Bentalha
Comme la foudre meurtrière
Des sombres nuits glacées,
Cette meute sanguinaire,
S’abat pour tout terrasser.
Puis disparaître comme l’éclaire,
Conjugeant la mort au passé.
Bentalha en cimetiére,
Je ne vous dirai pas assez.
Bentalha qu’on a offert,
Comme offrande aux carnassiers.
A quelques lopins de terre,
Des soldats et officiers
Qui faisaient bien la paire,
Dans des chalets bien cadenassés.
Aucun bruit, c’était précaire,
Ces messieux étaient blasés.
Au matin quand tout s’éclaire,
On est tous embarrassés,
Bentalha douleurs et pleures,
Bentalha presque rasé.
Ca et là jonchés par terre,
Des corps innertes et glacés.
Bentalha ici ailleurs,
Toi et moi, le monde le sait.
poesie.56@hotmail.fr
IL EST IMPOSSIBLE D’OUBLIER
LA VERITE POURSUIVRA LES ASSASSINS ET LEURS COMMANDITAIRES JUSQUE DANS LEUR TOMBE
LA 1ER FOIS QUE J AI VU CETTE PHOTO DANS LE PARISIEN AVEC LE TITRE LA MADONE DE BENTHLALA J AI SU QUE LLE MArquerait les esprtit tout autant que la petite fille bombardé au napalm durant la guerre du vietnam. c est terrible a dire mais cette photo c du goya !
il ne faut pas la nomer la madone de bentalha car c’est une femme musulmane algerienne qui n’a rien à voir avec la culture occidentale, les auteurs de ce massacre sont toujours au pouvoir.