Saad Lounes: « Hasni qu’on voit sur la photo est le capitaine du DRS… »
Certains vont dire encore de quoi se mêle-t-il celui-là.
Mais vu l’ampleur d’une littérature complètement inutile sur cette affaire HASNI où beaucoup s’usent les neurones pour rien, je me dois d’intercéder.
1/ Le colonel Samraoui n’est pas un plaisantin que des anonymes, des lécheurs de bottes, des agents du DRS cachés sous plusieurs pseudos peuvent contredire.
2/ HASNI (qu’importe ses prénoms et ses noms de guerre) qu’on voit sur la photo est bien le capitaine du DRS. Je le reconnais pour une raison très simple. J’ai connu son frère (très bavard), en tant que collègue de travail, qui était directeur du petit port de Dellys qui dépendait du Port d’Alger lorsque j’y étais DAG.
3/ HASNI n’a jamais été un diplomate, mais un officier du DRS chargé de missions de sécurité, sous couverture diplomatique, que ce soit au protocole de la présidence où aux AE, aux consulats, etc…
4/ HASNI a eu une promotion fulgurante… après 1987.
Je l’ai rencontré une seule fois en 1989, au moment où il préparait la visite de Mitterand.
Pour l’anecdote, il m’avait rendu une visite très décidée dans mon bureau pour récupérer une belle et volumineuse bibliothèque touaregue, destinée à décorer une tente à Zeralda, que venait de me livrer par erreur un fournisseur complètement affolé. Comme je l’avais déjà payé, j’ai refusé de la lui donner. HASNI est reparti avec calme, sourire et courtoisie mais sans la bibliothèque.
5/ HASNI est un OULIDFAMILIA sympathique, affable et serviable. Il n’était qu’un jeune officier qui a exécuté des ordres qu’on lui a donné… parmi d’autres. Un point c’est tout. Il repartira bientôt chez lui.
Son arrestation et tout le théâtre qui l’entoure ressemble à un nonos jeté en pâture pour faire pression sur des clans et diversion dans la presse et internet.
6/ L’affaire Mecili est une affaire de la françalgérie. Les services français sont autant impliqués que les services algériens. Ce n’était ni le premier assassinat politique et ce n’était pas le dernier. Et ce n’est pas le pauvre Hasni qui va endosser sur ses épaules tout ce pan volumineux de notre Histoire non écrite.
Alors laissez-le tranquille. Les vrais commanditaires sont ailleurs.
J’ajoute à ce texte le témoignage très autorisé de Jean Audibert (ex-ambassadeur français en Algérie 1988-1989):
«Enfin, comment ne pas parler de l’affaire Mécili qui a montré que certaines connivences existaient entre les services français et la sécurité militaire algérienne.» Pour Audibert, la complexité des rapports entre la France et l’Algérie vient de ce qu’on ne distingue pas assez clairement «les relations, les rapports d’État à État d’un côté et de peuple à peuple de l’autre». Mais ce clivage établi, on n’est pas au bout de nos peines car il faut encore distinguer ce qui relève de l’avouable, dont Audibert incarne le visage le plus noble, et le visage hideux de la diplomatie parallèle, où barbouzes côtoient groupes d’intérêts économiques prédateurs.
A lire sur ce lien:
http://billetsdafrique.survie.org/Jamais-je-n-ai-cesse-d-apprendre-l.html
Il a rencontré une seule fois Hasni et il affirme qu’il est oulid familya et serviable. Pourtant, il affirme que c’est un exécutant. C’est à lui donc de dire qui étaient les commanaditaires? Qui lui a donné l’ordre? N’est-ce pas M. Saad?
A Saad Lounès ,
Vous voyez le DRS partout ce qui vous rend suspect vous même , vous connaissez un fonctionnaire par hasard et prétendez connaitre l’Etat algérien , vous connaissez les ports et la 1 ère rotative privée d2Algéerie ( sic ) .On est en plein dans le délire !!!! Allah Yastor
tout à fait d’accord avec Anys. c’est contradiction sur contradiction. M.Saad Lounes affirma qu’il le reconnaît parcequ’il connaît son frère qui travaillait avec lui au port et qui était très bavard, sous entendu qu’il lui avait dit qu’il émargeait aux services. on innove maintenant on connaît des gens par oui dire fraternel. après il nous it c’est un ould familia, affable,sympathique et serviable. conclusion très juste de Mourad, il le connaît donc très bien. enfin, et au delà de la tente anecdotique, il ressort clairement que si »Hasni », alors que le diplomate se nomme Hasseni, selon l’avocat,état civil à la main, était réellement de la DRS eh bien la bibliothèque touarègue il l’aurait emportée, vu le pouvoir des services et surtout qu’il y a eu erreur du fournisseur. trêve de plaisanterie, il y a un homme qui est victime d’une machination et en plus il y a une victime en attente de justice.
bravo saad. fais attention, déjà on t’accuse avant de … preuve à l’appui!!!
c’est un tres bon carecature ca exprime la rialite sociaux politique algerienne merci et je bonne continuete
Assalam aliekoum
Celui qui avait assassiné Maître Meceli est connu, ceux qui l’ont mandatés sont connus (Dieu voit et sait tout, ou pouvons-nous se cacher à son regard?ou?ou? Dites-nous ou?). Sa famille souffre et souhaite que justice soit faite. Un homme est arrêté, il sera jugé, si il est coupable, il sera condamné, si il est innocent, il sera liberé. Maître Meceli a été, injustement assassiné, il aurait pu aider le pays, a devenir une nation juste, tolerante et vraiment indépendante. Cette nation qui aurait pu éviter plus de 250000 milles morts, des milliers de disparus, de drogués, des centaines de suicides, des millions dollars de pertes, de dégats, des millier; de veuves, de souffrances, de rancoeurs… Cette nation qui aurait créer un climat de confiance, de fraternité et de solidarité entre tous les Algériens. Cette nation qui luttera contre la pauvreté, l’illetrisme, l’ignorance et le mal sous toutes ses formes. Cette nation dans laquelle la liberté rimera avec justice et respect les uns des autres. Cette nation ou un frère ne tuera jamais son frère… Meditez ce poème de Baudelaire
Race d’Abel est l’équivalent des tyrans insensibles, orgueilleux et criminel d’un pouvoir inhumain et la race de caïn sont l’équivalent d’un peuple totalement mèprisé, brimé et divisé:
Race d’Abel, dors, bois et mange
Dieu te sourit complaisamment
Race de caïn, dans la fange
Rampe et meurs misérablement
Race d’Abel, ton sacrifice
Flatte le nez du Séraphin!
Race de caïn, ton supplice
Aura-t-il jamais UNE FIN ?
Race d’Abel, vois tes semailles
Et ton bétail venir à bien;
Race de caïn, tes entrailles
Hurlent la faim comme un vieux chien
Race d’Abel, chauffe ton ventre
 ton foyer patriarcal;
Race de caïn, dans ton antre
Tremble de froid, pauvre chacal!
Race d’Abel, aime et pullule !
Ton or fait aussi des petits.
Race de caïn, coeur qui brûle,
Prends garde à ces grands appétits.
Race d’Abel, tu croîs et broutes
Comme les punaises des bois !
Race de caïn, sur les routes
Traîne ta famille aux abois
Ah! race d’Abel, ta charogne
Engaissera le sol fumant!
Race de caïn, ta besogne
N’est pas faite suffisamment ;
Race d’Abel, voici ta honte
Le fer est vaicu par l’èpieu!
Race de caïn, au ciel monte,
Et sur la terre jette Dieu! essetheghfir Allah
Sahaftourkoum
CA VEUT DIRE QUOI CA LAISSEZ LE TRANQUILLE! pour peu vous nous diriez que c’est lui la victime.Il n’est peut etre pas seul mais il demeure un assassin.ya si SAAD BERKA MATKHELAT.
BRAVO mr Saad Lounes, e ecrit:
5/ HASNI est un OULIDFAMILIA sympathique, affable et serviable. Il n’était qu’un jeune officier qui a exécuté des ordres qu’on lui a donné… parmi d’autres. Un point c’est tout. Il repartira bientôt chez lui.
Son arrestation et tout le théâtre qui l’entoure ressemble à un nonos jeté en pâture pour faire pression sur des clans et diversion dans la presse et internet.
VOILA UN CRIME DE PLUS CONTRE
-LE MOUJAHID,
-L’AVOCAT DES PAUVRES ET
-L’OPPOSANT AU REGIME SANGUINAIRE ET SURTOUT
-CONTRE Mme ANNI Mecili et ses enfants
c’est vraiment malhonnete de justifier un assassinat, c’est meme terrible et plus criminel…
Y’a-t-il vraiment des assassins/commanditaires fils de famille?
Au bon entendeur.
Allez, Monsieur Saad Lounes, dites nous tout ce que vous savez. Vous avez l’air d’être plus informé que ce que vous avez révélé. Le 5 octobre est pour bientôt. Etes vous moins courageux que le colonel Samraoui ? Peut être avez vous des choses à vous faire pardonner ? Peut être faites vous partie d’un clan du régime qui a des comptes à régler différent de celui de l’ex ambassadeur. Allez Saad dites nous tout, qui êtes vous ?
Ne fais pas attention, Saad, si les gens ne mesure pas à sa juste valeur ta contibution à l’éclatement de la vérité. Toi même, et on le comprend bien, tu relativises ton témoignage : « oulidfamiliya ».
Ton propos est cependant exceptionnel : vous étes maintenant deux à reconnaitre un maillon de la chaine. Es-tu suffisamment à l’abri ?
Pourquoi trop chahuter?
le pouvoir sanguinaire a mis tous les moyens necessaires pour sauver un presumé assassin/commanditaire du feu Mecili dont sa femme et ses enfants attendent depuis plus de 20 ans la justice de leur pays.
Au lieu d’aider la justice francaise et la famille Mecili d’avoir justice, le pouvoir assassin qui cache et l’assassin et les commanditaires dans son territoire veut enterrer la verité.
Pourquoi tant d’avocats alors?
1. Maître Khaled Lasbeur constitué par le consulat d’Algérie à Paris pour défendre le diplomate algérien,
2. Jean-Louis Pelletier, désigné par le mis en examen, certainement sur la demande du ministère des Affaires étrangères qui a, en effet, décidé de renforcer la défense de l’intéressé.
Pourquoi ne pas aider la justice et confronter ce Hassani au colonel Samraoui?
Qui a peur de la verité?
Uniquement les commanditaires et les assassins.
Des videos-temoignages
http://www.youtube.com/watch?v=6uwKDCkHMuo&feature=related
ALI MECILI A LA CONFERECE DES CADRES DU MDA: « ON NE REUSSIRA PAS A NOUS DIVISER. » Le 22 mars 1987, soit quinze jours avant son assassinat, Ali Mécili s’exprimait devant une assemblée de cadres du MDA. Nous publions ci-après l’intégralité de cette intervention, totalement improvisée qui apporte un éclairage édifiant sur les raisons probable du meurtre du dirigeant du FFS . « Assalem Alikoum » Je ne peux que vous dire mon émotion d’être aujourd’hui parmi vous car je suis en famille. En famille parce que partout où je tourne la tète je retrouve des visages que j’ai connus ces derniers temps dans des circonstances difficiles. Je revois Mohamed, je revois Tahar,je revois mon ami Bardaoui qui est ici et je suis heureux de les voir là aujourd’hui libres et d’être parmi nous tous pour pouvoir vous saluer d’abord, et vous apporter le salut de tous les militants du front des forces socialistes ensuite, et le salut de Hocine Ait Ahmed qui regrette de ne pouvoir venir aujourd’hui parmi vous pour des raisons que vous comprenez aisément. S’UNIR DANS LA DIVERSITE Ce n’est pas un salut de pure forme, je crois que nous avons commencé depuis déjà longtemps un combat en commun. En dehors des gens que je connais ici du fait des péripéties que l’on a vécues à propos de leur tentative d’expulsion du territoire français; il y a aussi des gens avec lesquels j’ai combattu, que ce soit pendant la guerre de libération nationale ou après, il y a mon ami hamou qui est là et avec qui, depuis 1962, nous avons également mené un combat dans l’opposition, pour la démocratie. Il y a donc de multiples liens. Je voudrais saluer aussi notre frére Mamchaoui qui est ici et qui représente pour nous beaucoup, non pas en tant que symbole simplement d’un passé que nous avons tous en nous et sans lequel nous ne sommes rien, étant entendu que l’histoire de la nation algérienne, personne ne pourra la falsifier indéfiniment par des opérations de police, puisque l’on s’est aperçu que maintenant la seule écriture de l’histoire était une écriture officielle et pour reprendre un mot de Ait Ahmed: « On a considéré que la police et le parti avaient fait une véritable descente sur l’histoire puisque eux seuls étaient maintenant autorisés à dire l’histoire de notre pays. » Donc, la présence ici du représentant du PPA est pour moi plus qu’un symbole puisque nous nous tournons maintenant vers l’avenir et qu’il y a lieu d’associer pour cet avenir, toutes les forces politiques du pays, sans aucun exclusive. Lorsque nous disons cela c’est parce que nous croyons également à un principe qui doit guider totalement notre action. Il n’est pas question pour nous de se fondre dans un seul parti ni de parler déjà de front uni. Nous disons que la pluralité d’aujourd’hui est la garantie de la pluralité de demain. C’est-à-dire que c’est aujourd’hui, dans le respect de l’indépendance et de l’autonomie de chaque pari politique, de chaque mouvement, c’est que nous créons les conditions de la démocratie de demain, c’est dans la mesure où nous pouvons prouver au monde, et avant tout au peuple algérien, que nous sommes capable de nous accepter avec nos mutuelles différences et que nous sommes capables de débattre librement de nos divergences, et Dieu sait qu’il doit y avoir des divergences y compris au sein même de nos propres mouvements. C’est dans cette mesure seulement que nous deviendrons crédibles pour dire aux gens que demain en Algerie il y aura une véritable démocratie avec le pluralisme politique véritablement respecté. C’est donc une condition essentielle de notre combat. Il faut que nous continuions chacun de notre coté à poursuivre notre action avec nos propres programmes politiques, nos propres idéologie, tout en ayant un même et seul objectif qui est l’instauration dans notre pays d’un authentique régime démocratique. Toutefois, je dois dire que le chemin est encore long qu’il passera par différentes étapes et que, l’une de ces étapes a été marquée en décembre 1985 par la proclamation de Londres à laquelle nous avons adhéré. Cette proclamation de Londres n’est rien d’ autre qu’un appel pathétique à la démocratisation des institutions en Algérie. Cela veut dire tout simplement que nous disons qu’il n’y a pas d’autre alternative que l’alternative démocratique, que seule l’action conjuguée des mouvements politiques et des masses algeriennes pourra pousser les pouvoirs en place soit à se transformer, et ce serait la meilleure des solutions bien que nous n’y croyions guère, soit à laisser la place finalement à la parle populaire, à la possibilité pour le peuple algérien d’élire librement ses représentants à une assemblée nationale constituante qui elle seule à le droit, qui elle seule pourra définir en toute liberté et dans le pluralisme politique retrouvé, les voies et moyens d’édifier dans notre pays une authentique démocratie décentralisatrice. DES PRINCIPES POUR LA DEMOCRATIE Et pour cela dans la proclamation de Londres nous avons énoncé un certains nombre de principes sans lesquels il n’y a pas de démocratie. Quels sont ces principes? Ils sont très simples pour des gens qui ont vécu dans des démocratie, mais ils demeurent, dans un pays comme l’Algérie, et qui semblent être, pour le pouvoir en place, des principes de guerre, des principes révolutionnaires. En fait, de quoi s’agit-il? Il s’agit tout simplement du respect des droits de l’homme, du respect de ces droits qui font que chaque citoyen responsable, à savoir: la liberté d’expression, la liberté d’aller et venir, le liberté d’association, la liberté de créer des partis politiques, la liberté syndicale, le droit de sûreté, c’est-à-dire le droit qui fait que ce soir vous êtes sûrs de vous coucher chez vous et de vous y réveiller, et non pas en ayant la crainte que le matin, ou même avant puisqu’en Algerie on ne respecte pas le droit, vous soyez emmenés pour une destination inconnue et séquestrés pendant des mois et des mois sans avoir droit à aucun procès. Il y a donc lieu d’établir d’abord les supports physiques indispensables qui font que l’homme peut véritablement jouir de sa liberté et s’épanouir pour pouvoir participer effectivement à la construction du pays. Il y a également, en dehors des liberté que l’on appelle formelles, toutes les libertés qui sont du domaine économique et social. Aujourd’hui plus que jamais se posent pour les Algeriens les problèmes vitaux; problème pour chaque ménagère d’assurer la possibilité de nourrir sa famille. Il y a les problèmes inhérents aux logements, à tous les droits sociaux relatifs à la vie dans la cité. Tous ces droits là sont aussi important que les droits civils et politiques et nous affirmons qu’ils sont absolument inséparables. Par ailleurs, il y a l’aspect des libertés publiques: à savoir que dans un pays démocratique, il faut voir la possibilité de pouvoir former des partis politiques, il faut avoir la possibilité pour les syndicats de s’organiser librement, et non pas, comme c’est le cas pour l’instant de l’UGTA, sous la coupe du parti unique; la possibilité pour toutes les associations de pouvoir fleurir, alors qu’aujourd’hui les dirigeants de l’association (pour la mémoire de martyrs de la révolution) sont en prison, souvent dans les lieux-memes que leurs pères ont connus au temps du colonialisme. Voila tout simplement ce que nous avons affirmé à Londres. Nous n’avons pas fait une déclaration de guerre. Au contraire, nous avons affirmé que nous voulions pour notre pays la paix civile dans un climat démocratique. UN DEBAT ET UNE ACTION COMMUNE Eh bien malgré cela, on a considéré de l’autre coté qu’il s’agissait véritablement d’une déclaration de guerre puisque, une fois de plus, n a répondu, d’ailleurs en donnant une importance qu’on n’espérait pas aussi grande dans la presse officielle, on a répondu par l’injure, par l’anathème et un certain nombre d’insultes qui ont été proférées, notamment dans certains éditoriaux, contre les deux chefs historiques de la révolution. Et puis cet appel s’adressait également à d’autres. Il ne s’agissait pas du tout de faire l’union uniquement de deux personnes ou de deux partis politiques, non , il s’agissait au contraire d’ouvrir bien grand les portes du débat démocratique et de demander à toutes les personnalités politiques, à toutes les organisations politiques, sur la base d’un texte qui est très large, de venir pour pouvoir justement engager une action commune pour l’instauration de la démocratie dans notre pays. Il y a eu, au niveau populaire et au niveau d’ un certain nombre de personnalité, des réactions positives par rapport à cette proclamation de Londres, mais, de notre coté, nous n’avons pas attendu que des personnalités politiques, que des mouvements politiques se manifestent, nous avons menés, dés le lendemain de la proclamation de Londres, un certain nombre d’actions communes et nous avons participé à des meetings que nous avons organisés en commun. Je me suis moi-même déplacé à plusieurs reprises à Alicante, à Madrid pour informer l’opinion publique internationale des problèmes posés par la dictature en Algérie. Nous avons entrepris ensemble tout un travail de conscientisation, un travail d’information que nous menons en commun. Nous avons également, d’une façon trés concrète, créer un organe d’information qui s’appelle Libre Algérie, que vous avez vous-meme distribuée et qui essaye de poser , dans un cadre plus large, le problème de la démocratie en Algérie en donnant la parole d’une façon très libre à tous ceux qui veulent la prendre. Je crois que l’existence même de ce journal, malgré toutes les difficultés qui entourent à chaque fois sa parution, parce qu’il est difficile malheureusement dans un climat total de démission, il faut bien le dire, au niveau de notre société et notamment au niveau de nos intellectuels qui une fois de plus ne répondent pas aux obligation qui devraient être les leurs dans une situation aussi catastrophique que celle que vit l’Algerie, et bien dans ce climat de démission nous faisons ce que nous pouvons pour assurer tout de même la périodicité de cette parution et je crois que cette parution a été très très bien accueillie dans tous les milieux de l’immigration et y compris au pays quand nous avons réussi à la faire passer. Ce sont des exemples donc de combats communs que nous menons ensemble, sans qu’aucun problème d’ailleurs n’ait pu naître entre nous depuis la proclamation de Londres. Saha shourkoum, la suite pour plus tard a +
J’ai eu la chance d’avoir l’enregistrement vidéo de cette intervention que je garde avec soins et vous ne pouvez pas savoir l’engouement qu’a suscité notre frère Ali Mecili auprès des jeunes militants du centre et ceux de l’oranaie .
Merci » Moulchache » et saha ftourek .