Détention provisoire: Les juges en abusent

faroukksentini6523.jpgSelon le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme, il y a un abus dans le recours à la détention provisoire. Un abus qui est en contradiction avec la loi en vigueur en Algérie. Selon lui, il s’agit d’un problème culturel, certains juges d’instruction n’étant pas encore arrivés à se défaire des mentalités héritées d’une époque révolue.
Me Ksentini suggère le remplacement de la détention provisoire par le contrôle judiciaire.
Il a expliqué cette situation par le fait que nos magistrats ont toujours cette culture traditionnelle où ils se donnent le droit de maintenir la personne en détention, pensant à tort que la loi l’y autorise.

Commentaires

  1. mohand dit :

    Enfin un bonne idée , il était temps Monsieur!
    Quant aux juges inutiles d’en parler, rabi yastar , quand vous tombez entre leurs griffes la plupart se prennent pour le tout puissant,surtout ne soyez pas fier, le levez pas la tête. Quand au respect de la loi, allons ne plaisantons pas, nous n’avons pas de tradition en la matière cela est la conséquence de notre histoire de dominé , d’abord par les colons puis par les nouveaux colons autochtones ..

  2. justice&verité dit :

    la (IN)justice en algerie … la rigolade!
    Ksentini l’avocat des generaux …. hahaha!

    il est temps de leur feter un 5 octobre 1988-2008 digne de son nom un chahut national pourquoi pas un autre 1er novembre 1954.

    05 octobre 2008 : Et si on leur faisait un vrai chahut de gamins?

    Vingt ans ans déjà.
    Cela fera 20 ans, dans quelques jours, que les jeunes algériens de tout le pays se sont soulevés, dans un élan mémorable.
    On a dit beaucoup de choses sur les dessous de cette explosion de colère. Nous savons qu’à l’origine, c’étaient les barons du régime eux-mêmes, effrayés par les ouvertures démocratiques initiées par le président Chadli, qui ont voulu lui faire peur en poussant les jeunes dans la rue. Dans des émeutes qu’ils croyaient pouvoir contrôler à leur guise.
    Mais, tel un typhon en furie, la colère des jeunes algériens ne connut plus de limites. Elle déborda le régime, sa police, son UGTA, son FLN et tous ses zeffefines.
    Les premiers à avoir été attaqués et dévastés, étaient les sièges du FLN, ce parti honni par toute la population, cette association de privilégiés et de profiteurs qui fliquait la population, et dont les barons se pavanaient comme des dindons au sein d’une société qui manquait de tout.
    A partir du troisième jour de révolte, le régime commença à vaciller. Des rumeurs sur une prochaine révolte des militaires de base, contre leurs officiers, commencèrent à se répandre. Ce fut la panique au sein du régime.
    Les apparatchiks,si arrogants et tellement méprisants, se terraient comme des rats. Les avions d’Air Algérie Lire la suite …
    http://www.lequotidienalgerie.com/
    Au bon entendeur

  3. nabil dit :

    non seulement ,ils abusent mais la plus part d’entre eux n’ont aucun niveau pour pouvoir traiter correctement et impartialement les affaires judiciaires et devant la passivite et l’absence de controle de la tutelle tous les abus sont permis.

Laisser un commentaire

FRONT NATIONAL - Bouches-du... |
Mouvement des Jeunes Social... |
15ème circonscription du No... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sagvar, le Roman Noir de la...
| Sarkophage
| UES - Claude WEBER