Réponse de Rouadjia au questionnaire du recteur de l’université de M’sila
« Monsieur, j’ai l’honneur de répondre à votre courrier daté du 10/06/2008 dans lequel M. le recteur me reproche d’avoir calomnié et d’avoir entaché l’image de l’université algérienne et celle de M’sila. Je tiens à vous répondre que ce reproche n’a aucun fondement juridique, politique ou moral. Etant un chercheur confirmé et reconnu sur le plan national et international, ma raison d’être est de conduire des travaux et des écritures ayant pour objet tous les sujets sociaux possibles, y compris sur la mauvaise gestion de certaines de nos institutions. Le droit à l’expression est garanti par la Constitution algérienne. En tant que citoyen, j’use pleinement de ce droit. Sur ce point, je n’ai de leçons à recevoir de personne. Veuillez, M. le recteur et doyen, agréer l’expression de ma haute considération. »
A Mr Rouadjia,
L’histoire a montré que le recteur de l’université est une personne provocatrice, tous les étudiants et les profs qui’ ont travail avec lui le témoin. Tu as rien à craindre…/…
continuer ton chemin nous somme tous avec toi.
souvenez vous, nous aussi au ffs nous avons de par le passé des recteurs
monsieur abouhadef, au moment des evènements de 80 il avait eu un role
J’espère que ce commentaire sera accueilli comme une véritable interrogation, qui pourrait donner lieu à une précision, et non comme une intrusion d’intellectuel oisif.
Je cite, « … ma raison d’être est de conduire des travaux et des écritures ayant pour objet tous les sujets sociaux possibles, y compris sur la mauvaise gestion de certaines de nos institutions. »
Et je m’interroge sur l’expression « y compris sur la mauvaise gestion de certaines de nos institutions. ». M. Rouajdia a-t-il délibérément employé une formule de consensus en précisant « certaines de nos institutions » ? Pourtant, « … tous les sujets sociaux possibles,… » inclut toutes les institutions possiblement concernées par le sujet « social ».