Les vérités du Pr Aissa Kadri sur le système scolaire algérien
« L’augmentation ou la baisse du taux de bacheliers n’est pas du tout un indicateur fiable de la bonne santé d’un système d’enseignement », a déclaré le Pr Aïssa Kadri (Sociologue et directeur de l’Institut Maghreb Europe -Université Paris VIII) dans un entretien à El Watan (lire l’intégralité www.elwatan.com). M. Kadri a par ailleurs remis en cause les statistiques avancées par le ministère de l’Education relatives à la réussite scolaire en Algérie. « En Algérie, mes propres calculs montrent qu’à peine un étudiant sur 12 termine sa licence dans les temps impartis », a affirmé M. Kadri et d’ajouter que ce sont chaque année, sur la dernière décennie, plus de 12 000 étudiants qui ne se réinscrivent pas. « Sur un échantillon de 2257 nouveaux inscrits, ajoute le professeur de sociologie, 914 soit 40,5% ont abandonné sans terminer la première année ». M. Kadri souligne qu’au terme de cette première année, ils sont à peine 13% soit 301 à achever leurs études avec succès et 1042 à redoubler au moins une fois, soit 46,16. « Le système d’enseignement algérien manifeste ainsi un rejet de plus en plus massif des élèves scolarisés dans les différents ordres d’enseignement », regrette M. Kadri.
« Dans la dernière décennie, quelque 20% des entrants au cycle primaire sur une cohorte de 1000 élèves inscrits en première année élémentaire abandonnaient l’école. On observe même depuis quelques années un mouvement net de déscolarisation », a indiqué M. Kadri qui a illustré ses propos par des statistiques. Ainsi, a-t-il affirmé, sur la base d’une cohorte de 1000 inscrits en première année élémentaire, ce sont seulement 20,9% des élèves qui arrivent en terminale et seulement 3,1% d’entre eux n’ont pas redoublé au moins une fois dans leur cursus (les taux de redoublement oscillaient dans les dernières années entre 28 et 39% des cohortes selon les ordres d’enseignement). « C’est de manière générale moins de 30% d’une classe d’âge qui accède au bac. Il y a ainsi un peu plus de 500 000 élèves qui sortent du système scolaire sans certification », a conclu le professeur. El Mouhtarem
Commentaires(9)
dans un pays, si les trois secteurs vitaux vont bien,tout marchera ensuite à merveille à savoir : la santé, la justice et l’ecole. et dans cet ordre..s’il vous plait.
d’abord la langue Arabe langue des sciences et de la philosophie est victime de l’arabisation et de l’islamisme . Le système éducatif DZest en echec puisque il ne fait pas dans l’universalité ainsi au lieu defaire beaucoups dansles sciences téchniques ou exacts il faudrait qu’on favoriser comme axe chanière du système éducatif les sciences humaines tels la philosophie ,la psycho,la sociologie ,la mythologie,l’Histoire avec grand H…et toucher au nombre large la pensée de l’Algérien
IL NE FAUT PAS SORTIR DE SAINT CIRE POUR SAVOIR QUE L ARABISATION SUIVIE PAR UNE ISLAMISATION SOUTENU PAR LA DOUBLE TEREUR DU POUVOIR ET DES BAATISTE .plus SURTOUT LA PASSIVITE et la lachete de notre elite culturelle et politique A FAIT QU ON ALGERIE NOUS AVONS LE TAUX LE PLUS ELEVE DE FOU .
l ecole algerienne est une machine ideologique qui a produit des sous citoyens .(haraka et kamykaz ET DES SANS IDENTITES) et les les plus touches sont les pauvres kabyles etla reserve kabyle ( alcool prostition ,delinquance , criminalit rai l apparition du hidjab ).
-L INTRODUCTION DU PRE SCOLAIRE VISE A MIEUX ARABISER LES PETIT KABYLES ALORS QUE LE TAMAZIGHT ESR TOUJOURS NATIONALEMENT COMBATTU.
MES RESPECT MONSIEUR KADRI ? MAIS VOUS ETES A COTE DE LA PLAQUE CE N EST PAS EN 2008 QUE TU VAS NOUS EXPLIQUER LE DESASTRE . SI VRAIMENT VOUS ETIEZ PROFESSEUR VOUS AURIEZ DU LE PREVOIR DEPUIS LONGTEMPS ET LUTTER POUR VOS IDEES.
POUR UNE AUTONOMIE CULTURELLE DE LA KABYLIE RAK
Proposer des solutions a ces problemes epineux; tels que la creation de colleges techniques qui se chargent de la formation de ces jeunes suivant les besoins de l’ industrie locale ou nationale, on parle de sites geologiques de diamant de fer de cobalt de zinc etc..
La seule solution pour l’ Algerie de s’ occuper de sa populace est la realisation de cette populace que sa fonction primordiale est d’ etre au service du peuple, de rendre service a autrui. Comme disait JFK: « Don’t ask what my country can do for me, but ask what I can do for my country ». Traduction: « Ne demandez pas ce que mon pays peut faire pour moi, mais ce que je ferais pour mon pays ». Il faut que l’ elite universitaire s’ associe avec l’ elite entrepreneuriale et commence a creer des richesses qui hebetera ce gouvernement egoiste de hogra. Les Algeriens sont capables de compter sur eux-memes, et sacheront realiser leurs reves. Inchalah bi haouli allah.
je suis complètement d’accord avec les idées du professeur kadri le système d’enseignement Algérien ne fait que produire et reproduire la médiocrété et le féniotisme dans tout les parcours du primère jusqu’aux université
Un esclave et esclavagiste en service commandé par ………….., je vous réseve un article de presse sans votre masque, j’ai recoorigé le travail de la bourrique, votre james bond. batman
qui est ce aissa, un algérien marié à une marocaine, il a eu son poste parcequ’il a dit dans sa thèse que la langue française doit avoir le statut de langue nationale et il est directeur de l’euro méditérrané parce qu’il gravite facilement algiers-french, le sbire du général lamari
sa thèse sur le système éducatif algérien est nul, il est directeur de l’euro méditéranée car c’est le poulain du général lamari, marié à une marocaine il peut graviter entre algiers-paris-maroco
Il est grassouillet le ptit aissa, un vassal au service d’une dictature néocolonialiste. directeur de l’euro_méditerranée parce qu’il sait s’infiltrer pour faire ses rapports, directeur de l’institut maghreb europe pour marchander sur le dos des sans-papiers, qu’a-t-il produit, du vent; et je l’ai croisé à une conférnece, une honte un élève de terminale de chez nous ferait mieux. c’est un khoubziste et un pseudo-intellectuel!