Qui est responsable du drame de Sidi Aissa ?
Les services de sécurité de la ville de Sidi Aissa dans la wilaya de M’sila ont dénombré 4 morts et 60 blessés dans les incidents nés des suites de la mort d’un homme de 50 ans. En effet, Arbaoui Saâd, dit Bariasse, avait eu une altercation, selon El Watan, avec le fils du propriétaire de l’établissement hôtelier « Djebel Ennaga ». Le fils du patron de l’hôtel, inauguré en 2005 par le ministre du tourisme, est passé avec sa voiture sur le corps de la victime, le blessant grièvement. La victime a rendu l’âme au bout d’une hospitailisation de 15 jours au CHU Mustapha Bacha. La question que posent les enfants de Sidi Aissa: pourquoi les aurorités n’ont pas pris de mesure à l’encontre du fils du propriétaire de l’hôtel après l’acte perpetré contre Bariasse ? Cette attitude est considérée par les citoyens de la localité comme un acte de hogra. « Le fils du patron de l’hôtel aurait bénéficié d’une certaine impunité », rapporte El Watan dans son édition de samedi.
Par ailleurs, ripostant contre la déferlante humaine qui s’est attaquée à son établissement, le propriétaire et ses agents de sécurité ont tout simplement tiré à bout portant sur la foule tuant 3 personnes et blessant une soixantaine dont 52 par balles de chevrotinen, ajoute El Watan. Le propriétaire de l’hôtel, vraisemblablement, à court de munitions, a été par la suite systématiquement lapidé par la foule jusqu’à ce que mort s’ensuive.
« Aucun policier n’est intervenu au moment où les pierres pleuvaient sur l’établissement, avant que l’on commence à tirer de l’intérieur. C’est le propriétaire, Benguenaoui Larbi, alias Daoudi, qui avait riposté en tirant sur la foule », selon un témoin du drame.
« D’aucuns diront, ajoute EL Watan, que la fin dramatique vécue par ces personnes et les horreurs qui s’en sont suivies auraient pu être évitées si les services de sécurité avaient fait preuve d’intelligence pour prévenir ces incidents, lesquels, somme toute, étaient prévisibles »
Une question mérité d’être posée: qui est responsable du drame ?
Par El Mouhatarem
hogra en algerie http://hogra.centerblog.net/
Le verirable responsable n’est que le systeme qui nous gouverne depuis 1958 à ce jour!La hogra sous toutes ses formes!!!
APPEL EMEUTES ALGERIE
Bravo Alban !
D’abord pour votre pseudo, Alban, qui ne dit rien ! Entre l’ingérence de l’étranger et le camouflage identitaire, on peut y mettre ce que l’on veut et vous ne vous privez pas. En trois mots, vous déclinez un projet aussi absurde qu’une identité trompeuse : vous en appelez à une tuerie. Pour le bonheur de qui ? Peut-être pas le vôtre, Alban, mais en avez-vous seulement conscience ? Avez-vous songé que vous pourriez finir parmi les cadavres qui joncheraient la voie publique après le passage de la meute ? A moins que, comme tous les grands esprits de ce monde qui se respectent, vous vous contentiez de hurler au loup, planqué devant votre poste de commande à manipuler les évènements dans la rue, comme cela vous convient à vous … Et bien entendu, vous seriez parmi les premiers, une fois les violences bestiales passées, à reconstruire à votre image un monde meilleur où les affaires sérieuses se règleraient ainsi : par émeutes interposées dans des bains de sang salutaires, mais pas le vôtre.
Mais ce blog est libre, n’est-ce pas ? J’en félicite le propriétaire, Elmouhtarem (que son pseudo soit béni) dont je ne doute pas des grands projets démocratiques et à qui j’adresse ce message, que je ne doute voir publié étant donné qu’il n’arrive pas à la cheville de la virilité de votre appel aux émeutes en trois mots terrifiants.
A l’attention d’Elmouhtarem : Le 29 juillet dernier, je vous ai adressé une contribution intitulée « la sanction, une erreur de stratégie ». Cette contribution n’a pas été publiée à ce jour et elle n’aurait de toute façon aucun intérêt à être publiée. Je crois en effet comprendre que la majorité des participants à votre blog apprécient moins l’analyse des comportements et la compréhension des situations que les annonces percutantes.
Pour cette raison, je ne souhaite plus qu’elle soit publiée. Je vous prie de la détruire de façon définitive de vos dossiers et de m’en confirmer la destruction soit sur cette page soit par mail.
Comptant sur votre sens de l’éthique et votre conscience personnelle,
Avec mes respects,
Wi Yilan’
wi yilane. Votre contribution a bel et bien était publiée.
Le responsable c’est se système pourri qui nous dirigent nous sommes au royaume de l’impunité, c’est logique que la population se fait justice elle-même, l’etat est défaillante sur tous les plans les voyants sont en détresses le président ne maitrise que les sortis a l’étrangé, et nous les pauvres bougres nous sommes entrain de se détruires de jour en jour allah yestar.
Où a-t-elle été publiée cette contribution de Wi yilane? On peut donc la retrouver. Dans quelle catéfgorie? ??? Merci de le préciser monsieur elmoutarem.
Un blogueur intéressé par cette contribution.
Arezki
Rendre la parole possible, c’est possible
La raisons pour laquelle je participe à ce blog est que je crois à la nécessité de proposer, outre des informations en général alarmantes, des analyses de situations dans un autre esprit afin d’élargir notre champ de vision. Je sais par expérience personnelle et professionnelle que, quand la parole retrouve sa place, elle réduit d’autant le recours à la violence, même verbale. « Dire » ce que l’on ressent, parler de ce qui fait mal ou fâche permet d’envisager des solutions. Une parole facilitée, libérée, évite d’accumuler les ressentiments, les malentendus et les jugements définitifs, qui finissent par se concrétiser dans des « actes » de violence. On peut me rétorquer qu’il est facile de faire des analyses confortables hors des situations de crise. C’est vrai. Mais c’est à cela qu’il faut décider de parvenir pour que la violence ne soit plus un moyen d’expression banalisé, « normal », dans la société. Décider de « poser » les problèmes et les difficultés permet aussi, plutôt que de sanctionner, de « réparer ».
L’appel aux émeutes du sieur Alban est un acte de violence, qui peut soit exprimer « rage » impuissante (aussi impuissante que celle exprimée par le procureur de la république qui requiert dix ans de prison pour atteinte à l’emblème national (ma réflexion à ce sujet sera proposée à nouveau après sa mise à jour)), soit être un véritable acte d’ingérence dans un projet obscur. Ce genre de pseudo est un moyen de semer le doute quant au contenu véritable des propos ; il constitue une véritable violence.
Concernant le sentiment de « rage », nous savons tous ce qu’une rage impuissante peut faire de nous, de chacun de nous : des objets de violence et de destruction. Nous savons aussi que la rage est l’aboutissement d’une souffrance réelle qui dure et s’aggrave avec le temps. On peut donc considérer que la violence est « naturelle » dans le sens où les animaux aussi en sont « frappés » : quand on ne peut pas se sortir d’une impasse, ou bien on se laisse mourir, ou bien on fait « n’importe quoi » pour s’en soulager. Dans la logique de ce raisonnement (facile, je vous l’accorde), l’émigration clandestine, la prostitution, la drogue, l’extrémisme de tous bords (comme les émeutiers quand ils sont sincères) …, tous en sont à une étape du développement d’une souffrance insupportable et leurs actes de violence ne sont qu’une réaction de survie ; autant dire qu’ils sont en situation de désespoir.
« Désespoir » : absence d’espoir. Pour en arriver là, il faut beaucoup de coups durs, beaucoup d’échecs, beaucoup de tentatives sans résultats. Beaucoup de besoins non satisfaits. D’accord, mais l’appel à la violence ou la justification de la violence (elle insulte donc je peux insulter, et plus fort encore) est une violence supplémentaire inutile : elle ne résout pas le problème. Il appartient dès lors, à quiconque en a la possibilité, de le dire, de l’expliquer, de le répéter … jusqu’à ce que ce genre de propos soit entendu et que l’on accepte, petit à petit, de marquer un arrêt dans l’expression du désespoir, de la haine, et de considérer que l’espoir est moins épuisant, moins coûteux ; que, tant que nous avons la capacité de réfléchir, nous avons les moyens d’agir POUR notre bien-être et non plus CONTRE le mal-être ; on ne peut rien « contre » quoi que ce soit. Pour cela, il nous faut revoir nos certitudes et questionner les acteurs sur le terrain (associatif, politique, éducatif, économique …) en tant que personnes « responsables » et non « coupables » (cela ferme encore plus les portes), sur le sens de leurs politiques respectives. Il n’y a pas d’autre issue possible. En Algérie comme ailleurs.
Mais si, d’un côté, la violence pour la survie est une réaction saine et légitime parce que nécessaire, d’un autre côté, la violence institutionnalisée (politique, idéologique, …), elle, est criminelle. Dans ce sens, la violence de survie ne peut pas répondre au crime par un appel au crime sans perdre sa légitimité et son « naturel ». La violence en réaction à la violence reste une violence. Même la grève de la faim est une violence faite à soi-même : elle peut mal finir sans garantir une issue.
jouer les profilers c’est facile, mais si vous etiez confrantée a cette hogra qui sais votre réaction? la justce a deux poids deux mesures est voici le résultat alors en ne pourra jamais jusitifier l’injustise et si wi yilan est objective alors elle doit se convaincre de ne pas prendre position c’est plus reconfortant pour elle.
l unique responsable de ces actes et la catastrophe l ancien responsable de police de wilaya qui etait derriere le jeux au dossier malheureusemnt a benificie d une promotion
A libre
Si je me trouvais dans votre situation, Libre, je serais heureuse que quelqu’un se permette de poser une main amicale sur mon épaule et me suggère que ce que je fais pourrait m’être nuisible et me faire plus de mal que de bien. Mais vous avez raison, on ne peut pas préjuger de ce que l’on ne vit pas. C’est pour cette raison que je précise ceci : « On peut me rétorquer qu’il est facile de faire des analyses confortables hors des situations de crise. C’est vrai. Mais c’est à cela qu’il faut décider de parvenir …”
En prenant la précaution de préciser ainsi, je fais un effort d’objectivité car je me contente de développer une idée dans laquelle je m’efforce de faire apparaître, parce que j’y crois, qu’il est possible de faire autrement EN GENERAL qu’employer des formes d’actions qui favorisent l’entretien de la violence. Je m’exprime exclusivement sur la dimension politique (gestion de la relation publique), sur les implications possibles des actes. En terme d’achats, il s’agirait d’une étude du rapport qualité-prix, ce raisonnement s’adressant aussi aux dirigeants puisque je propose de “… questionner les acteurs sur le terrain (associatif, politique, éducatif, économique …) en tant que personnes « responsables » …, sur le sens de leurs politiques respectives.”
En espérant que ce complément répondra à vos objections.
Chère Wi Yilan
pourriez vous s’il vous plait,nous dire comment les enseignants contractuels pourraient fair aboutir leurs revendications,par votre méthode !?
Parceque là tout y es passé :Grève de la Faim,sit-in,marche etc…
La réponse a été presque à chaque fois similaire :LA MATRAQUE ou plutôt EL MATRAGG!
Cordialement!
Slimane,
Cette réflexion n’est pas une réponse à votre interrogation, Slimane ; encore moins une esquive. Elle se veut une ouverture.
D’abord, si je me hasardais à orienter votre recherche en vous soumettant des idées de solutions, j’espère que vous auriez la sagesse de me rendre la monnaie de ma pièce et que vous me traiteriez pour ce que serais : un charlatan ou un illuminé (en gros). Mon intention est, en vous croisant sur cette voie publique qu’est le blog, de vous faire trébucher (les enseignants parmi d’autres). C’est une façon comme une autre de ralentir votre course effrénée pour pouvoir attirer votre attention sur le mur vers lequel vous risquez de vous fracasser le nez. Le mur est là mais, fonçant la tête baissée parce que pris du vertige de la colère, vous ne le voyez pas (je ne fais pas de leçon ; je développe une idée. Mais si elle peut servir …).
On peut trouver des idées ou inventer des moyens conséquents qui correspondent exactement aux situations dans la concertation et le recours à plus expérimentés, plus anciens, plus distants aussi ; pas dans l’opposition systématique car l’opposition produit et entretiens la contre opposistion.
Les moyens « démocratiques » libéraux ne peuvent valoir que pour des états historiquement libéraux, et encore ! Je ne vois pas que toutes les sociétés libérales soient plus harmonieusement gérées avec tout leur arsenal de « droits » institutionnalisés. Ceci pour dire que, en empruntant des méthodes, disons-le sans détour « étrangères » à sa culture (multipartisme, sit-in, grèves …), on parvient exactement au résultat qui découle de l’acquisition garantie de bien de consommation (aliments, fonctionnement, technologie) : on en devient dépendants sans pour autant en faire nécessairement bon usage.
Par exemple, en quoi l’enseigne et les produits Carrefour améliorent-ils la condition des algériens ? Comment se fait-il que les Algérien s’en félicitent ? En comparaison, quelles innovations, conçues en Algérie, apporte-t-on aux programmes scolaires et universitaires pour en améliorer le rendement ? Les enseignants à tous les niveaux s’en sentent-ils responsables d’une façon ou d’une autre ?
Le problème que pose le fait de se « fournir » ailleurs que chez soi, on réduit sa capacité de produire soi-même selon ses besoins propres et ses ressources (les algériens n’en manquent pas, ils l’ont peut-être oublié), pour la raison que l’emprunt réduit jusqu’à l’atrophier la capacité de créativité, la dynamique en matière de gestion des situations inattendues ou particulièrement difficiles. Cela est vrai à tous les niveaux de la société, à commencer par la famille. Un exemple : voyez l’usage que l’on fait de la télévision dans les foyers algériens et demandez-vous si c’est cela que vous, Algériens, vous voulez. De ce que j’ai pu constaté, on ne peut vouloir cela.
Ensuite, votre message confirme bien que les actions menées dans l’esprit revendicatif (sit-in, grèves, marches) ne donnent pas satisfaction et que l’action « violente », quelle qu’en soit la forme, n’est pas un moyen utile. A moins d’être le plus fort, le plus violent et de pouvoir aller jusqu’au bout. Mais au bout de quoi ? De la violence ? Des recours ? Du désespoir ? De l’espoir ? Des forces ? Et après ? Cela fait beaucoup d’aléas.
Les pays dits « en développement », l’Algérie en est un exemple désolant, se sont trompés d’orientation politique. Après une « indépendance » remportée avec panache, elle a glissé vers un échec vertigineux. La raison en est, à mon sens, qu’on a emprunté des modèles politiques par principe et non par foi, pour le panache et non dans un réel projet de société. On a voulu briller au-delà du nécessaire, on en a perdu tout éclat bien au-delà du supportable. Maintenant, il faut arrêter de foncer et changer de méthodes. Peut-être les Algériens doivent-ils se rappeler qui ils sont pour savoir ce qu’ils veulent et trouver dans leurs propres ressources les vraies solutions à des faux problèmes nés d’une application absurde de principes inopérants. Ce qui se passe en Algérie est un accident. Il faut établir un constat et réparer. Pour y parvenir, il faut le vouloir.
Adressez-vous à des référents sûrs, dont vous avez des garanties sur leur probité, pour accompagner votre réflexion et vous laisser libres de décider.
Cher Wi Yilan
Vous nous surprenez, (c’est le moins que l’on puisse dire), votre réflexion est un alambique de contradictions réactionnaires contrairement à l’esprit d’ouverture dont vous vous prévalez !
Je m’explique :
>
Primo, je ne suis pas enseignant vacataire
Secondo, et vous l’aurez sans doute deviné, je vous ai posé un problème d’actualités concret et clair, loin du verbiage, dont se prévalait le défunt RPR français…
Vous reconnaissez qu’il y a des murs en Algérie… C’est drôle je sais.
Vous connaissez les prolongements négatifs que signifie le mot mur :
Mur = Obstacle ; Mur = Dureté ; Mur = Silence pesant ; Mur = silence méprisant…
Je crois que le mur Algérien est l’addition de tous ces murs, outre d’autres pesanteurs que j’ai du oublié de citer (Je suppose que vous saisissez le second degré de la chose)…
>
Ensuite
>
Vous nous faite une superbe redite du Général De Gaule, qui disait en substance : POURQUOI DÉCOLONISER ? LE TIERS MONDE N’EST NI MÛR POUR LA DÉMOCRATIE, NI POUR L’AUTONOMIE !
Une règle scélérate destinée a faire de nous, des mineurs et des assistés a vie … ce dont nous sommes actuellement…
>
Wi Yilan ! Vous voulez insinuer qu’il faut remettre en cause ou carrément renier l’héritage humanitaire universel ?
Selon votre lecture l’Algérien doit :
Dans un premier temps refuser la démocratie parce que issue de systèmes libéraux, éloignés de sa culture (Quelle est sa culture ?!)
Ensuite renier des formes de revendication pacifique universel (Grève – Sit-in ; marche)…
Vous prônez une démarche bien étrange, qui consiste a se refermer sur sois même, refuser tout acquis universel et réinventer le zéro…
La suite de votre diatribe bien que très convaincante et absolument juste, consiste en une comparaison floue et inappropriée entre le refus de la société de consommation (Ce qui est juste) ; et la chose politique (ce qui est inapproprié)…
Je ne sais pas si vous êtes comme moi mélomane ; mais je vous renvois à un auteur a texte en l’occurrence ALAIN SOUCHON et son succès « FOULE SENTIMENTALE » L’Algérien de 2008 est plus que jamais tributaire d’un idéal rassembleur.Pas de frigos,pas de vacances en Tunisie,pas de Visas Schengen,pas d’écrans plasma.
Le credo de toutes les colères citoyennes qu’on a eu cette année était : DONNEZ NOUS L’ESPOIR DE VIVRE ! ON EN A MARE DE VOGUER DANS ET VERS L’INCONNU ET DES LENDEMAIN INCERTAINS !
La pauvreté n’a jamais généré de violence en Algérie : pour preuve ? La première décennie post indépendance …
Le semblant de classe aisée n’a jamais généré de violence en Algérie !
Ce qui a généré la violence – La Harga – Les Reconversions bibliques c’est le silence méprisant des dirigeants.
C’est l’absurdité totale du système scolaire Algérien
C’est le décalage politique nihiliste total des dirigeants Algériens, Hors époque (En Europe Un ministre a 40 ans – En Algérie le plus jeune dépasse la soixantaine)…
En Europe un ministre a dansé sur la vague disco En Algérie un ministre a dansé sur la vague YÉYÉ !
Vous dite :
>
Proposez nous des méthodes pas des réflexions…
Nous n’avons pas besoin de psy téchnocrates – Nous n’avons pas besoin de conseillers conjugaux – de mots creux…
L’Algérie a besoin de ses enfants et de leur pragmatisme : TIME IS MONEY !
Vous concluez votre intervention en évoquant les choix politiques du tiers monde et général et de L’Algérie en particulier au lendemain de la décolonisation :
Vous faite preuve d’une naïveté politique évidente en croyant que l’Algérie avait un choix… Je suppose que c’est en rapport avec votre age :
Sachez que le monde d’Alors, était divisé en deux pôles :
L’occident ultralibéral – impérialiste – réactionnaire et colonisateur oppresseur.
L’EST : Démocratie populaire socialiste – antilibérale décolonisatrice progressiste…
L’Algérie avait-elle réellement le choix ?
Elle venait de botter le cul à un gars de l’OTAN
Elle fut aidée en sa besogne militairement et politiquement par le pacte de Varsovie même de manière indirecte !
L’occident venait de créer Israël au cœur du moyen orient…
Le pacte de Varsovie était contre (Du moins en apparence)
Que pouvait faire une nation faiblarde et démunie face a deux ogres qui voulaient en découdre coûte que coûte quitte a faire des dommages collatéraux ?
« Tu es avec l’Oncle SAM, ou avec Nicholeai POUCHKINE » et t’as aucun choix.
Au contraire la diplomatie Algérienne et les dirigeants éclairés des non alignés avaient crée le troisième pôle.Sans parler des guerre Israélo-arabe ou l’Algérie s’était saigné a blanc pour venir en aide aux faux frère arabes et montrer ainsi sa générosité et surtout sa reconnaissance.
C’est dire que nous sommes un peuple Naïf.
La vérité Est ailleurs Wi Yilan Il faudra qu’un jour des historiens honnêtes nous fassent la relecture de tous cela…
Cordialement
Certains extraits du texte n’apparaissent pas dans cet exposé les voici en ordre :
Cher Wi Yilan
Vous nous surprenez, (c’est le moins que l’on puisse dire), votre réflexion est un alambique de contradictions réactionnaires contrairement à l’esprit d’ouverture dont vous vous prévalez !
Je m’explique :
« Mon intention est, en vous croisant sur cette voie publique qu’est le blog ,de vous faire trébucher (les enseignants parmi d’autres. C’est une façon comme une autre de ralentir votre course effrénée pour pouvoir attirer votre attention sur le mur vers lequel vous risquez de vous fracasser le nez »
Primo, je ne suis pas enseignant vacataire
Secondo, et vous l’aurez sans doute deviné, je vous ai posé un problème d’actualités concret et clair, loin du verbiage, dont se prévalait le défunt RPR français…
Vous reconnaissez qu’il y a des murs en Algérie… C’est drôle je sais.
Vous connaissez les prolongements négatifs que signifie le mot mur :
Mur = Obstacle ; Mur = Dureté ; Mur = Silence pesant ; Mur = silence méprisant…
Je crois que le mur Algérien est l’addition de tous ces murs, outre d’autres pesanteurs que j’ai du oublié de citer (Je suppose que vous saisissez le second degré de la chose)…
« On peut trouver des idées ou inventer des moyens conséquents qui correspondent exactement aux situation dans la concertation et le recours à plus expérimentés,plus anciens,plus distants aussi ;pas dans l’opposition systématique car l’opposition produit et entretient la contre opposition »
Ensuite
« Les moyens démocratiques libéraux ne peuvent valoir que pour des états historiquement libéraux et encore ! je ne vois pas que toutes les sociétés libérales soient plus harmonieusement géréés avec tout leur arsenal de droits institutionnalisés »
Vous nous faite une superbe redite du Général De Gaule, qui disait en substance : POURQUOI DECOLONISER ? LE TIERS MONDE N’EST NI MÛR POUR LA DEMOCRATIE, NI POUR L’AUTONOMIE !
Une règle scélérate destinée a faire de nous, des mineurs et des assistés a vie … ce dont nous sommes actuellement…
« Ceci pour dire que,en empruntant des méthodes,disons le sans détour étrangères à sa culture (multipartisme ,sit-in ,grève…),on parvient exactement au résultat qui découle de l’acquisition garantie de bien de consommation (aliments,fonctionnement,technologie)
n en devient dépendants sans pour autant en faire nécessairement bon usage »
Wi Yilan ! Vous voulez insinuer qu’il faut remettre en cause ou carrément renier l’héritage humanitaire universel ?
Selon votre lecture l’Algérien doit :
Dans un premier temps refuser la démocratie parce que issue de systèmes libéraux, éloignés de sa culture (Quelle est sa culture ?!)
Ensuite renier des formes de revendication pacifique universel (Grève – Sit-in ; marche)…
Vous prônez une démarche bien étrange, qui consiste a se refermer sur sois même, refuser tout acquis universel et réinventer le zéro…
La suite de votre diatribe bien que très convaincante et absolument juste, consiste en une comparaison floue et inappropriée entre le refus de la société de consommation (Ce qui est juste) ; et la chose politique (ce qui est inapproprié)…
Je ne sais pas si vous êtes comme moi mélomane ; mais je vous renvois à un auteur a texte en l’occurrence ALAIN SOUCHON et son succès « FOULE SENTIMENTALE » L’Algérien de 2008 est plus que jamais tributaire d’un idéal rassembleur.Pas de frigos,pas de vacance en Tunisie,pas de Visa Schengen,pas d’écran plasma.
Le credo de toutes les colères citoyennes qu’on a eu cette année était : DONNEZ NOUS L’ESPOIR DE VIVRE ! ON EN A MARE DE VOGUER DANS ET VERS L’INCONNU ET DES LENDEMAIN INCERTAINS !
La pauvreté n’a jamais généré de violence en Algérie : pour preuve ? La première décennie post indépendance …
Le semblant de classe aisée n’a jamais généré de violence en Algérie !
Ce qui a généré la violence – La Harga – Les Reconversions bibliques c’est le silence méprisant des dirigeants.
C’est l’absurdité totale du système scolaire Algérien
C’est le décalage politique nihiliste total des dirigeants Algériens Hors époque (En Europe Un ministre a 40 ans – En Algérie le plus jeune dépasse la soixantaine)…
En Europe un ministre a dansé sur la vague disco En Algérie un ministre a dansé sur la vague YÉYÉ !
Vous dite :
« Maintenant, il faut arrêter de foncer et changer de méthodes »
Proposez nous des méthodes pas des réflexions…
Nous n’avons pas besoin de psy téchnocrates – Nous n’avons pas besoin de conseiller conjugaux – de mots creux…
L’Algérie a besoin de ses enfants et de leur pragmatisme : TIME IS MONEY !
Vous concluez votre intervention en évoquant les choix politiques du tiers monde et général et de L’Algérie en particulier au lendemain de la décolonisation :
Vous faite preuve d’une naïveté politique évidente en croyant que l’Algérie avait un choix… Je suppose que c’est en rapport avec votre age :
Sachez que le monde d’Alors, était divisé en deux pôles :
L’occident ultralibéral – impérialiste – réactionnaire et colonisateur oppresseur.
L’EST : Démocratie populaire socialiste – antilibérale décolonisatrice progressiste…
L’Algérie avait-elle réellement le choix ?
Elle venait de botter le cul à un gars de l’OTAN
Elle fut aidée en sa besogne militairement et politiquement par le pacte de Varsovie même de manière indirecte !
L’occident venait de créer Israël au cœur du moyen orient…
Le pacte de Varsovie était contre (Du moins en apparence)
Que pouvait faire une nation faiblarde et démunie face a deux ogres qui voulaient en découdre coûte que coûte quitte a faire des dommages collatéraux ?
« Tu es avec l’Oncle SAM, ou avec Nicholeai POUCHKINE » et t’as aucun choix.
Au contraire la diplomatie Algérienne et les dirigeants éclairés des non alignés avaient créaient le troisième pôle.Sans parler des guerre Israélo arabe ou l’Algérie s’était saigné a blanc pour venir en aide aux faux frère arabes et montrer ainsi sa générosité et surtout sa reconnaissance.
C’est dire que nous sommes un peuple Naïf.
La vérité Est ailleurs Wi Yilan Il faudra qu’un jour des historiens honnêtes nous fassent la relecture de tous cela…
Cordialement
Mille excuses encore une fois
Cher Slimane,
Vous avez fait une lecture très personnelle d’une réflexion générale et vous êtes tombé tête baissée dans une virulence inamicale (un mur que vous ne voyez pas !) : d’une proposition d’ouverture, vous avez fait un amas « alambique de contradictions réactionnaires » ! Comme expression d’une adhésion à « l’héritage humanitaire universel », ça interpelle.
Que font par exemple mes compatriotes de leurs connaissances élargies, de leur aisance à s’exprimer, des « valeurs » dont ils se réclament, du forum de « débats » gracieusement mis à leur disposition … ? Une fronde pour une guerre de position ! Si vous n’en êtes pas convaincu, considérez les différents dons suivants, qu’en avons-nous faits :
- Certains, dénommés « chouhada » depuis qu’ils ont payé le prix fort pour nous tous, nous ont « donné » l’indépendance, sans compter. Voyez ce que nous en faisons. Et les dirigeants (que je n’apprécie ni ne défends en aucune façon par ailleurs) ne sont pas responsables de tous les maux. Feriez-vous mieux en terme de démocratie (« vous », ce sont les démocrates algériens)? Etant donné vos réactions aux idées qui ne vous conviennent pas sur ce blog, on peut s’interroger ; « s’interroger » n’est pas critiquer, juger, accuser.
- On vous a « donné » le libéralisme dont vous vous réclamez partisan (TIME IS MONEY affirmez-vous !). Vous y êtes jusqu’aux yeux et, au rythme où vont les réformes, la consommation d’alcool sera bientôt subventionnée en pays musulman pour convaincre les « partenaires » économiques de notre bonne volonté libérale ! Cela vous va-t-il, homme pragmatique ?
- On nous a « donné » le suffrage universel. Qu’attendez-vous (vous, sur place) pour l’exploiter à bon escient ? Faut-il que ce soit d’autres qui votent pour vous aussi ? C’est fait : quand les démocrates à l’algérienne pratiquent crânement l’abstention, les autres votent pour eux.
Ces exemples vous suffisent-ils pour vous convaincre que l’emprunt ne modifie pas les mentalités ? Mais il est vrai que vous ne voulez pas de réflexion mais des modes d’emploi… C’est ce qu’a privilégié la majorité des dirigeants des pays en développement. En sommes-nous plus heureux ? Si oui, ne vous plaignez plus ; si non, agissez. Pendant que les uns s’abstiennent et refusent de pratiquer une réflexion objective (pragmatique ?), la réflexion se fait sans eux de l’autre côté du mur érigé par des idéologues qui vivent hors évidence ; un mur fait de toutes les distorsions d’une imitation en vrac.
Naïve ? C’est un compliment et je vous invite à en faire l’expérience. Elle est simple : ne vous laissez pas façonner en fonction d’idées reçues, de « normes » conçues par d’autres.
Enfin, la vérité ne peut pas être « ailleurs », elle est là où chacun se trouve, pas là où n’importe qui veut le mettre, en particulier des hypothétiques historiens « honnêtes ». A la rigueur, des historiens franchement non alignés, un concept qui n’a pas trouvé sur le terrain des hommes suffisamment libres d’esprit pour lui accorder une chance (cela n’engage que moi).
Vous pouvez fermer votre porte à l’échange, la mienne reste ouverte.
A bientôt j’espère.
Wi Yilan’
D’abord un grand merci a EL MOUHTAREM de nous laisser l’hospitalité de ses colonnes!
Secundo :Mille excuses si certaines tournures de mon intervention vous ont parues vindicatives!
J’ai lu votre intervention et j’en ai retenue deux idées motrices:
D’abord LE LIBERALISME:
Je ne crois pas aux libéralisme,comme vous l’insinuez;surtout pas aux libéralisme imposés aux règles pré-établies…
Pour qu’il y ait libéralisme,il faut qu’il y ait d’abord CAPITAL;à fortiori des capitalistes(Une couche Bourgeoise) ensuite une politique d’ouverture économique favorisant les activités de ces derniers (Importation-Investissement bancaire-Industriels etc..)
Posons-nous une question stupide Wi Yilan:
« En 1962,à l’indépendance,la France a laissé 09 millions d’algériens en Haillons et guenilles et un pays exsangue »…Suivent alors 26 ans (jusqu’à 1988) de gestion pseudo socialiste (monopole d’état-nationalisation,étouffement du secteur privé regardé comme suspect!)…Suit alors la décennie rouge de 1988 à 1998 où tout était en statu-quo…
Puis comme par enchantement;un matin clair,sont apparus pèle-mêle:des Capitaux colossaux – des golden boys et des empires financiers détenus par des compatriotes…
Comme le père Noel est mort depuis très longtemps d’où est venus tout cela?…
Le Jeune HARRAGUE qui rêve du REVE AMERICAIN,peut-il réellement, dans un jeux ou les règles sont faussées d’avance, devenir un golden boy;à la tête d’un empire du style KHALIFA par la seule force de sa volonté de ptit capitaliste et l’eau fraiche?!
Pour nous vendre l’espoir et le libéralisme (style par la force de vos jarrets) il faudra se lever très tôt.Et tant pis si nous sommes traités de pessimistes!
Wi Yilan,si nous voulons réellement,construire une Algérie épanouie aussi jolie qu’une nymphe grecque,il faut arreter de voir nos compatriotes qui ne nous ressemblent pas comme des pestiférés:
Je ne vois pas,et c’est mon avis, la subvention,des alcools comme une atteinte à la dignité d’un musulman…Libre à tout le monde d’avoir ses sensibilités et ses convictions…Pour le reste,si le vin Algérien peut constituer l’après pétrole tant mieux!!!
Pragmatisme Wi Yilan,Pragmatisme!!!
Une Algérie moderne,simple,harmonieuse sans haine ni discrimination.Une Algérie qui avance qui exploite toutes ses forces et tous ses Enfants… N’est-ce pas cette Algérie,dont rêvait ABANE,et les Chouhada que vous citez?!
Plus loin vous dites:
« On vous a donné le sufrage universel! »
C’est une grosse blague à la Fellag:On nous a donné le suffrage universel certes,mais on a gardé les meme urnes que la france coloniale utilisât après le decret Crémieux!
Si bien qu’à la fin,le seul moyen qui restait aux électeurs de dire à la face du monde:Regardez la supercherie électorale que nous subissons depuis l’indépendance,c’était l’ABSTENTION pure et simple.
Abstention du coté des candidats démocrates,de ne pas participer à une mise en scene jouée d’avance…
Abstention record côté électeurs pour bourrages d’urnes filmées en direct par une chaine de télévision étrangère et une actuelle Ministre…
En attendant… En attendant la vérité est ailleur!
Cordialement!
Nous naviguons à vue, ami. Nous ne parlons pas du tout de la même chose. Il nous faut avoir le courage de déclarer forfait et cesser cet échange qui est en train de devenir un monologue à deux phases. Pour conclure de mon côté, j’en propose un résumé de ce qui m’en reste, sans jugement ni concession.
Le débat n’est pas possible entre vous et moi pour la raison que nous fonctionnont sur des modes opposés : l’un se fonde sur des faits réels et actuels pour développer une idée dont l’objectif est de faire émerger des possibilités de résolutions ; l’autre se fonde sur des mythes passés ou à venir et des principes rétrogrades (au sens historique et non moral : qui font reculer plutôt qu’avancer), pour justifier exactement le contraire, à savoir qu’il n’y a pas d’issue sans bouleversement !
Mais cet échange permet de se positionner par rapport à l’un et à l’autre.
A force de se référer à « ailleurs », mon compagnon de parole ne réalise pas que c’est de son fait à lui qu’il « VOGUER DANS ET VERS L’INCONNU ET DES LENDEMAIN INCERTAINS ! » Ainsi, il nous fait naviguer avec lui du « rêve américain », l’imaginaire grec (encore le rêve !) et un futur un peu désarticulé dans lequel le vin remplacerait le pétrole comme source de revenus pour l’Algérie (toujours le rêve !!). Alors qu’il se revendique d’un pragmatisme pur et dur !
Signalons si besoin est que le pétrole et le vin appartiennent à des catégories différentes. L’un est une source d’énergie pour tous, l’autre, au mieux un condiment, au pire un désarticulant mental et social : « Dans l’Union européenne, le recours à l’alcool est de plus en plus précoce et touche garçons et filles dans tous les milieux. Selon une enquête récente, 19 % des 15-24 ans s’enivrent au moins une fois par semaine. » Thema, ARTE, 21 aout . Cela vous semble un prix intéressant pour des libertés individuelles garanties ? Quant à ‘ »Une Algérie qui … exploite toutes ses forces et tous ses Enfants … », vous êtes sûr de ce que vous avancez ?
Revenons sur terre et suggérons en remplacement du pétrole : le soleil, le vent, les courants marins. Quant à une Algérie « jolie comme une nymphe grecque », je me permets d’être moins éthérée et de préférer que ce pays ne soit pas assimilé à un objet de convoitise, un peu comme une courtisane dont le seul souci serait de plaire à ces gros et gras investisseurs débordant de convoitises jamais assouvies.
Que le vin coule donc, mais seulement après que les Algériens aient pris entièrement possession de leur héritage collectif. Se nourrir, se vêtir, se loger, se marier, se former, ne plus jamais risquer de partir en lambeaux dans les éclats d’explosifs qui expriment eux aussi un rêve d’absolutisme, voilà ce à quoi l’on devrait s’attacher dans l’immédiat.
Voilà pourquoi l’abstention, à moins d’invalider le scrutin dans certaines conditions, n’est pas un choix responsable. Pas plus que d’avoir refuser de s’asseoir à la même table que des islamistes modérés, il y a quelque temps déjà, à l’invitation de Zéroual (quels que soient ses défauts par ailleurs). Qui sait si une table ronde avec toutes les sensibilités réunies n’auraient pas modifié le cours des choses ? Par ailleurs, pourquoi tant tenir à montrer quoi que ce soit « à la face du monde » ? On n’est plus sous occupation étrangère ? C’est aux algériens qu’ils faut s’adresser. Vous vous voulez pragmatique, reconnaissez que l’abstention sert vos adversaires et que, à force d’abstentions dans tous les domaines, à force de se laisser submerger par ses frustrations (politiques et autres), on finit fatalement par… voguer au gré de fantasmes non maîtrisés.
C’est peut-être ce que font la majorité des Algériens, parmi lesquels les politiques qui ne savent peut-être plus très bien dans quelle société ils vivent ou veulent vivre.
Cordialement
« Ce n’est pas de la différence des idées que naissent les antipathies;mais du choc des caractères! »
Je ne sais plus qui à signé cet aphorisme mais, vous nous semblez bien fragile mentalement face à l’adversité (dialectique s’entend)et au combat d’idées opposées à vos autres…
Premièrement: vous ne répondez à aucunes des acuités qui vous es posées.
Oh! rassurez vous ,personnellement,je n’ai pas besoin de vos réponses…
L’objet de ma démarche,ayant suivi vos interventions,depuis un moment sur ce blog, c’était de vous amener à vous impliquer,tout en prenant les visiteurs de ce blog à témoins,au lieu de jouer l’entraineur sur la ligne de touche…
En effet,il est toujours plus facile d’haranguer un marathonien en plein effort que de courir la distance à sa place (C’est du Second degré)!
Deuxièmement :Votre problème c’est que vous voulez élever des piranhas dans le même bocal que celui des poissons rouges…
Fatalement les uns mangerons les autres.(C’est toujours du Second degré)!
Vous voulez nous faire,faire de la politique citoyenne style démocrato-machin;avec un régime dictatorial complètement décalé des réalités.De vos réalités…
Ultimo:Vous voulez vous enfermer dans une neutralité politique avec une variante du « Ni!…Ni! » Mal ficelée…
Ni occident libéral,Ni Communisme Oriental,Ni machin chose.
Osez vous découvrir et défendez votre modèle.Si vous êtes réellement démocrate acceptez que les gens ne pensent pas comme vous,ne réagissent pas comme vous acceptez l’opposition à vos idées en toute sportivité et répondez aux arguments des autres point par point avec du concret!
écrire bien en français ,et avoir une bonne grammaire ne signifie en aucun cas avoir des idées!
Cordialement
Dans la mesure où vous m’interpellez de façon directe, je ne passerais pas mon chemin sans vous donner une réponse. Répondre point par point serait fastidieux et sans intérêt. Je m’en tiendrais à l’analyse logique de cette seule déclaration qui nous révèle un programme bien chargé : « L’objet de ma démarche,ayant suivi vos interventions,depuis un moment sur ce blog, c’était de vous amener à vous impliquer,tout en prenant les visiteurs de ce blog à témoins,au lieu de jouer l’entraineur sur la ligne de touche ».
En clair, vous avez mené un jeu sans annoncer les règles ; vous êtes entré en compétition CONTRE quelqu’un qui l’ignorait. Cela manque de franchise. En plus de ne pas jouer franc jeu, vous employez des formes accusatives, je vous cite : « vous ne répondez à aucunes … ; au lieu de jouer l’entraineur …; Votre problème c’est que … ; Vous voulez vous enfermer… ». Une touche de supériorité : « … vous nous semblez bien fragile mentalement … » (sur le plan de la dialectique) et vous êtes le plus fort ! Sauf que, d’un sujet politique, vous nous avez amené au sujet personnel, faisant de mes incompétences l’objet d’une étude détaillée et hors sujet.
Voici mon analyse : Si vous suivez mes interventions depuis le début, vous ne pouvez ignorer que mon intérêt se porte exclusivement sur la logique du discours. Cela vous a-t-il échappé ou bien avez-vous décidé de passer outre ? Le résultat est que vous vous êtes égaré : votre objet était de m’amener sur votre terrain, celui de la compétition, en recourant à une manipulation inappropriée. Par ailleurs, qui est « nous » dans « vous nous semblez bien fragile … » ? Vous êtes une équipe ou bien vous vous exprimez au nom des lecteurs du blog ?
Reprenant votre référence au marathonien, si vous en étiez un, je vous dirais ceci : ne cherchez pas à gagner contre les autres avant de savoir gagner contre vous-même. Ne cherchez pas à faire mieux que les autres, apprenez à faire aussi bien que vous en êtes capable. Ne cherchez pas la victoire, mesurez vos ressources et sachez en faire bon usage au bon moment.
Si vous êtes un politique, je vous dirais : prenez un congé sabbatique et réfléchissez à ce que vous voulez pour vous-même. Quand vous le saurez, vous saurez aussi qu’il n’est pas bon pour vous de décider pour autrui car cela vous conduit à la tyrannie, dont vous serez la première victime, car la tyrannie ne vous laisse pas de répit.
Enfin, je vous invite à prendre vos distances par rapport à des représentations qui vous facilitent la victoire des mots mais rendent improbables celle de l’esprit. En particulier, les algériens ne sont pas des piranhas ou des poissons rouges les uns pour les autres. Il faut être … dindon (au second degré) pour avoir cette vision des choses car il faudrait encore décider qui sont les piranhas voraces et qui sont les petits poissons rouges en Algérie (toujours au second degré) ?
Au moment où les nations qui se veulent civilisées s’organisent en unions politiques, économiques ou militaires, les Algériens, eux, en seraient encore à se gratter derrière l’oreille à se demander comment intimider l’autre, s’il vaut mieux lancer un caillou, menacer d’une voix rocailleuse, brandir sa canne ou insulter celui qui passe là-bas sur le chemin, selon qu’il porte une chachia, une ârraguia, un chèche ou rien du tout ! D’autant plus que, dans le même temps, vous réclamez des « méthodes », et surtout pas de réflexion !
Pour conclure, je vous invite, lecteurs, à méditer cette citation tirée de « Le crépuscule des idoles », Nietzsche, 1888 (déjà et… ailleurs) : « Nos institutions ne sont plus propres à rien ; là-dessus, tout le monde est d »accord. Toutefois, cela ne tient pas à elles mais à nous. Une fois que se sont perdus chez nous tous les instincts dont elles sont nées, les institutions elles aussi se perdent, parce qu’à notre tour nous ne sommes plus propres à rien pour elles ».
Vous avez donc raison, Slimane : « écrire bien en français ,et avoir une bonne grammaire ne signifie en aucun cas avoir des idées! ».
Cordialement,
Wi YILAN
Tout d’abord acceptez un simple bonjour de ma part !
WI YILAN ,j’ai cru comprendre que l’objet de l’administrateur de ce blog c’est de créer un espace d’échanges entre les intellectuels Algériens (Je ne me revendique pas comme étant l’un) privés de paroles sur les canaux officiels de l’Algérie…Peut-être que je présume!?
De ce fait c’est vous les animateurs de ce blog,qui faites avancer le débat;créez la polémique;faites avancer les choses,faites avancer l’Algérie tout court.
A ce jour,mis a part quelques écarts de temps a autres,la plupart des interventions sont sensées et empreintes de franchise et de bonne volonté…(EL KHIR MAZALOU FE-DZIRIYINE)!
Je vous pries,à ce titre, de croire que personne ne vous juge ni vous épie ni rien de tout celà,vos interventions sont jugées à leurs justes valeurs et apréciées différement!
Voila! le sujet est clos;mais le débat continue!
A bientôt dans d’autre sujets!
Slimane Hammouche, administrateur du blog. C’est bien celà Wi yilan? Première nouvelle. C’est bon à savoir. Arezki
Je reviens après une absence …
Bonjour Slimane, Bonjour Arezki,
Que le débat continue donc.
Mais, une fois encore, pour qu’il continue, il nous faut savoir d’où nous partons, où nous nous trouvons au moment de partir. A cet instant, je ne sais pas pour quelle raison vous me rassurez sur le fait que je ne suis pas jugée ou épiée. En particulier, je ne comprends pas le contenu du message du 25 août de 21h35 : il s’y trouve trois personnes nommées : Slimane, Arezki et wi yilan’ mais je ne sais pas qui parle à qui, et de quoi… Comme à mon habitude, je relève ce qui me pose problème par rapport au sens et réagis en précisant ma position et en signalant les écarts que je constate entre le contenu et les sujets abordés.
Si vous lisez ce message, je précise n’éprouver ni crainte ni soupçons ni ne me sens mise en cause à titre personnel. Comme à mon habitude, je me limite à relever le défaut de cohérence entre le sujet abordé, en général un sujet de réflexion (qui ne s’adresse à personne à titre individuel) et l’usage (courant !) de la forme « accusative » qui, en grammaire et style de langue, consiste à s’adresser à une personne en particulier pour lui dire ce qu’elle est ou n’est pas, ce qu’elle doit faire ou pas, ce qui est bien ou pas bien chez elle – pour elle.
Quand on en arrive là, on n’est plus dans la pratique du « débat » sur un sujet, ce qui m’intéresse personnellement, mais dans la « confrontation » de personnes, de points de vue ; dans le reproche, les conseils, la psychologie, ce qui ne m’intéresse pas.
Au risque de me répéter, ce qui m’intéresse c’est la logique des positions, et cette logique se manifeste dans le langage. C’est cela que je voulais vous dire dans « l’analyse logique » proposée dans mon commentaire précédent. Cette analyse ne portait pas sur votre personne mais exclusivement sur le contenu de la phrase analysée, qui pouvait être émise par n’importe qui d’autre que vous.
J’espère que vous l’entendrez ainsi.
Cordialement,
wi yilan’
Je suisd’origine algérien, je fait un projet sur les violences qui ont été commisent aux années 1990, jai vu des terroristes attaqué mon voisinage. Des enfants et des femmes ont u la gorge coupé. J’ai cherché a savoir qui en était les responsables, seulement je n’est pu avoir de réponse exact. C’ertain disent que c’est le FIS, mais tout autour de moi on s’attend a dire que c’est l’arméebles fouteurs de trouble. Ne voulant pas voir ce parti passé au pouvoir, il ont pris les choses en main. J’aimerais si certains d’entre vous ont des informations qu’ils puissent m’en faire part ce serait apprécié.
Merci d’avance
P.S. prdonné mon ortographe, j’y travail
Merci pour votre témoignage.