Un survivant de la fusillade de la DGSN du lundi 10 Octobre 1988
Le sort lui a reservé l’handicap physique dans une Algérie dure et sans pitié, Farid Oumahammad résiste en surpassant son infirmité par des défis permanents.
Le sort lui a reservé l’handicap physique dans une Algérie dure et sans pitié, Farid Oumahammad résiste en surpassant son infirmité par des défis permanents.
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Raconter, temoigner pourque ce genre d’actes ne se repetent dans notre pays. toute ma solidarité
Un « chahut de gamins » ?
Une manipulation de Chadli,Messadia,Belkeir..etc?
Un complot ?
Peu importe!!
20 ans après,
On ne sait toujours pas qualifier avec précision ces événements.
Ce qui sure et certain que ces événements avaient donné « le coup d’envoi » du mouvement de démocratisation,avec 60 partis politiques,et une decennie avec des milliers de victimeset de disparus…etc.
Mais aussi des parlementaires multipartisans et un parlement dont le serieux des dabats se limite aux debats sur l’agmentation des salaires bien sure les leurs ouf………..et les victimes de ces evenements sont classés dans un statut d’accidentés de travail le hic et que la majorité de ces victimes n’avaient pas 18 ans d’age alors l’état reconnais implicitement qu’il s’agit d’exploitation de mineurs encore leur minable rente est versée par la CNAS un caisse de travailleurs pas de victimes..c’est l’extreme.
Les victimes des evenements d’octobre 88 n’ont aucun statut juridique mais le terroriste a le sien…………..
tahia Mouloudia
BAB EL OUED ECHOUHADA
ABAT CHADLI et ses amis.
Ce n’était ni un chahut de gamin, ni une révolte du peuple puisque déjà une semaine à l’avance l’on parlait du 5 octobre c’était préparé bien plus haut dans les labyrinthes du système, une semaine à l’avance l’on annonçait ce 5 octobre alors comment voulez-vous qu’un peuple décide du jour au lendemain de se révolter, puisque depuis 1962 le peuple algérien est un peuple amorphe, qui ne prend aucune décision, le terrorisme également n’est pas très catholique chez nous dès qu’il se réveille par n’importe quel moyen on l’endort soit terrorisme, soit cherté de la vie n’importe quoi il faut l’occuper, il ne faut pas qu’il pense si il pense il se révolte alors occupons-le