Prison à vie pour l’un de plus grands tortionnaire argentin, l’ex général Lucino Menedez
L’ex officier de la dictature argentine, Lucino Menendez âgé de 80 ans a été condamné à la prison à vie pour l’enlèvement, la torture et la mort de quatre militants en 1977.
Il est aussi coupable dans sept autres crimes. Menendez a été l’un des officiers de l’armée argentine les plus redoutés pendant la dictature argentine.
Le procès et le verdict ont été suivis par des centaines de personnes réunies au palais de justice.
Le général Menendez avait dirigé le troisième corps de l’armée dans la région de Cordoba, là où les quatre militants Hilda Palacios, Carlos Laja, Ruben Cardozo and Humberto Brandalisi, ont perdu la vie, après avoir été détenu et torturé dans un centre clandestin pendant un mois.
Leurs corps avaient été laissés dans la rue pour faire croire qu’ils étaient morts lors d’affrontements avec la police. C’est le premier grand procès qui aboutit à Cordoba après l’annulation des lois du point final il y a trois ans. Jusque là, Menendez était aux arrêts à domicile à la suite des premières condamnations, cette fois les juges ont ordonné la prison.
Il n’a manifesté aucun regret, déclarant qu’il combattait des communistes subversifs, et que la différence est qu’aujourd’hui les mêmes gens agissent toujours mais qu’ils sont considérés comme des citoyens paisibles.
El Correo. Paris, 25 juillet 2008
pour 7 plus 4 crime il est condamne a la prison a vie, et chez nous des milliers de disparus de tortures de femmes viole, et c el wiaam el watani tahya el bordele el djzairi
« l’annulation des lois du point final » des décennis après les faits, en Argentine, doit bien faires refléchir nos politiciens, militaires et terroristes. Si on transpose cette démarche chez nous, elle devient l’annulation des lois de la réconciliation. Donc rien n’est perdus pour les uns et rien n’est gagner pour les autres. Les lois et les constitutions changent facilement avec le courant politique en vigueur. Le jour où le peuple imposera ses vraies lois et sa constitution fédératrice, ce jour-là une nouvelle ère commencera en Algérie de la vraie paix et de la stabilité réelle. Il y a toujours un horizon salvateur.
Les discours emphatiques, à l’emporte-pièce, ne sauraient effacer les vérités et les faits. Et tout le cirque des politiciens attachés au système, sur la paix social, ne peut resister devant le flot déferlant du cours de l’histoire. Enterrer la vérité, elle germera et repoussera de plus belle.
Les mains sales, qui ont eudeuillé le peuple et l’ont pris en otage, renderont des comptes d’une façons ou d’une autre.