« Donnez-lui un bouquet de fleurs et qu’il quitte la scène » !
Le chanteur oranais, Houari Dauphin, a commis un impair, chèrement payé, lors de la soirée de clôture du festival du raï de Sidi Bel Abbès en se déclarant, sur scène, favorable à un troisième mandat de Bouteflika, a rapporté El Watan. Et pour cause, le public constitué en majorité de jeunes n’a pas du tout apprécié cette intrusion du «politique» dans une manifestation censée être exclusivement artistique. En réponse à rana hanyin maâ abdelaziz (nous vivons en toute quiétude avec Abdelaziz – le président de la République, ndlr), les quelque 25 000 spectateurs ont répondu par des sifflets de réprobation, des jets de briquets de basse gamme et quelques insultes. Sous les huées du public et un mémorable atolou lwerd echawer (donnez-lui un bouquet de fleurs et qu’il quitte la scène), Houari a dû écourter son spectacle, sous le regard médusé de la ministre de la Culture, Khalida Toumi. Comme quoi, le public n’est pas dupe et fait la distinction entre un artiste digne de ce nom et celui qui ne rate pas la moindre opportunité de plaire aux puissants du moment.
C’est plutôt Houari le requin et non le dauphin, pauvre type vous êtes un chiyatte de naissance cela se voit sur votre visage,vous n’êtes qu’un minable chanteur de cabaret osez dire qu’avec Bouteflika nous sommes en paix relève de la psychiatrie malheureusement le professeur Boucebci rahimahou allah a été assassiné par des débiles comme vous donc il n’y a plus rien a faire ou bien si cher requin le suicide fout ez-vous une balle sur votre zellif hakda l’Algérie tathana min ââbad kima n’taya.