El Harga à la recherche de la dignité perdue
El harrag est le produit final de la longue série d’échecs de toutes les politiques économiques, planifiées et mises en oeuvre par un système non démocratique depuis l’indépendance. C’est le résultat dramatique de nos valeureux présidents et leurs courtiers de toujours.
Cela ne rate jamais. Chaque fois qu’un président pense avoir une solution économique, il l’impose avec un grand entrain. Quelques années plus tard, la situation globale s’empire et l’Algérie, à l’image d’un sable mouvant, s’enfonce dans le marasme économique, la malvie et la misère. Les riches ressources naturelles et humaines sont restées inutiles. Ils sont incapables de voir clair et de situer le mal. Cela dure depuis un demi-siècle. L’actuel président après dix ans de règne sans démocratie, et un programme présidentiel qui “a reçu” la bénédiction éclairée des plus grandes formations politiques toutes tendances confondues, vient d’être sacré par le président lui-même comme débile et non avenue.
Les citoyens, incapables de pouvoir vivre convenablement, sans travail, sans domicile, sans avenir, se sentent humiliés, piégés, emprisonnés dans leur propre pays.
Voilà à quoi servent les programmes présidentiels que tous les partis revendiquent. À former des promotions de suicidaires. L’ultime gifle et le plus gros graillon du citoyen à la figure de tout le système.
Que représentent ces arrestations et les peines d’emprisonnement devant la mort à laquelle ils se sont exposés corps et âme. Absolument rien à part une nouvelle occasion pour maudire le pays et pérenniser cet état d’esprit chez la jeunesse. Un suicidaire doit être pris en charge par les services sociaux et non jetés en prison. Tenter de trouver une solution à sa situation de désespoir. À défaut d’une solution générale pour le pays, traitez la misère au cas par cas. Ce sont des êtres humains et Il y a les moyens.
Par Sniper
Les pouvoirs publics restent insensibles aux souffrances de nos jeunes chômeurs, marginalisés, et rejetés…
Et pour garder l’ordre institutionnel, qui n’existe pas que sur le papier, ils ont recours à des procédures répressives « condamner le jeune qui ne trouve que ce moyen pour exprimer sa détresse ». Si comme si ce sujet à commis un crime contre soi ou une contravention . si c’est le cas pourquoi ils n’ont pas pensé à condamner aussi les jeunes qui tentent le suicide du fait que el harga est aussi un équivalent suicidaire ? se confier son avenir à une barque ou à une corde signifie l’engagement du sujet dans un projet de mort .
L’apparition des toutes ces pathologies sociales témoignent bien sur de la mauvaise gouvernance et l’incompétence de nos dirigeants d qui s’intéressent seulement aux intérêts personnels. C’est de verrouiller le système et de garder sa propre chaise. Ils sont dans l’incapacité de gérer les problèmes du pays qui s’effondre. Car ils passent leur temps à assister aux soirées de prestige et à draguer les femmes aux bord de la mer
Je reconnais qu’il ya effectivement des jeunes qui fuient la malvie le chômage, mais arrêtez de generaliser car ceci est archi faux, je suis au chômage at e depuis plus de quinze ans te je n’ai jamis pensé al a harga en plus, s’ils peuvent se procurer quinze millions de centimes moi je ne les ai pas et si je les avais j’essairais de demarrer un projet avec, alors arrêtez votre demagogie, c’est n phenomène bizarre certes, que je soupçonne plutôt lié au terrorisme..