Pour mieux connaître le nouveau ministre de la poste et des TIC

Cette lettre a été adressée au président de la République, Abdelaziz bouteflika en mars dernier.  

Lettre ouverte à son excellence Monsieur le président de la République Monsieur le Président, Permettez-moi, votre excellence, d’attirer votre attention sur des faits extrêmement graves d’exaction et d’abus de pouvoir en direction de ma personne en tant que chercheur, docteur et spécialiste en microélectronique, profondément attaché à mon pays et à son développement. L’auteur de ces dépassements arbitraires n’est autre que le directeur du Centre de Développement des Technologies Avancées (CDTA), Monsieur Hamid Bessalah, qui s’est permis comme à son habitude depuis près d’un quart de siècle d’enfreindre gravement et à répétition les règles en vigueur en prenant une première fois une décision de mettre fin à ma fonction de Directeur de Division de recherche en novembre 2006 et de récidiver une deuxième fois en prenant une deuxième décision abusive, arbitraire et non justifiée en mettant fin à ma fonction en tant que chef d’équipe de recherche en décembre 2007. Le harcèlement moral et les représailles ont commencé dès que j’ai apporté une critique, que mes convictions et mon honnêteté intellectuelle exigeaient, sur la conduite financière exagérée et non convaincante à l’égard du projet de réalisation de centrale de technologie du CDTA par la société M+W Zander, un projet de 2 milliards de Dinars (21,74 millions d’euros). A titre d’information, le coût des équipements en question remis à neuf et autres services proposés initialement par M+W Zander était de 11 200 000 € TTC, montant figurant dans le contrat CDTA/M+W Zander, soit un écart supérieur à 8 000 000 € par rapport aux coûts de référence du fournisseur d’équipements Semitech et comme confirmé lors de la réception provisoire de la phase 1 en date du 13/10/2004. Ces derniers ont été transmis suite à notre intervention en mettant en concurrence l’offre de M+W Zander avec celle de Semitech. Par la suite, M+W Zander a repris son offre (Fax du 22 décembre 2004), mais en maintenant le prix initial de 11 200 000 € tout en mettant en avant un montage d’un ensemble d’opérations de frais de rénovation, de service, de commission, des droits de douanes et de TVA. Malgré notre insistance à refuser ces prix, le directeur, n’a pas tenu compte des réserves que nous avons faites concernant cette offre, qui sont contenues dans les courriers que nous lui avons adressés et pour lesquels nous n’avons reçu aucune réponse de sa part faute d’argumentations crédibles. Plutôt que de se cantonner à l’article 11 du contrat qui précisait que « Les phases 2 et 3 sont conditionnées aux termes de choix technologiques et de coût par les résultats de la phase 1″, le directeur s’est arrogé le droit absolu de passer outre cette disposition contractuelle et des remarques faites par l’équipe chargée du projet et d’accepter l’offre sans que l’équipe ne soit avisée ni consultée. Ce laisser- aller m’a poussé à me retirer du projet afin de ne pas cautionner pareil dysfonctionnement. Afin d’informer la tutelle de ce dysfonctionnement et la non satisfaction de mes questionnements sur les anomalies constatées, j’ai demandé audience au ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique en date du 24 avril 2005. Pour faire une rétrospective sur ce projet, nous pouvons affirmer qu’il n’a pas fait l’objet d’une mûre réflexion car il n’a même pas fait l’objet d’études préalables de faisabilité économique ni l’objet de discussions en concertation avec les organes consultatifs tels que le Conseil scientifique et le Conseil d’orientation avant son inscription pour sa réalisation, et l’on peut se demander sur quelles bases cette opération a été inscrite et sur quelles bases elle a été financée, alors que rien ne garantit les retours sur des investissements de ce type (Voir lettre ouverte à Monsieur le Président/Quotidien d’Oran le 6 décembre 2006). En septembre 2002, après la démission de l’ex-responsable du projet et l’achèvement des études conceptuelles, j’ai essayé d’y apporter ma contribution personnelle à travers la consolidation des objectifs qui étaient déjà fixés et le développement d’idées en termes d’aspects juridiques, contractuels et scientifiques afin de créer les meilleures conditions pour la réussite du transfert de technologie. Ce qui m’a encouragé à mener une réflexion profonde, et loin de toute polémique, c’est votre appel, Monsieur le Président, lancé lors du discours prononcé à Tlemcen à l’occasion du 50ème anniversaire de la création de l’Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens (UGEMA) à travers ce passage édifiant « il appartient aux millions d’intellectuels formés depuis quatre décennies d’engager un mouvement de réflexion, de création et d’action pour répondre aux attentes de leur société », et assurant que « l’Algérie rebondira et étonnera à nouveau le monde ». Cependant, comment se fait-il que les informations et les réflexions contenues dans ces articles, qui témoignent qu’elles sont pourtant dans l’air du temps de ces instants privilégiés de l’Histoire pour notre véritable développement, soient restées lettres mortes… Ainsi, on constate que le souci de Monsieur Bessalah n’est pas de veiller au bon fonctionnement du Centre et d’encourager la pensée stratégique afin de mieux répondre aux besoins de la recherche et d’améliorer la pertinence et l’efficacité de travail, mais bien de me réduire au silence et de nuire à un chercheur, docteur en microélectronique diplômé des meilleures universités (Université Paul Sabatier de Toulouse, France) et centres de recherche (Centre National de Recherche Scientifique, France) européens, qui a tout donné depuis son recrutement en 1987 : Chef de laboratoire de microélectronique de 1988 à 2006 soit près de 19 ans, président de l’atelier chargé du Programme national en microélectronique lors des Assises de la recherche en juin 1995, membre du comité d’évaluation des projets de recherche auprès de la Commission intersectorielle de promotion, de programmation et d’évaluation de la recherche scientifique et technique dans les domaines « Matières premières et technologies », membre du Conseil scientifique du CDTA, président de la sous-commission du projet « Réseau ASIC « , une opération de 250 000 000 DA, coordinateur de la bourse du projet TEMPUS-MEDA intitulé « Groupement pour la formation en Microélectronique en Algérie » bénéficiant d’un financement de la part de la commission européenne de près de 500 000 €, 2004-2007, et ayant reçu en septembre 1992 le certificat de participation au Cours régional de programmes et de projets d’investissement en Afrique dans le domaine de la Science et de la Technologie de l’UNESCO et de l’Université des Nations Unies. Par ailleurs, et conformément à l’article 49 de la Loi n° 99-7 du 5 avril 1999 relative au moudjahid et au chahid, il incombe aux fonctionnaires de l’Etat et aux administrations publiques  » le devoir de respect et d’assistance, en toute circonstance, envers les moudjahidine et les ayants-droit « , car je suis fils de Chahid et fidèle au sacrifice de nos pères martyrs. En outre, je fais partie des scientifiques qui ont choisi délibérément de ne pas quitter le pays, de le servir depuis plus de vingt ans au CDTA et de m’investir pour son développement, malgré les attractions étrangères les plus séduisantes matériellement parlant. Quant à sa deuxième exaction envers ma personne, elle est venue selon sa stratégie macabre et poursuivant toujours ses représailles, pour me priver cette fois-ci d’un droit fondamental, qui est d’entreprendre une activité de recherche en équipe, alors que j’ai sacrifié toute ma vie au service de la recherche. Invariablement, tout en se proclamant, à tort, être investi de toutes les prérogatives allant de celles du Conseil d’administration à celles du Conseil scientifique, Monsieur Bessalah se permet de prendre une décision purement administrative, de façon abusive et en faisant fi des prérogatives de toutes les instances précitées, en mettant fin à ma fonction de chef d’équipe et à notre protocole de recherche triennal. Cette décision intervient sept mois seulement après la date de signature du contrat de recherche, le 26 mars 2007 et après que le directeur ait décidé de réorienter les éléments de l’équipe ainsi démantelée vers un projet pour la centrale de technologie du CDTA. Une réorientation des activités et de l’effort de presque tout le personnel chercheur de la Division a été décidée de façon unilatérale par le directeur. Ceci sans qu’elle fasse l’objet de discussions en concertation avec les organes consultatifs précités qu’il aura dépourvus de leur responsabilisation, entraînant ainsi le ralentissement de la quasi-totalité des travaux des équipes de recherche comme mentionné dans le procès-verbal du Conseil scientifique des 10 et 11 novembre 2007. En effet, les dispositions du statut d’EPST prévoient la transmission intégrale du procès-verbal du Conseil scientifique au Conseil d’administration sur la base duquel ce dernier doit délibérer tel que défini dans l’article 13, 21 et 25 du décret exécutif n° 99-256 du 16 novembre 1999 fixant les modalités de création, d’organisation et de fonctionnement de l’EPST. Il s’agit donc d’un mécanisme de supervision indépendant et essentiel afin d’assurer non seulement qu’il n’y ait pas d’abus de pouvoir, mais également qu’on puisse démontrer publiquement qu’il n’y en a pas. La mission du directeur du Centre consiste à exécuter les recommandations du Conseil d’administration. Au lieu de se conformer à ces dispositions, le directeur a pris la décision de les transgresser sans que le Conseil d’administration ne délibère sur le procès-verbal du Conseil scientifique des 10 et 11 novembre 2007 et de s’arroger ainsi à tort du rôle de ce dernier en prenant la décision injuste de dissoudre mon équipe de recherche sans aucune raison valable et allant même à l’encontre des recommandations du Conseil scientifique. On constate donc un abus de pouvoir de ce Monsieur qui ne souhaite pas que je puisse informer les hautes instances du pays de ces dérives. Votre excellence, Monsieur le Président, je fais appel à votre haute bienveillance sollicitant votre intervention afin de mettre fin aux agissements désastreux et irresponsables du directeur du Centre. En espérant que vous serez sensible à la gravité des faits présentés, je vous adresse, Monsieur le Président, l’expression de ma plus haute considération.

Dr. Mohand Tahar BELAROUSSI Maître de recherche/Spécialiste en microélectronique Centre de Développement des Technologies Avancées.

Commentaires

  1. abderrahmane BENRAMDANE dit :

    monsieur le naïf,
    sachez que le systeme qui nous gouverne depuis avant l’indépendancea un principe immuable:
    nommer aux postes de responsabilité les hommes qui traînent une casserole. La manipulation de ce genre d’individus est beaucoup plus aisée et leur obeissance est aveugle.
    Alors de grâce, monsieur le naïf, ne soyez pas surpris et buvez du thé en regardant votre corrompu d’ex superieur au jt de 20heures et consolez-vous en pensant aux courbettes qu’il est obligé à faire tous les jours à son agent traitant du DRS.

  2. Sofiane dit :

    Beld Alchouhada ASBAAR

  3. wi yilan' dit :

    Les deux commentaires précédents nous disent combien les Algériens (certains) sont … attentifs à se préserver de tout espoir inutile. Inutile parce que les personnes avec casseroles ont tout pouvoir, qu’elles peuvent seules se faire entendre. Ces réactions sont personnelles et personne ne peut les discuter. Par contre, on peut en discuter le sens et l’intérêt.
    « Naïf » dit Abderhamanne … Supposons que tout le monde se montre « objectif » et se taise, se contentant de compter les coups que se donnent les différents porteurs de casseroles sur le terrain ; tentant de se protéger des coups de casseroles … Vous croyez que ce serait une vie ? Si tout le monde s’était contenté de constater la puissance des colonisateurs tout au long de l’histoire, vous croyez que Dieu aurait apporté son aide aux combattants munis de moyens dérisoires ? Doutons-en et acceptons que les « naïfs » restent porteurs d’espoir dans toute société submergée par l’incrédulité, le sentiment d’impuissance, la frustration, la rancune. Sentiments qui peuvent mener au repli sur soi, au désespoir, à l’extrême violence (nous en savons quelque chose en Algérie). Ce sont sans doute des naïfs qui ont pensé en leur temps « indépendance », « guerre de libération », « victoire possible », nécessaire, inéluctable.
    Il faut bien y croire, à la sortie du tunnel, pour continuer à se conduire comme si le tunnel avait une fin ; comme si son pays (la société) méritait mieux que la survie dans l’ombre de l’arbitraire et le vacarme des casseroles partout où l’air peut circuler ; comme si tous étaient fils de chahids et que personne ne voulait enterrer les martyres encore et encore … Comme si tous avaient foi dans la raison. La raison ne peut pas se satisfaire de la fatalité du dérèglement.
    Alors, plutôt que de vous laisser submerger par votre colère (légitime sans aucun doute), peut-être aurez-vous envie vous aussi de tenir à bout de bras les quelques .. idiots qui émergent de la masse, même si vous êtes complètement désenchantés. Car si on casse les idiots, ce sont les casseroles qui finiront pas tout casser.
    Pourquoi pas une pétition en soutient à Mohand Tahar BELAROUSSI ?

  4. abderrahmane BENRAMDANE dit :

    reponse à wi yilan,
    Le terme naîf utilisé dans mon commentaire n’était pas du tout péjoratif. Je suis convaicu cependant que de « naîfs » toute société en a besoin et la nôtre plus que d’autres. Notre colère à tous quant à la nature de ce régime et à ses pratiques nous empêche de nous rappeler que souvent il faut « être réaliste et demander l’impossible ». L’impossible, pour nous autres, aura la couleur de la liberté et l’odeur de la révolte auparavent.

  5. tartih dit :

    C’est la promotion des incompétences qui est de mise. Ce soit disant ministre n’est même pas arrivé au bout de vingt ans de règne à gérer convenablement un petit centre de recherche, et voilà qu’il est promu au poste de Ministre pour la gestion de tout un secteur. On devrait faire attention dans la proposition aux postes stratégiques, car l’IGF était il y a pas longtemps dans le centre cité dans cette lettre suite à cette plainte. Elle a constaté de visu les dépassemnts orchestrés par ce Monsieur. Au lieu de lui réclamer des explications pour mauvaise gestion et abus de pouvoir, il est promu à un poste stratégique pour reproduire la même catastrophe.

    Vive l’Algerie!

  6. mouhya dit :

    la tradition du pouvoir depuis 62! c de placer des gens vendus! ki ont vendus leur ame aux diable et au clan de oujeda!!!!!!!!! imaginer un home integre honnete dans un gouvernement de clan de ouejda ! c ne va pas non !!

  7. Mohamed dit :

    Cela parait paradoxal. Bien des critiques et des faits reprochés établis ont été formulés à l’endroit de la personne. La gestion de ce diplômé de l’université de l’ex-URSS a été remise en question dans la plupart de ses aspects. Malgré cela, il est promu ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Selon les informations recueillies auprès du personnel du CDTA, on parle de mauvaise gestion qualifiée d’archaïque comme l’atteste les rapports du commissariat au compte du CDTA depuis plus de cinq ans et de comportement tyrannique comme l’illustrent bien les différentes pétitions adressées à l’actuel chef de gouvernement durant son précédent mandat et la lettre ouverte du collectif du bureau d’études du CDTA (Halte à la Hogra) dont la majorité ont été licenciés.
    Autant dire que cette personne promu précédemment au poste du Directeur de la coordination de la recherche par l’ex-ministre du MESRS, monsieur B. Benbouzid, lui faudra convaincre comment s’est-il retrouvé membre du conseil d’administration d’Algérie Télécom, membre du conseil d’administration de l’ENP et président du conseil scientifique de l’ASAL (Agence Spatiale Algérienne)), membre du CNES (Commission Nationale Economique et Sociale), etc., etc.
    Quant à la compagnie allemande M+W Zander citée dans cette lettre, à travers sa branche du Liban, quand on voit qu’elle sévit dans d’autres projets relevant actuellement du secteur de la poste et des télécommunications, tout indique que le pouvoir politique algérien actuel est structuré autour des clans et de réseaux de connivence, et non autour des réalités socio-économiques. A titre d’exemples, l’implication de cette société dans la réalisation de l’Unité de Développement des petits satellites à Oran géré par le directeur général de l’ASAL et la construction du siège de l’agence du parc de Sidi Abdallah. Ainsi, dans le système politique qui est le nôtre, ce sont les intérêts et les idées de ceux qui détiennent le pouvoir qui subordonnent un esclave à son supérieur plutôt qu’au développement des facultés autres que celles mobilisées dans la complaisance et la connivence.

    Mohamed
    Universitaire

  8. Lumière dit :

    Avant de porter un jugement quelconque sur quelque personne que ce soit ou quelque comportement, il faut savoir d’où viennent les informations.
    M. Belaroussi n’a pas les compétences qu’il prétend ni l’expérience à l’étranger qu’il met en valeur de manière machiavélique. En effet, M. Belaroussi a fait un doctorat 3ème cycle dans un laboratoire de l’université de Toulouse, laboratoire mixte CNRS-Université comme il en existe des centaines en France. Il n’est donc pas sortie de l’université Paul Sabatier puis fait une carrière au CNRS comme il essai insidieusement de nous faire croire. Hormis le mémoire de doctorat 3ème cycle qu’il a soutenu, il n’a aucune expérience ni en France, ni en Europe, ni ailleurs dans le monde comme il le prétend.
    Même en Algérie, M. Belaroussi n’a d’expérience qu’au sein du CDTA qu’il a toujours rêvé de diriger à ce jour en faisant valoir son statut d’abord de fils de chahid et certaine de ses relations.
    En fait, il a commencé à travailler au CDTA au sein d’une équipe où dominaient certains chercheurs brillant dont M. Belaouar qui, pour la plupart, sont partis aux USA, car la microélectronique, à ce moment là était à son apogée et que les puissances occidentales recrutaient à tour de bras, et l’Algérie n’était pas encore prête à accueillir ses enfants brillants. A cette époque, M. Belaroussi était étouffé par ses chercheurs et a tout fait pour encourager leur départ.
    Le projet de salle blanche était né déjà à cette époque, particulièrement avec M. Belaouar et au départ de ce dernier, M. Belaroussi s’est pressé de prendre l’idée et se l’accaparer et bien la défendre pendant près de dix années.
    Ce n’est qu’après le démarrage du projet que M. Belaroussi se prenant pour un mystique avait complètement changé d’avis et avait prôné que l’Algérie ne devrait se lancer que dans le software et non le hardware si je puis dire, remettant ainsi en question l’opportunité du projet.
    C’était sa nième crise de délire constaté cette fois-ci même par des médecins qu’ils l’ont orienté vers des spécialistes. Par nième crise, j’informe que ce n’est pas la première fois qu’il délire et par délire j’informe que M. Belaroussi se prend pour un mystique.
    Le contrat du projet en question a été signé en 2003 et M. Belaroussi a été le président de la commission qui a retenue M+W Zander et a même réceptionné personnellement la première phase du contrat, en l’occurrence les études détaillées et l’acquisition de la licence de procédé technologique. Il n’a quitté le projet qu’en 2006, c’est-à-dire avec le début de sa crise de délire cyclique.
    Mon dieu que sera le pays s’il avait à ses commandes des personnes comme M. Belaroussi, entamant des projets et se réorientant indéfiniment.
    Depuis cette date, M. Belaroussi n’a rien produit scientifiquement. La communauté des chercheurs sait très bien comment vérifier cela. Il n’était plus en état mental de diriger une division de recherche, ses jeunes chercheurs ont fini par l’abandonner préférant changer d’équipe de recherche ou quitter le CDTA. Même le conseil scientifique avait prôné de renforcer l’équipe qu’il dirigeait ou, à défaut, la dissoudre.
    Voici M. Belaroussi,
    La suite sera encore plus intéressante quant aux contenus de ses écrits.

  9. Ex employé du CDTA dit :

    Ayant travaillé au CDTA, je suis au courant des pratiques de Hamid Bessalah. Il est méprisant envers ses employés et n’a rien d’un comportement d’un scientifique. Cependant Mer Belaroussi j’ai quelques questions pour vous.
    1-Puisque vous n’aimez pas Bessalah, pourquoi vous avez travaillé avec lui pendant toutes ces années là? Pourquoi vous n’avez pas dénoncé ses agissements auparavant?
    2-A mon avis quelqu’un qui est pationné par la recherche devrait aller là où la recherche se fait (étranger). Ne viens pas me dire qu’au CDTA les gens font de la recherche. Ils sont là pour gagner leur vie et je ne les blame pas. On ne peut pas dissocier la recherche en algerie de l’algerie elle-meme.
    3-Je ne pense pas que vous feriez mieux que Bessalah en tant que directeur. Bessalah est placé là pour jouer un role bien determiné et si on a besoin de lui ailleur on l’appelle. C’est comme çà que le systeme fonctionne. Il a investi pas mal de temps à satisfaire les besoins de ses « Chicours ». Il traite ses employés comme ses Chicours le traitent.
    4-Monsieur Belarouci vous êtes mal barré en vous opposant à Bessalah. Il est bien calé mon vieux. S’il vous a mis à la porte c’est qu’il est capable de le faire. Il se fiche complètement de votre background scientifique. Même si c’était Enstein il l’aurait écarté.

  10. jutice sera faite dit :

    Il va payer cher sa gestion tôt ou tard quand les chikours tomberont. Et quand les dessous du projet salle blanche feront surface.
    il vont d’abord commencer a le chasser du gouvernement après avoir payer les factures douteuses de mobilis que l’ex directeur de mobilis ne voulez pas payer et que par ordre de la présidence il a etais relver de ces fonction .c’est pourquoi l’exe ministre a étais limoger pour etre remplacer par leur bébé bessalah pour service rendu au chikour qui tomberont surement avec la volonté d’un peuple avide de liberté

  11. Simple citoyen dit :

    Il me semble plus judicieux pour tout le monde, y compris notre pays, de ne pas gaspiller la plus rare des ressources (la ressource humaine) sur des futilités, et de concentrer les efforts à éduquer nos enfants ou produire des choses qui leurs seront utiles. Ce débat est l’image qui reflète notre sous-développement éternel. Un « Chercheur » du CDTA adressant une longue et ennuyeuse lettre adressée au « Président » de la république dénonçant un « Ministre » dans le gouvernement algérien, pour quel sujet ? Je trouve ca triste. J’aurais souhaité, de tout de mon cœur, voir sur le web Mr Belaroussi ainsi les autres cherches expliqué a nos enfants ce que c’est la microbiologie et comment peut on utiliser les TIC pour mieux vivre.

  12. ancien cdta dit :

    je vois que belaroussi vient de tomber comme bien d’autres avant lui.
    j’ai travaille au cdta vers les annees 1988, je connais parfaitement belaroussi , c ‘est un chaabi, quelqu’un qui veut reussir, mais je me souviens que quelques personnes en ces anneees qui ont ecrit un article dans un journal pour denoncer la hogra, et belaroussi a ete le premier a denoncer « cette denonciation », il a pris le journal et l’a montre a benssalah et au commissaire (dans le temps c’etait hadj slimane au hcr « haut commissariat a la recherche)et a lui meme redige la lettre de reponse si ma memoire ne me fait pas defaut (ca fait trop longtemps…environ 1/4 de siecle)a ces gens la qui ont d’ailleurs ete mis dehors (ils sont heureux sous d’autres cieux..je vous l’assure ..je les connais), leur seul tort a ete de denoncer des malversations et la destruction de la recherche en algerie par hadj slimane , bensalah et compagnie

    belaroussi n’etait pas d’accord, il n’a meme pas cherche a comprendre pourquoi ces gens la ont ecrit un article dans le journal pour denoncer, il n’a meme pas pris le temps de reflechir…car en ce temps la il etait chef de departement ou je ne sais comment il l’appelle au cdta..et qu’il etait dans les meilleurs position au cdta ..donc il lui fallait faire du zele et aider ces gens la a detruire ceux qui sont contre ce systeme…
    belaroussi ne denonce pas la hogra en general, il veut retrouver son poste de chef c’est tout…
    on appelle ca regarder son nombril..il ne parle pas du tout de ceux qui avant lui ont ete mis au rancart et qui sont aujourd’hui tous parti ailleurs

    c malheureux mais c’est ainsi

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