XXIII Congrès de l’Internationale Socialiste
L’Internationale Socialiste tient son XXIIIème Congrès, du 30 juin eu 2 juillet 2008, à Athènes, sous le thème général: Solidarité mondiale: Le courage de faire la différence. Lors de sa réunion à Athènes, en Grèce, l’IS abordera quatre questions clés qui sont au cœur du mouvement social-démocrate mondial d’aujourd’hui et au centre des préoccupations de la communauté internationale: le changement climatique, la paix et la résolution des conflits, l’économie mondiale et la question de la migration…
c est une tres bonne chose pour les socialistes, j espere qu ils accorderont leurs violent cette fois-ci,alors socialisme à visage humain ou liberal,on verra ce que ça va donner, mais pour le reste,je veux dire les postes de responsabilités aux sein de ses instances ils seront distribués comme avant aux partis ayant des premiers ministres ds les gouvernemants de leurs pays respectifs,pour l afrique du nord c est comme d habitude l usfp du maroc prendra le poste reservé à cette region , et le ffs se contentera de le soutenir contre son rival rcd tunisien tel est la vrai rapartition des roles, pauvre ffs,tel sera son destin tant qu ait ahmed continuera à menager ses amis marocain qu il soit de la cour ou de l opposition.
Et la caravane passe … La caravane, c’est l’histoire et l’histoire semble porter le libéralisme sur le dos de chameaux New Age (nouvelle formule) qui peuvent se passer d’eau encore plus longtemps que la nature ne l’avait prévu.
Quand l’eau ne sera plus potable à force de surconsommation et de détérioration des sols, les chameaux sauront se transformer pour pouvoir consommer du pétrole mais les hommes (politiques, économistes, analystes, sondeurs …) resteront égaux à eux-mêmes. Ils continueront à se rassembler en congrès pour réfléchir et développer des concepts et des programmes et des théories … 350 ans après, sans rien modifier le cours des choses.
Ce qui peut modifier le cours des choses, c’est que ces hommes se mettent au boulot. Le vrai, le seul digne de ce nom, celui qui consiste à bâtir l’avenir à partir du présent qui se nourrit de l’expérience, donc du passé ; avec et pour les population et non contre elles.
Que les socialisants toutes catégories quittent le cercle vertueux des formalités de convenance pour se mettre à un bilan sans fard de leurs échecs et qu’ils avancent un peu. Depuis le temps … Le problème (pour les populations, les autres on s’en moque), c’est que les régimes ex-colonisés, en même temps qu’ils prétendent être souverains, restent colonisés et s’évertuent à ressembler à leurs anciens ennemis, nourrissant les mouvements soi-disant libérateurs de l’homme en adoptant des théories soi-disant libératrices (socialistes pour les uns, capitalistes pour les autres) sous des formes des plus fantasques et inopérantes puisque leurs populations n’en sont pas plus heureuses, montrant par là leur incapacité à adapter quelque théorie que ce soit à leurs réalités locales.
Incapables d’inventer des formules en cohérence avec leur environnement, ces nouveaux socialistes participent à la déréglementation globale, donc à la victoire d’un libéralisme mécanique qui conçoit la politique, la société, l’éducation … en fonction de théories érigées en bibles.
Alors, que les socio-démocrates prennent “comme un défis intellectuel et pratique qui nous oblige à développer une théorie critique de la reconnaissance, une théorie qui ne se réclame que des composantes de la politique, de la différence culturelle qui peuvent être combinées à une revendication sociale d’égalité …” (je cite ici Ahmed De Paris), souhaitons-leur beaucoup de plaisir car il leur faudra beaucoup de temps pour démêler le vrai du faux de ce langage fait dédale idéaliste, ne serait-ce que pour prendre la mesure de l’ineptie de leur galimatias conceptuel. Et pendant tout ce temps, les libéraux eux, avancent au rythme de la caravane, libéralisant tranquillement et sûrement. Reconnaissons-leur une logique payante.