10 septembre, 2008
Classement de l’Algérie par thème sur 181 économies
La 141e position pour la création d’entreprises (131e en 2007); la 112e position pour l’octroi de licences (117e en 2007); la 118e pour l’embauche des travailleurs; la 162e pour le transfert de propriété; la 131e pour l’obtention des prêts; la 70e pour la protection des investisseurs; la 166e pour le paiement des impôts; la 118e pour le commerce transfrontalier; la 126e pour l’exécution des contrats; la 49e position en ce qui concerne la fermeture d’entreprises.
14 procédures et 24 jours sont nécessaires pour qu’une société à responsabilité limitée puisse légalement commencer son activité, un véritable parcours de combattant. Pour la construction d’un entrepôt, incluant l’obtention des licences et permis nécessaires, l’accomplissement des notifications et inspections requises et l’obtention des raccordements (eau, téléphone, électricité), 22 procédures sont requises et cela peut durer 240 jours. Pour qu’une entreprise enregistre son titre de propriété, 14 formalités et 51 jours sont nécessaires. Concernant les impôts, le nombre de paiements que l’entreprise algérienne doit régler chaque année est évalué à 34. Le taux d’imposition totale est estimé à 74,2% du bénéfice. Les coûts et procédures nécessaires pour l’import et l’export d’un chargement standard sont plus lourds en Algérie.
Commentaires(7)
L’Algérie est classée à la 132e position, sur un échantillon de 181 économies selon Doing Business 2009— la sixième édition d’une série de rapports annuels publiés par la Société financière internationale et la Banque mondiale. L’Algérie, qui recule de sept points par rapport à 2007 est devancée par le Maroc qui se situe au 128e rang et la Tunisie placée à la 73e position.
Le premier secétaire du FFS, Karim Tabbou, a affirmé au quotidien El Khabar que l’action du groupe de Ali Rachedi Abdeslam s’inscrit dans le registre des tentatives du pouvoir de destabliser le parti et de détourner sa direction des prochaines échéances. Karim Tabbou a déclaré que ces peuso-fondateurs du FFS n’ont aucun lien organique avec le parti. »Ali Rachedi Abdeslam est en dissidence depuis 1999. Depuis, il a crée deux partis politiques (El Badil et ESsabil) et adopté des positions contraires à celles adoptées par le FFS. Faut-il rappeler sa candidature à l’élection présidentielle de 2004 que le FFS a boycottée ? », a ajouté Tabbou. ,
Depuis l’arrestation du diplomate algérien, Mohamed Ziane Hasseni, à Marseille, l’ancien officier de la SM, Hicham Aboud, est interviewé trois fois par le journal Ennahar de Anis Rahmani. Alors que son site internet n’est pas mis à jour depuis quelques semaines, en raison de son hospitalisation, Hicham Aboud a, une première fois, affirmé à Ennahar, sans même voir une photo, que Mohamed Ziane Hasseni n’est pas le commandaidtaire de l’assassinat de Ali Mecili.
Par :
Suite à la publication dans le blog d’un article sur la librairie de Amara Benyounes sise au boulevard Bougarra à EL Biar, nous avons reçu ces précisions du Directeur de La Dépêche de Kabylie. 




