L’Expression défend le dictateur Ben Ali
Je vous demande de faire l’effort de lire cet extrait d’un article écrit par Zouhir Mebarki l’envoyé très spécial du quotidien l’Expression à Tunis. Si quelqu’un tombera malade après la lecture, je m’engage à lui rembourser les frais médicaux. El Mouhtarem
« Comme pour devancer les voix de tous ceux qui, de l’étranger, se dressent en donneurs de leçons de démocratie, le président Ben Ali a jugé utile de préciser: «Quant aux rumeurs qui circulent de temps à autre, concernant l’alternance à la tête du pouvoir, je tiens à rappeler, en cette circonstance, que… nous considérons que la volonté du peuple est à la base de cette alternance.» Effectivement, tous ceux qui veulent étouffer l’expression populaire au profit du sacro-saint concept de l’alternance de leur invention vont à l’encontre de l’esprit démocratique. De plus, le véritable but est de créer les conditions nécessaires qui ne permettent pas la stabilité du pays, pourtant essentielle dans l’immense chantier de développement où s’est engagée la Tunisie et qui exige du temps et une continuité certaine.
En effet et bien avant de nous rendre à l’ouverture du congrès, nous avons préféré aller à la rencontre des Tunisiens pour recueillir leur avis. Tous nous ont répondu qu’ils ne voyaient vraiment pas la nécessité du changement pour le changement. Ils ne comprennent pas ceux qui critiquent leur Président. Ils assurent vivre dans le bien-être grâce à Ben Ali. «Pourquoi voulez-vous que l’on change quelqu’un de ´´gagnant´´?´» (c’est leur propre expression). Ils ont, en effet, raison. Cette alternance n’est chère qu’à certains milieux en Occident et à leurs relais dans les pays en développement. La majorité des Tunisiens ne semble pas en vouloir. Quoi qu’il en soit, ils exigent le droit de s’exprimer constamment et sur tous les sujets touchant à la vie dans leur pays. Ils dénient ce droit à quiconque voudrait les en priver. Il est vrai que les donneurs de leçons sont nombreux. Ils sont du Nord et «veulent du bien» aux gens du Sud. Quelle belle condescendance! Les Tunisiens dans la rue sont heureux, sociables. Ils sourient à tous et en toute occasion. Ils sont aimables, courtois. »
BRavo, monsieur le journaleux. Comme votre directeur, vous avez été à l’école des BSP du journalisme. Un article propre et brillant comme du cirage sur la chaussure.
Honteuse presse stalinienne.
c pas grave c le produit de djazair el aiza wa el karama
Eh bien, vous avez bien vu M El mouhtarem ! Et je vous envois illico mes ordonnances ! Mais, à vrai dire, cette énième « chiata taa 5 dorou » n’est qu’une goutte de plus dans l’océan de mensonge et de corruption dans lequel s’est enlisée toute la presse algérienne.
Je ne sais pas si vous savez que lorsque Ahmed Fatani, acteul directeur de l’Expression, était responsable de l’APS à Tunis, avait volé l’argent de l’OLPalestine? Les services le savent bien
http://tunisie-harakati.mylivepage.com
Moi pour être heureux, il ne me faut pas grand chose, juste que l’on me donne du travail en Tunisie, que l’on me laisse m’exprimer et que je puisse vivre en toute tranquillité, j’aimerai aussi que l’on redonne la liberté à cette pauvre Sameh Harakati, à part tout cela je ne veux pas de changement en Tunisie.