C’est une réaction puérile et infondée, empreinte de non sens, venant de monsieur «Lumière» ! S’adonnant ainsi, abjectement, à des commentaires diffamatoires et injurieux… cela s’appelle de la diffamation.
Ses propos calomnieux n’apportent absolument aucune lumière sur les faits qui sont reprochés à Bessalah, ex-directeur du CDTA et ministre de la Poste et des TIC.
Et pourtant, cette lettre ouverte au président de la République, d’ailleurs très claire même pour celui qui se cache dans le noir, démontre de façon décisive qu’il s’agit bien d’exactions, d’abus de pouvoir et des faits bien établis reprochés à ce monsieur. Plutôt que de se lancer dans une campagne de dénigrement et de désinformation par une autre tentative assez basse de s’en prendre à la personne de Mr. Belaroussi, monsieur « Lumière », comme il semble bien imprégné de ce genre d’ésotérisme, aurait du apporter des éléments constitutifs du dossier, objet de cet antagonisme et de répondre de façon précise aux faits bien établis reprochés à M. Bessalah. Comme par exemple, à travers ce nouvel éclairage, que M. Bessalah a mené la négociation des tractations financières du projet avec le PDG de M+W Zander, en solo, sans que le chef et les membres du projet puissent participer, et cela sans parler de ses déplacements douteux. Ceci renseigne sur ses intentions déjà arrêtées élucidant ainsi, par la suite, son attitude obscure.
C’est aussi calomnieux de remettre en cause la notoriété du LAAS du CNRS, qui s’appelle également le LAAS des AS pour ceux qui connaissent. C’est également calomnieux de nuire à la réputation scientifique de M. Belaroussi, alors que quiconque tapera M.T. Belaroussi sur le Web, se rendra compte que les contributions scientifiques ne sont jamais arrêtées jusqu’à la date d’aujourd’hui. Essayez le, Monsieur « Lumière », pour voir!
Par contre Mr. Bessalah est diplômé de l’ex-URSS, il n’a jamais fait ses preuves sur le plan scientifique puisqu’il s’est résigné à son grade “maison” de Maître de recherche, attribué administrativement, en n’osant même pas déposer son dossier de promotion au grade de directeur de recherche à la CNEC. Il a quitté le CDTA, malheureux qu’il est, sans aucune promotion scientifique depuis vingt ans, d’ailleurs il le publie lui-même sur le site web du ministère de la poste et des TIC. Le comble pour M. Bessalah est qu’il veut faire valoir perfidement, dans sa biographie officielle de ministre sur ce même site, son court passage (8mois) de stagiaire étranger à l’université de Lyon en tant que grade de Directeur de recherche. C’est vraiment le comble pour un ministre de vouloir tromper l’Etat algérien ! Le titre de Directeur de recherche est attribué aux chercheurs permanents du CNRS, pas aux stagiaires, voyons ! par une commission plus sévère que la Commission nationale d’évaluation des chercheurs du MESRS à laquelle, en fait, il n’avait pas quoi lui soumettre en vérité! Ce n’est pas digne d’un ministre de vivre de la prétention. Pour qui nous prend-t-il? Nous ne sommes pas des aveugles.
Alors bravo Mr le ministre; ils indiquent ainsi aux suivants, le chemin de la réussite et de la gloire !
Vouloir remettre la notoriété de Mr. Belaroussi par des mensonges est un acte vil. Il y a lieu de rappeler que Mr. Belaroussi a décliné l’offre de poste chercheur que lui a été faite par un laboratoire belge alors chercheur visiteur. Les témoins peuvent se reconnaître à travers ce message. Il suffit d’interroger les chercheurs du CDTA entre autres notre éminent chercheur Mr. A. Bellaouar – à qui, pour mémoire, le directeur du Centre lui a signifié que nul n’est indispensable avant son départ en 1994 au Canada – ainsi que les universitaires, pour mesurer la vigueur et le bien-fondé des motivations et des convictions de Mr. Belaroussi.
Et il n’avait nullement la prétention de diriger le Centre, d’ailleurs il l’aurait diriger mille fois mieux que cet opportuniste, ni utilisé son statut de fils de Chahid pour se faire valoir et il n’a pas de relations comme le laisse entendre mensongèrement monsieur « Lumière ».
Sa gestion du CDTA, pendant prés de 23ans, est un très lourd et énigmatique dossier….
Celui qui a des relations, c’est M. Bessalah, qui n’a fait que travailler à les développer pour assurer sa propre carrière de l’avis de ceux qui le connaissent de près et également de son avis, lui-même, puisque il reconnaît dans sa biographie sur le site web du MPTIC. C’est ce qui explique pourquoi il est aujourd’hui ministre.
Selon les informations recueillies et d’après la lettre ouverte, M. Belaroussi n’a pas été président de la commission comme le dit monsieur « Lumière ». Par contre, il ne nie pas, dans sa lettre au président, avoir réceptionné la première phase du contrat et d’ailleurs il en fait allusion d’une façon franche dans cette lettre, en parlant des coûts de référence des équipements remis à neuf “objets de manipulation occulte.
On se pose déjà la question de savoir à quel point ce détracteur, monsieur « Lumière », ne se projette pas à sa propre chute.
Concernant le projet de salle blanche, pour le politique et l’économique, la question qu’on devrait se la poser est la suivante : Quels sont les termes de références pour la réalisation d’un tel projet ? Si on réussit à répondre à cette question, il en découlera un éclairage sur toutes les dérives délirantes de la gestion et de l’ésotérisme de M. Bessalah, dont le langage abscons entretient la confusion des esprits et le repli dans l’illusionnisme plus que le rationnel. L’exemple le plus éloquent de ses dérives délirantes est la salle blanche construite dans l’ancien bâtiment du CDTA à El Madania, jamais utilisé depuis qui est devenue ruine ? Est-ce qu’il a rendu des comptes par rapport à cette opération? Et voilà qu’il recommence à nouveau avec le projet de la centrale technologique de Baba Hassen.
Il profite à chaque fois de l’absence de contrôle et du laxisme des services d’inspection de l’Etat. Pour rappel, et comme il a été signalé dans la première lettre ouverte de Mr. Belaroussi, parue dans Le Quotidien d’Oran le 6 décembre 2006, sur le projet de centrale de technologie du CDTA, que «ce projet n’a même pas fait l’objet d’études préalables de faisabilité économique et l’on peut se demander sur quelles bases, ces opérations ont été financées, alors que rien ne garantit les retours sur des investissements de ce type. D’autant plus que le financement initial de 500 000 US$ dont bénéficiait le projet de la part du FADES (Fonds Arabe pour le Développement Economique et Social) était destiné à ces études. Celles-ci étaient prévues dans la convention FADES- Ministère de l’économie en date du 27/06/1990, et devaient être menées en collaboration avec l’entreprise ENIE, la principale bénéficiaire, puisqu’elle était co-organisatrice de la conférence conjointe sur le développement de l’électronique dans les pays arabes CEN-ENIE-ONUDI (organisée à Sidi Bel Abbès en janvier 1986 avec la présence du FADES). Nous tenons à signaler que nous n’avons pris connaissance du contenu de la dite convention qu’en juillet 2002, celle-ci stipulait clairement dans son premier article : l’étude de faisabilité technico-économique, une démarche que nous avons toujours défendue, comme le dictait le bon sens ».
Finalement, sachez monsieur « Lumière » que cette affaire est très sérieuse pour la faire tourner en dérision, et que la vérité finira par jaillir de la lumière, mais cette fois-ci la vraie, comme le dit l’Emir Abdelkader «Ce n’est pas par les hommes que l’on connaît la vérité mais par la vérité que l’ont apprend à connaître les hommes.
Par Abd Ennour.
*Le titre est d’El Mouhtarem