Tahar Ouattar descend en flammes Boudjedra
احتراما للرأي العام الذي له نظرة خاصة للمثقفين والأدباء، تنزههم عن التفاهة والابتذال، واحتراما لسن الشيخوخة التي نحن فيها، واحتراما للدور الذي علينا أن نلعبه كطلائعيين نوحد ولا نفرق، ندعو إلى الخير والحق والجمال، ونسعى لأن يقتدي بنا الناس.
احتراما لكل هذا، سكتنا عن تهجماتك المسعورة، التي تواصلت منذ 1982 سنة اكتشاف بختي بن عودة رحمه الله، سطوك على كتاب محمد بنيس ونشره في جريدة الوحدة باسمك.
نقول، سيستفيق هذا الرجل، سيراعي ما تبقى له من مكانة، لكن كلما مرت الأيام، وكلما هبطت أسهمك، ازداد سعارك.
هددتك برفع دعوى قضائية، فسكتّ أشهرا قليلة، ثم لما تبين لك أن ذلك مجرد تهديد، وأن رئيس جمعية ثقافية محترمة، لن تسمح له أخلاقه بجرجرة كاتب، مهما كان رأيه فيه، إلى المحاكم.
مكانتي يا أبا جدرة، هي الأصبع الذي يوجعني، والذي تستغله فتمسكني منه.
لو أنك تتعرض لكتاباتي بالنقد والتحليل، وحتى بالشتم والقذف وتزوير الحقائق، لما اعترضت، فهذا حقك، وحق جميع الناس.
لكن أن تقذف وأن تقذف، بكل التعابير غير الأدبية وغير الأخلاقية، مفتعلا خلافا شخصيا، أو دفاعا عن هذا أو ذاك، بينما المسألة وما فيها، هي سقوطك من عليائك، يوم مددت يدك إلى كتاب محمد بنيس، بيان الكتابة.
يا أبا جدرة، أعلم أنك تعاني مشاكل هوية وانتماء، فلا أنت من عين البيضاء، حيث عبر أهلك، ولا أنت من جيجل حيث مايزال يقيم البعض من أهلك.
ولا أنت من تونس، حيث زاولت مراحل التعليم وما تتطلبه من سنوات، ولا أنت من الجزائر التي لم تدخلها، إلا بعد الاستقلال زاعما، وأنت المولود، في ,1941 أنك حملت البندقية وحررتها، وما إن استقر بك المقام، حتى غادرتها إلى إسبانيا، وما إن عدت إلى الجزائر، حتى غادرتها نحو فرنسا (أتذكر يوم جئتك صحبة الأستاذ الطاهر بن عيشة والصحفي المتخفي يومها بوزيد كوزة، إلى الثانوية بالبليدة حيث تدرس، أدعوك إلى الالتحاق بمنظمة المقاومة الشعبية، أو على الأقل استنكار الانقلاب على الجمهورية، 19 جوان 1965 أرجعتنا خائبين.)
عدت إلى الجزائر (فاتحا لصالونات الوزراء ورجال الأمن ورفاق السوء، ومرافقا للرؤساء).
بالإضافة إلى إشكالية هوية، هناك إشكالية انتماء، فلا أنت شيوعي يناضل بغير ادعاء، ولا أنت عدمي، يعيش الحالة، لا أنت من المفرنسين ولا أنت من المعربين.
يا سي رشيد أبا جدرة، قبل أن أقول لك بكل إلحاح:
ـ دعنا نشتغل فوقتنا أضيق من أن نضيعه في الترهات،أسألك. ماذا يكون موقفك ممن ثبتت عليه السرقة بجميع الأدلة القاطعة؟ (وهي في حوزتي وقد تنشر في كتاب كظاهرة جزائرية)، هل يستعيد هذا اللص احترامه ومصداقيته ذات يوم في نظرك؟
Je ne partage pas les idées politiques de mon compatriote Tahar Ouattar mais je respecte profondément ses principes. Il a toujours été constant dans ses positions. Durant les années sanglantes qui ont suivi le coup d’Etat de 92, il s’est rangé du côté du peuple opprimé et a dénoncé les atteintes aux droits de l’homme sans verser dans l’indignation sélective. Sa franchise (que je juge malgré tout excessive) lui a attiré les foudres des intellectuels de Fafa.
Quand au sieur Boudjedra,l’éradicateur devant l’Eternel (auquel il ne croit pas) nous connaissons tous son extrémisme et son fascisme. N’a-t-il pas traité des Algériens d’insectes (hacharates)et d’autres qualificatifs honteux? Il n’a même pas le courage d’assumer son étiquette de communiste, comme l’ont fait d’autres, sans aucun complexe. L’exemple type de l’intellectuel servile, déconnecté de son peuple et des valeurs de son pays. Triste individu et triste fin d’un déraciné.
Dommage que certaines informations soient inaccessibles à tous.
Je me souviens avoir lu, il y a quelques années déjà, un ouvrage de Tahar Ouattar que j’avais beaucoup apprécié. Mais je n’avaisi pu le lire que parce qu’il était traduit en français.
Je me corrige : Dommage que certaines informations NE SOIENT PAS accessibles à tous…
Ouettar est un aigri qui ne produit plus rien depuis belle lurette,contrairement à l’autre personne à qui il s’attaque c’est un monolingue buté,acariatre et jaloux qui veut rebondir f’dadass.
C’est en plus un immonde raciste,vive le combat de Dadass Djaout-pour rappel-
A propos de l’assassinat de Tahar Djaout : Tahar Ouettar persiste et signe.(El-Watan)
C’est lors de la conférence-débat qu’il a donnée hier au Centre culturel français que l’auteur du roman Ez-zilzel, après une présentation sommaire de cette œuvre publiée en 1973, s’est prêté aux questions de l’assistance constituée d’universitaires, d’enseignants, d’hommes de culture et d’étudiants.
Le débat qui prenait de la hauteur a complètement chauffé et ce, après que Tahar Ouettar, sans en démordre aucunement, a confirmé devant les présents avoir bien déclaré ce qu’il lui a été prêté à la suite de l’assassinat de Tahar Djaout. Le ton a vite fait de monter, vu que la réaction de certains présents ne pouvait déboucher que sur une fiévreuse polémique, n’était l’intervention d’un responsable du CCF, les choses auraient dégénéré. Tahar Ouettar indiquera : « J’avais dit à une journaliste étrangère à propos de l’assassinat de Tahar Djaout que c’était une perte pour la France. » Pour se justifier, il ajoutera : « Il y a eu à l’époque de l’incident une levée de boucliers contre moi par les Kabyles qui avaient tous des journaux ».
A la fin de la conférence, l’auteur n’a pas assisté au buffet auquel il a été convié, ceux qui étaient là ont fait état de leur réprobation à propos de telles déclarations, certains ont même qualifié les dires de l’auteur d’« indignes d’un être humain et encore plus indignes quand il s’agit d’un écrivain ».
Il est vraiment regrettable de constater où en est arrivé le débat culturel en algérie, qui plus est , le fait de deux talentueux écrivains, connus et reconnus. La polémique, la haine viscérale que se vouent mutuellement ces deux personnages n’est pas d’aujourd’hui. Il ya plus de vingt ans, tahat ouettar m’avait fait l’honneur de me recevoir à son domicile en compagnie d’un camarade -nous étions alors étudiants- férus de l’oeuvre ouetarrienne et nous nous étions alors présenter, sans prévenir, chez lui, à Hydra, chemin gaddouche. Il nous recut aimablement, et nous lui demandmaes s’il pouvait se déplacer à la fac pour animer une conférence rentrant dans le cadre des activités de l’UNJA. Il avait décliné poliment l’invitation, précisant qu’en les circonstances d’alors, c’était infaisable. Nous étions en 1985-1986, et Ouettar avait été mis à la retraite d’office. J’en ressentis beaucoup d’aigreur, de ressentiment à l’égarddes dirigeants de l’époque. Mais soudain, la discussion dévia sur Boudjedra, au sujet duquel notre hôte déversa ton son venin. A vrai dire nous ne comprenions pas , mon camarade et moi, les raisons de cette attaque gratuite. J’en retais personnellement interloqué.
Ceci n’empecha pas tahar ouettar de nos offir un de ses ouvrages, l’AS en l’occurence, qu’il prit le soin de dédicacer.
Cette digression est nécessaire pour comprendre que le « conflit » ne date pas daujourd’hui. Il est très ancien.
Regrettable d’en arriver à ces situations où l’élite s’offre en spectacle, et quel spectacle, au lien d’enrichier et de rehausser le niveau les débats de l’heure.
Tahar Ouettar a certainement des défauts,mais force et de reconnaitre en lui une constance, jamais démentie, de ses principes et de ses prises de position. Le dernier épisode relatif àu pélerinage à la mecque offert par qui vous savez, et que Ami Tahar a catégoriquement rejeté. De nos temps, peu de gens peuvent se targuer de ce cran.
Rachid Boudjedra quant à lui, outre un talent extraordinaire et une oeuvre riche, diversifiée et de haute facture, écrit en arabe et en francais, ce qui est quand même très rare. Et c’est ce que lui reproche inexplicablement, entre autres motifs, Ouettar, est également un personnage connu pour la constance de ses prises de position très courageuses, notamment contre l’instauration d’un Etat théocratique et son engagement pour une algérie plus juste,
Si quelqu’un veut bien faire oeuvre charitable et si un jour une traduction en français se publie du passage en arabe en question, hé bien, merci à qui nous le soumettra.
Sinon, tant pis pour les algériens (et les autres d’ailleurs) qui ne lisent pas l’arabe.
Tahar Ouattar un plumitif au service des barbefelenes.
Rentier et improductif, donc parasite.
Monolingue??????????
Monosynaptique plutôt…..
Minable….
Miséreux….
Mineur……
Il habite quand même à Hydra.
Pauvre type!!!!!!!!!!!!!!!
Quand il rendra l’âme, comme nous tous, on dira que ce sera une perte pour l’Égypte ou pour l’Arabie saoudite; mais surement pas pour l’Algérie comme Tahar Djaout (Allah ya rahmou).