Hamida Ayachi: ange ou démon ?
Salut à toi Charles,
Au départ, je pense, il y avait un simple malentendu, entre, d’une part Nacéra Belloula et son directeur de rédaction, d’autre part. La chose, à la suite d’un énervement compréhensible du au stress (on travaillait sur un 32 pp, avec un dossier quotidien et une équipe réduite, une seule ligne téléphonique, une seule voiture, etc.)…il était question d’un article paru qui traitait de Taslima Nesreen. Le directeur de rédaction a reproché, devant témoins, à Nacéra Belloula cet article, au motif que le sujet traité était rabaché. Une prise de bec s’en est suivie, et Nacéra a dit qu’elle allait partir. Le directeur de rédacrtion l’a poursuivie dans le couloir en lui disant qu’elle pouvait même ne plus revenir.
En ce qui me concerne personnellement, j’ai toujours eu de relations courtoises avec ce directeur de rédaction. Mon licenciement est du au fait que j’ai autorisé Nacéra Belloula à m’inscrire dans sa pétition. C’est en l’absence du directeur ou manager général Hmida Ayachi, que j’ai été remercié sous prétexte que j’avais porté préjudice au prestige du journal. Je n’ai pas reçu le moindre message de la part de Hmida Ayachi qui m’avait pourtant parlé de son journal en décembre 2003, parmi les premiers et qui a exigé que je signe de mon nom de plume tous les papiers écrits (qui n’ont pas tous été publiés), en exigeant aussi que je travaille tous les jours au journal, ce qui m’a contraint à passer entre 5 et 6 heures par jour dans les transports, puisque je vis à Dellys. Il m’avait promis un pied à terre que je n’ai pas obtenu après quatre mois de présence effective. Passe encore que, invité par le Marathon des Mots de Toulouse, pris en charge par la manifestation (hébergement et repas) alors que le transport était payé par le CC Algérien de Paris, la direction d’Algérie News reproduise mes envois (disponibles sur Dzlit) en tant qu’envoyé spécial, mais qu’on empêche même les gens de manifester leur solidartité est un comble pour une presse privée, dite libre!
De toutes les manières je ne pense pas, même si on me le demandait instamment, reprendre le boulot dans ce journal, m’estimant, à juste titre méprisé. La chose ne serait pas advenue si je m’é&tais montré plus
circonspect, ou un peu moins…modeste.
Ce qui blesse par dessus tyout c’est le silence radio de ceux qui sont restés au journal.
Amicalement, et encore merci pour le soutien de tous.
Habib Ayyoub, écrivain temporaire
PRECISIONS DE NACERA BELLOULA
Bonjour à tous
Je tiens à rappeler à mon ami Habib Ayyoub que le motif évoqué par le directeur de rédaction, ce n’est pas que le sujet était rabaché (un terme qu’il n’a pas mentionné) mais plutôt que le papier ne lui apporte rien à lui et qu’il ne comprenait pas pourquoi je lui ai donné tout cet espace que sur ce je m’étais alignée même sur l’opinion “occidentale” incompréhensible pour moi……
Bref, le papier une fois proposé, accepté et publié, il n’ y a plus de reproche à faire à qui ce soit. Il n’ y a pas eu de prise de bec non plus. La discussion entre moi et le directeur délégué dans son bureau ne trouvait pas d’issue. J’ai préféré donc quitter son bureau. A ce moment là, le rédacteur en chef m’invita dans son bureau en me demandant de ne pas tenir compte de ce que venais de dire le directeur délégué, or celui-ci me rejoint dans le bureau du rédacteur sur ce j’ai préféré sortir du journal pour prendre de l’air. Le directeur délégué m’a poursuivi dans le couloir en me disant cher ami et *tu étais dans le couloir toi aussi “*fichez le camp et ne remettez plus les pieds ici…que je ne vous attrape plus ici” sur ce je m’étais retournée pour lui dire que je reviendrais pour toucher le salaire de deux moi et cela c’est une autre paire de manche puisque tu sais que je n’ai eu droit sur les deux mois travaillé à plein temps (plus d’une quarantaine d’articles, entretien, note de lectures, portraits qu’a vingt jours de salaire). En ce qui me concerne je ne voudrais pas que les choses soient minimisées ni simplifiées comme tu viens de le faire. Le fait de me chasser du journal de cette manière et qu’aucune personne du staff n’a jugé utile de me rappeler pour de quelconque excuses. Le manager H’mida Layachi m’a autant sollicité que toi et insisté même pour que je prenne la direction du service culturel et que je signe de mon nom……
Amitiés.
Il n’a ni le faciès pour être ange ! Ni assez de cervelle pour être démon HA! HA! HA! HA!
Si seulement une partie des journalistes puissent faire autant le DRS n’aurait qu’abdiquer. Merci pour votre courage et surtout pour votre dignité. Que les reste des plumitifs préfèrent vendre leur âme au plus offrant, qu’ils aillent au D…..
Encore une fois merci pour votre courage.
le physique ingratdont la nature l’a affublé explique tous les complexes qu’il nourit envers tout ce qui est beau.c’est en somme un petit provocateur qui se croit parvenu.
Hmida est devenu riche avec sa villa à Bougara et des soirées dans les cabarets
Nacera Beloula veut jouer la martyre. Le papier sur Taslima Nasreen a été publié et n’a pas été censuré. Le rédacteur en chef aurait pu ne pas le passer, mais il l’a publié. Et effectivement, à lire cet article, on ne voit pas ce qu’il apporte de nouveau et qu’est ce qui justifie qu’il soit publié. La seule chose est que la Beloula se pense comme une « grande écrivain » et qu’elle a trouvé outrageant qu’un rédacteur en chef lui dise que les pages culturelles, c’est de l’information, qu’on y donne du neuf et pas du réchauffé et encore moins du copié-collé
Wech hadda, on encore une martyre de la presse, ouella well ? Ce que nous raconte la dame nacera beloula, arrive dans n’importe quelle rédaction du monde. Mais, elle en fait un plat, juste pour se mousser…Ecrire sur Taslima Nasreen, à partir d’alger et sans autre horizon, revient automatiquement à faire du copié-collé. Alors, de grâce cessez ce cinéma ! Ya des pbs autrement plus nombreux et complexes dans la presse, ou vous débutez, madame.
mon dieu que la Mysogénie, le mépris, la hogra envers les femmes règnent et règnera encore pour longtemps. parcequ’une femme se fait insulter par son patron et chasser comme un malpropre vous sortez vos grands idéaux et vous trouvez que c’est normal. Hnnte à vous, imaginez si c’était vous. écrire sur des femmes et par des femmes vous démnangent les……et je reste polie. J’ai lu le papier sur Nassréen par curiosité, il n y ‘a rien à dire, très bien écrit, il y avait de l’info il y avait et du style il y avait un principe (défendre les droits des femmes). Mais avec vos têtes d’arabes frustrés vous ne pouvez pas conçevoir qu’une femme se défend et puisse arriver autant qu’écrivaine, cela aussi vous démange. La honte est sur le journal, sur le directeur et non pas sur cette femme, Mon dieu, cela me renvoit encore une fois aux années de plomb.
j’ai travaillé avec celle (par respect je ne cite pas son nom que vous trainez depuis quelques jours dans la boue) sur laquelle vous vous acharnez sans raison. jamais elle n’a été accusé de plagiat, ni de copé-collé, cela me chagrine de voir qu’il y’a des « personnages » dont le seul souci est de dénigrer des gens.
cela aurait été plus facile donc au directeur de la licencier par des moyens civilisés, une lettre expliquant qu’elle a été licenciée parcequ’elle avait plagié. Bien sur cela ne s’est pas fait ainsi, car tel n’était pas le cas. Puisque l’article a été publié pourquoi revenir dessus et l’utiliser comme moyen de licenciement?
Vous ne réfléchissez pas vous êtes tout simplement en rogne car une femme se fait connaître, écrit des livres hé oui ce n’est pas donné à tout le monde et n’allez pas me dire quoique ce soit sur son écriture, car vous êtes incapable de lire des livres, alors écrire…..
Ni boue, ni gadoue…c’est elle est qui s’y est mise en voulant se donner un statut de petite martyre de la presse khoroto d’aujourd’hui. Dans le landernau de la presse actuelle, « n’importe le qui » est journaliste, écrivain, poète etc…Chiche ! quelle est la définition juridique du journaliste ? Tout le monde s’en fout aujourd’hui. et tout le monde se sert de ce statut pour booster son ascenceur social.
CHER kOUIDER
as-tu une dent contre la dame en question, à voir tes réponses serait-tu le directeur maladroit dont il est question. j’ai été sur le site de Dzilit et sur mes opinions, j’ai vu le texte et les signatures, des gens de lettres (écrivains-professeurs) donc quelque chose cloche chez toi. Ce sont eux qui ont lancé le texte et non pas la dame, alors, martyre ou pas il fallait pas l’insulter, qu’est-ce qui te démange ainsi, puisque personne ne te demande de signer sa pétition ni te demande quoique ce soit. Elle est journaliste et écrivaine et cela ne changera rien et faut la lire aussi, lis Djemina, cela te réconciliera avec la dame.
je ne comprend pas qu’est ce qui se passe dans les journaux algériens. D’ailleurs on ne dit pas grands chose , même pas la vérité et on constate des conflits entre les responsables et les journalistes. tout le monde sait que les journaux plutôt les éditeurs on compris le message du pouvoir, ils se sont transformé en businessman. seule la pub à pages quotidiennes compte, et Toz fi l’information.
Riad
Wallah je vous jure que j’ai essayé de modérer au max mes mots pour faire un portrait rapide d’un homme immodéré…
Salut à tous
Connaissant Hmida depuis fort longtemps, je vous informe que le pauvre saltimbanque s’est embourgeoisé et a cessé d’être l’homme qu’il était.
Soirées aux cabarets, a-plat-ventrisme pour de la pub
hmida est un cloon et un opportuniste…
oubliez cet energumen il merite meme pas qu’on lui accorde de l’importance
Saltimbanque ou pas ,n’a tort que celui qui n’arrive.Hmida est arrivé ,tout ceux qui n’apprécient pas ont tort!Ils n’ont pas l’endurance de ramper aussi longtemps à la verticale!Il a eu le génie de coller aux portes jusqu’à ce qu’i qu’elles aient des oreilles et l’entendent.Il a l’estomac à bouffer de tout et une bouche qui s’est édentée à laper large ,pouv
Nassira Belloula s’est établie finalement au Québec à Montréal et après un roman à succès édité à Montréal, elle poursuit son chemin dans un pays ou chaque être humain est respecté pour ce qu’il est et elle mérite un pays et des gens qui la comprennent bonne continuation madame.
j’espère qu’au Quebec elle apprendra à rédiger ses articles dans un français correct parce que si l’on s’en tient à sa mise au point on comprend que le journal devait « corriger » ses écrits..Alors de grâce , un peu de retenue!