont pas inventé les fausses infos de Beni Amrane et Bouira. Elles leur ont été communiquées par une « source sécuritaire » qui s’est planté parce que le scénario des attentats ne s’est pas déroulé comme prévu. Je me rappelle de l’attentat contre le président Boudiaf. J’écoutais la radio française Europe 1. Vers 11h elle interrompt ses programmes pour diffuser un flash spécial qui disait ceci: « On vient d’apprendre que le président algérien a été assassiné par un de ses gardes du corps, lequel a été aussitôt abattu par ses collègues. On y reviendra dans nos prochaines éditions ». Manque de bol, Boumaarafi avait déjoué le scénario qui était prévu et s’était échappé pour se rendre à la police. La question cruciale est évidente: quelle est donc cette « source sécuritaire » qui informe instantanément les agences de presse sans même vérifier que les attentats se sont déroulés comme prévu?
Saad Lounès
A ce propos et toujours dans le même ordre d’idées, les deux correspondants auraient été victimes d’une manipulation. Par qui? Pour qui? Et pourquoi? Telles sont les questions. Visiblement, ce ne sont pas les agences (AFP et Reuters) elles-mêmes qui ont été induites en erreur, mais plutôt leurs correspondants. De ce fait, ces agences, sans douter de la véracité des faits et faisant confiance à des journalistes -tout de même professionnels- ont diffusé les « fausses vraies » informations que l’on sait… Naturellement et comme d’habitude l’opinion ne saura jamais la vraie version. La V.O.
A ce propos et toujours dans le même ordre d’idées, les deux correspondants auraient été victimes d’une manipulation. Par qui? Pour qui? Et pourquoi? Telles sont les questions. Visiblement, ce ne sont pas les agences (AFP et Reuters) elles-mêmes qui ont été induites en erreur, mais plutôt leurs correspondants. De ce fait, ces agences, sans douter de la véracité des faits et faisant confiance à leurs journalistes, ont diffusé les rumeurs que l’on sait… Naturellement et comme d’habitude, l’opinion ne saura jamais la vraie version. La V.O.
Qui a induit l’AFPS en erreur ?
Ce message n’a pas la prétention de compléter la question posée par Saad Lounès ; c’est juste un écho.
Si personne ne pose la question, c’est peut-être que personne ne nourrit l’ombre d’un espoir d’une réponse. C’est cela qui me semble terrifiant. Car, d’un côté, personne d’autre que les journalistes ne peut y répondre ; d’un autre côté, ils ne peuvent pas y répondre : tout ce qu’ils risquent est d’être poursuivis pour diffamation.
La question se pose tout de même et, à moins d’être totalement à côté de la réalité, il me semble que la programmation de la déstabilisation de l’Algérie ne fait de doute pour personne. Pas plus que personne n’a de doute sur la réalité de la complicité d’algériens « en poste » (occupant des fonctions qui leur permettent d’oeuvrer en toute discrétion et sécurité).
Mais quand on a dit cela, on n’a pas avancé d’un quart de poil. Ce qui fera avancer les choses, ce sera une conscience nationale chez les différents partis en division « démocratique » pour l’instant.
Il faut s’attendre à ce que désinformation et à la manipulation soient de plus de en plus fréquentes, le pays traverse traverse une zone de turbulance . la maladie du président , la dégénérecsence du système auteur de la manipe et des rumeurs sont propices pour ces pratiques, en plus la crise du pétrole rend le pays^plus vulnérable et convoité , tous les services des pays puissants sont actifs, les notres sont des supplétis, Seul Dieu sait dans quelle sauce nous allons être cuisiné.Ah! ce pétrole et le régime vieilli sont la cause de tous nos malheurs, ils vont s’allier au Diable pour perdurer, L’Arabie Séoudite ne s’est elle pas alliée à Israél por contrer l’influence de plus en plus grandissante de l’Iran, l’avenir est incertain l’ouragon est pour bientôt je fume mon …et notre cauchemar continue
Un clin d’oeil à l’adresse de R Zenati : vous avez de la chance de vous offrir des figues avec cette facilité. Moi, depuis que je vis en société de consommation, je ne regarde même plus ces trucs qui sont vendus pour des figues mais qui ressemblent à des poires modifiées et ramollies, fibreuses, sans saveur … C’est donc un point pour vous ; prenez-en bien soin.
Ça manque réellement de finesse, d’accord. Mais le sujet m’amène à une question peut-être futile pour les algériens aujourd’hui mais qui détermine la qualité de leur santé à terme : se préoccupe-t-on de la qualité de l’environnement et des conditions de production des fruits et légumes en Algérie ?
Je ne pense pas nécessairement au label bio, sur la moralité de quoi j’ai des doutes sérieux, mais à la préservation des sols et de la santé.
13 juin (… l’afp en erreur ?)
C’est l’apocalypse en somme … Eh bien ! Vite ! Réagissons : rions-en ! Le plaisir de l’esprit est la seule réaction saine face à une mise en pièce réglementée du corps. Parce que, si l’on y réfléchit un tout petit peu, les larmes n’y changeraient rien ; elles empêcheraient juste d’y voir clair. Elles interdiraient juste d’être heureux le temps qu’il reste à vivre avant de se faire manger. Alors, rions !
Tenez, commençons par choisir les condiments : un président en gandoura et sarouel sahraoui et toque crochetée ou brodée en coton made in In Salah et tissé à Tamanrasset ; et babouches à l’algéroise, sirotant un thé à la menthe sur la place Amir AddelKader, ou sur les marches de la Grande Poste. Sympa, non ? Des ministres en tenue turque et mobylette made in Tamgoult (si ça n’existe pas, parions que les algériens sauront inventer cette contrée mythique). Des conseillers du monarque, pardon : du chef moral (je n’ai pas dit « spirituel », c’est un domaine qui a été récupéré par l’industrie de la pensée unique)… Donc des conseillers du chef moral en sandales locales et chèche des montagnes (toujours locales).
Une parenthèse : un chef moral est une personne choisie POUR sa moralité PAR tous ceux qu’il représente (et non pour-par son clan).
Des soldats en boubous produits par un pays frontalier frère et collaborateur en matière de services de proximité équitable. Ça coûtera moins cher et ce sera plus agréable à voir, plus confortable à porter, plus écologique que les chars, les munitions et les treillis tressés très serrés qui viennent d’on ne sait où et ressemblent trop à une représentation permanente d’une guerre étrangère expérimentée là où on n’en veut pas.
Et puis, pleins de jeunes et de moins jeunes qui travaillent la bonne terre du pays pour nourrir les résidents. Pourquoi travailler ? Pour libérer les Carrefours et autres Auchans qui se sentent dans l’obligation de s’expatrier par pure charité, les pauvres, afin de venir en aide à des pauvres populations affamées parce qu’elles ne savent plus faire la différence entre se nourrir et bouffer, vivre et convoiter, être soi et ressembler à l’autre …
Et, bien sûr, le plus beau, le plus vrai : des enfants insouciants, garçons et filles, jouant ou faisant des devoirs ensemble, en sécurité sur le pas des portes restées ouvertes jusque tard la nuit, des nuits revêtues de voix paisibles et de propos simples comme bonjour …
Si vous ne trouvez pas de quoi rire là-dedans, n’hésitez pas à améliorer le projet. Ce n’est qu’un premier jet.
Selon des sources généralement bien informées, les deux coorespondants ont été induits en erreur par le directeur du journal ANahar , ANis Rahmani. Je ne sais pas si vous avez remarqué que depuis le lancement de ce quotidien, il est devenu une référence pour le bureau de l’AFP d’Alger. La légereté avec laquelle le journaliste de Reuters traite une info sécuritaire est du sans doute à la confiance aveugle qu’il fait à sa source. Alors qu’allons-nous dire de la décennie du terroriste où des journalistes comme Salima Tlemçani nous racontaient dans le détail les conclaves des groupes terroristes. Salima Tlemçani s’est toujours comportée comme une secrétaire de séance du GSPC et des GIA