La paix ne sera connue en Algérie que lorsque ce système de pouvoir sera changé*
Le peuple algérien continue à payer par le sang de ses enfants la politique suivie par un système de pouvoir inconstitutionnel, illégal et illégitime. Il a inventé des mots pour cacher sa nature. Il a fait adopter sa charte sur la paix et la réconciliation nationale en maintenant toutes les lois, décrets, ordonnances qui régissent l’état de guerre, instaurée par l’état de siège en juin 1991 et en février 1992, toujours en vigueur, c’est-à-dire que l’Algérie est toujours en état de guerre et non en état de paix. En état de guerres, il y a toujours les victimes, les morts. Ce qui se passe confirme cette réalité cachée par le pouvoir. Ce même pouvoir n’ose même décréter un deuil national d’une journée, comme si tous ces morts ne sont pas des Algériens. Ce pouvoir n’a ni culture d’état, ni sentiment national, car décréter le deuil national est une expression qui indique que la nation est en deuil. Malheureusement, le pouvoir n’a rien fait. Il n’est pas en deuil.
La paix ne sera connue en Algérie que lorsque ce système de pouvoir sera changé. Malheureusement, ce système veut se péréniser par un 3ème mandat pour son représentant Bouteflika qui se prend pour un nouveau Dieu en voulant conduire les Algériens au Paradis, c’est-à-dire qu’ils veut les faire tuer, car les portes du Paradis, selon les prescriptions coraniques s’ouvrent sur ordre d’ALLAH après la mort, mais pas avant. Ce que nous vivons est le résultat d’une politique. Malgré les morts, malgré l’échec, aucun homme du système du pouvoir n’a osé présenté sa démission. A chaque catastrophe, la chanson du pouvoir est la même:” le terrorisme a échoué, il a été vaincu, etc.” Qui est responsable de la sécurité des Algériens? Le pouvoir. La réalité suggère que ce pouvoir a échoué sur toute la ligne. Il est temps de le changer par la proposition d’une alternative démocratique et pacifique qui consiste à élire une Assemblée nationale constituante, objectif du FLN historique que l’adjudant des Tabors marocains a fait échoué en 1962 déjà en tuant ses opposants, en marchant sur les cadavres des Algériens pour prendre le pouvoir par les armes des vacanciers du Maroc et de Tunisie, appelée armée des frontières qui n’a mené aucune bataille contre l’armée coloniale. La seule bataille menée a été contre l’ALN dite armée intérieure pour prendre le pouvoir par la force et installer Benbella au pouvoir. Pourquoi ce monsieur se tait? Pourquoi, il ne dit rien. C’est le silence des cimetières, car il est un apotre et un allié de Boutef, comme ne 1962. L’histoire nationale est gelée.Pour la décongeler, il faut une force nationale capable de faire avancer cette même histoire qui libérera le peuple algérien de ses chaines verrouillées depuis 1962.
Par Maamar BOUDERSA
* Le titre est tiré du texte par El Mouhtarem
Commentaires(9)
pour que ce système changera, il faudrait des hommes comme Mr Ait Ahmed ,qui prendrait la tête d’une immense manifestation dans les rue d’alger. Sinon il faut attendre l’an 2O88. Saluations
Messali Hadj et Benbella, agents du colonialisme.
L’Algérie continue à vivre dans la crise née de la reconduction des méthodes colonialistes depuis 1962 à ce jour, car les usurpateurs du pouvoir étaient des agents du colonialisme, en particulier Messali qui a liquidé l’OS avec Benbella en 1950, en inventant un fictif complot berbériste, dont les effets continuent à ce jour, etc..
Pour comprendre ce qui nous arrivent, il faut le chercher dans notre histoire, car elle révèle beaucoup de choses qui aident à expliquer beaucoup d’énigmes. Comme une partie de notre histoire est partagée avec le colonialisme français, ses sources sont d’une importance capitale. En 1977, le général Henri Jacquin a publié un livre aux éditions Olivier Orban sous le titre « la guerre secrète en Algérie », dont Guy Pervillé a fait une synthèse de lecture dans l’annuaire de l’Afrique du Nord de 1978. Henri Jacquin, que tous les vrais moudjahidine connaissent, était opérationnel en Algérie: IL écrivait entre autres que Tewfik El-Madani des OUlémas était un agent du gouvernement général colonial, que Benbella était un informateur de la sécurité militaire de l’armée coloniale, que Ferhat Abbas était un correspondant des RG et que Messali sous le pseudonime de Léon était un précieux informateur de la police française.
Depuis 1977, ni Harbi, ni Houari Addi n’ont fait état de cette publication. Ils ont organisé le silence. Le livre se lisait en cachette en Algérie. IL n’a pas été vendu. Les éditeurs commerçants n’ont pas acheté les droits d’auteurs pour le rendre accessible au public algérien. Tout le monde est complice. Avec ces nouvelles donnes, on comprend mieux pourquoi le congrès de la Soummam a accusé Messali d’agent du colonialisme. On comprend mieux pourquoi Benbella a fait fagociter le GPRA, pourquoi, il a pris le pouvoir par la force, pourquoi, il a tué des Algériens en 1962, en 1963, en 1964. On comprend mieux pourquoi, il a mis son opposition en prison ou en les internant dans les camps du Sud. Benbella a dénoncé l’OS à la police française qui a jugé tous les partisans de l’indépendance qui n’ont pas perdu espoir et gardé leur volonté. Benbella, avec l’aide du colonialisme, a
un jour le systeme prendra ses valises et quittera le pays de libres.rendre a jesus ce qui a jesus les berbers tot au tard seront les p^roprietaire d’une algerie libre et democrate.
l’algerie toujours forte et restera pour toujours
l’algerie retera a tous les Algeriens , ni au berbers ni au chaoui ni au touaregues , c’est a tous les algeriens de tindouf a tebassa et d’alger jusq’au frontiere de niger
premierement aucun systeme ne change sans que les profond lien qui le lie avec le pouvoir ne change et sans que le peuple lui meme ne le décide et ne décide d’agir dans cette direction,
devant nous se porte deux solution au probleme(bien que je n’en vois pas)ou le changement (qui ne peut se faire que par le peuple) ou la continuité (qui devra exigé quelque débat quand meme)
un jour doeuil est e que un partie exige mais un jour de doeuil serait de pronancé dev ant le monde entier la faiblesse de notre pays devant le terrorisme et serait de s’avouer vaincu quand la défaite est intollérable pour notre peuple et pour la prosperité de notre pays par la peur et la terreur que les islamiste symbolise non pas en algerie mais partout ailleurs
et ca serait aussi de donner droit non pas au FIS mais au GSPC ce qui pourrait nous couter cher dans le future mais aussi dans la relance économique que nous devons prévoir avant toute perspective politique
vive l’algerie .vive le systeme du novembre » allah yerham boumedienne.allah yehfad bouteflika »
saadi et un fils de harkis
ait ahmed est un agent de colonialisme
taboo est harkis
nous somme les algeriens des amazighe nous somme pas des berbere »barbare » .
desuus ait ahmed laisse nous vivre comme
BISMI ELLEH BISMI CHOUHADA ABRAR bina bla bina tahiaEL DJAZAIR el quds ryoun kaboul bagdad lah akbar lah yarham echouhada…samir douera perugia ect…
BISMI ELLEH BISMI CHOUHADA ABRAR bina bla bina tahiaEL DJAZAIR el quds ryoun kaboul bagdad lah akbar lah yarham echouhada…samir douera perugia ect…essalem yasmina el khadra…