Conseil des ministres: « La harga est un crime »
La criminalisation du phénomène des harraga avait été examinée et adoptée en juillet dernier à l’occasion du dernier conseil du gouvernement présidé par Ahmed Ouyahia. Dimanche, en conseil des ministres, le président Bouteflika a inscrit ce phénomène à l’ordre du jour du Conseil des ministres. «Il s’agit de l’incrimination de la sortie illégale du territoire national», est-il dit en substance dans le communiqué du conseil rendu public avant-hier. Le phénomène des harraga serait ainsi «passible d’une peine pouvant aller jusqu’à six mois d’emprisonnement». El Mouhtarem
Commentaires(11)
Bonsoir !
Il va de soi le respéct de la réglementation, des législations et des lois de toutes les républiques dignes de ce nom à travers le monde.
Mais ce phénomène grandissant d’où vient-il et comment se fait-il ?
Le démantellement de certaines infrastructures publiques en matière de formation proféssionnelle, de poursuite des études téchniques et scientifiques de certains stagiaires livrés à eux mêmes après avoir obtenu par exemple le diplôme de téchnicien sur fond de manque de prise en charge en matière d’offre d’emploi
stable et d’avenir, le taux de chômage élevé, un dinar algérien à la valeur réduite par rapport à l’euro alors que cette unité de mesure doit tenir compte de la valeur marchande du coût du baril de pétrôle assez conséquent tout en défalquant le montant de la dette et les gaspillages profitables aux uns et dommageables, en vue d’une assumance responsable des intérêts moraux et matériels de beaucoup d’algériens laissés pour compte. Les injustices sociales doivent absolument s’arrêter et les recommandations du conseil économique et social prises en considération.
Bientôt, l’air que tu respirera, sera lui aussi criminalisé!
un harrag est une personne très courageuse ( je dirais même trop courageuse ). la seule solution possible, utile et obligatoire même, est que l’état algérien doit canaliser, absorber et acheter ce courage fulgurant pour bâtir l’Algérie avec les bras de ses fils on les intégrant dans le système. si le système algérien est incapable d’intégrer le courage de ces jeunes dans ses rouages alors il n a qu’a se taire parce qu’il manque de courage et de plan de sortie de crise. Nos parents ont eu le courage de prendre la voie de la montagne pour affronter l’occupant. nous, nous avons choisi la traversée du désert. nos enfants ont choisi la voie de la mer pour ne pas affronter leurs parents et grands parents( tous ne l’ont pas fait).après la montagne, le désert et la mer quelle voie reste-elle pour nos petits fils et nos arrières petit fils. peut être la voie du ciel.الله يسلكنا مع السالكين.
Bonjour !
Oui, t’as raison de le dire comme ça.
Bientôt nous paireons des des droits d’entrées contre remise de tickets pour la traversée et celle de l’arrangement de nos souliers dans les cités, telle que celle de Mohamed Khémisti de BBA. Et nul n’aura le droit de dire : » bââ ! »
Quel rôle joue l’opposition dans tout ça ?
le prix nobel des haragas doit etre decerné aux fameux trio BouTeuf/Belkhradem/ouya-hiya ….
n’est-ce pas grace á eux que le peuple algerien de 6 á 66 ans prefere la mere que la terre oú ils resident ces energumenes.
Le monde entier les osculte d’un OEIL des haragas.
Le baril depasse les 140 dollars us et leur loi de finance est basé sur 30 dollars us …. c’est clair et net vol-et-viol du peuple algerien et les consequences >>>> algerie est malade avec surtout ses boat-peoples made by BouTeuf/BelkhraDem et ouya-hiya
Ah les pauvres miserables energumenes de la planete !
Bonjour !
Continuez à lire la phrase du texte ci-dessus écrit par moi et devant se terminer par » dommageables aux autres »…..(les faibles gens bien sûr).
Avant tout il faut aller aux origines et à la pholosophie de la chose, tout les etres humains naissent libres, libres d’entreprendre tout ce qu’ils veulent dans la limite de la liberté des autres, de ce fait l’etre humain est libre de se déplacer là ou bon lui semble, c’est à l’autre (le pays de destination) qui a le droit de lui refuser l’accès, entre les deux situation c’est le droit international qui prévaut et à ma connaissance n’interdit pas le déplacement, au point de départ c’est la liberté de l’etre qui doit primer, sauf alliénation de cette liberté sous couvert d’un droit fallacieux.
Bonsoir et saha ramdhane nouène !
Remonter la filière pour mieux comprendre la chose consiste à réfléchir sans fléchir ou nuire, ni détruire da laarvi ou dal Bachir à partir de cette crise financière mondialisante désireuse de faire disparaître les Etats en tant que personnes morales à tel point d’installer des équipes joueuses sans arbitrage neutre et indépendant en tant que personnes physiques celui-là. Le grignotement des teres agricoles depuis belle lurette sans mise en valeur d’autres est un peu de ce-ci souci pouvant expliquer cela. L’intérêt général ne peut se faire personnifier lorsqu’il s’agit de défendre la ligne éditoriale d’ un cadre organique donné. Analyser c’est aussi essayer de peser le pour et le contre de façon à permettre d’arriver à un résultat pouvant causer moins de dégats. Il reste ouvert un tel débat, ce n’est plus une question de haut ou de bas.
na3l dinkoum .laknekm rajdala.winh rahom les mostaches
el haraga kelahem houte !.ces parents qui pleurent l’absence de leurs enfants qui vivent dans un tourment ou se trouve leurs enfants en vie ou ils sont morts.si nos jeunes part d’ici et de cette manière c’est qu’il y a rien de minuscule qui peux les retenir au paye.ces des martyres diplômes(redjala) qui ne trouvent pas de travaille les postes qui luttent pour les avoir.merde pour les concour!!!! da3ou welad jazair?
MR,ministre laisse ses jeunes traverse la mère parce que y a rien chez nous . c tu vivre une vie adorable notre vie est une chienne .personnes ne mort vierge parce que la vie nous oncule tous les jours
vive l’algerie jusqu’a la fin du monde wiiiiiii