Béjaia: Vent de fronde sur l’UGTA
Le vent de fronde qui secoue l’UGTA depuis la tenue de son 11e congrès le mois de mars écoulé ne semble visiblement pas près de s’estomper. La décision de suspension, prise à l’encontre de quatre syndicalistes par l’Union de Wilaya de l’UGTA, n’a pas manqué de susciter la colère des délégués syndicaux de Béjaïa qui ont, pour rappel, ouvertement protesté contre ce qu’ils ont qualifié, au cours des différents regroupements observés, en guise de solidarité avec leurs camarades sanctionnés par la structure syndicale locale de mesure «injuste et arbitraire».
Le mouvement de protestation s’organise et s’élargit à Béjaïa. Des syndicalistes, réunis le weekend écoulé, à la salle de conférence de l’APC, autour du thème «La démocratie syndicale», ont appelé, à travers une déclaration rendue publique, les travailleurs partageant, selon eux, «les même inquiétudes, à discuter d’une initiative afin d’imposer et nous réapproprier notre instrument de lutte et mettre en avant la construction syndicale, aux lieu et place des intérêts purement personnels ». Dans son document, le collectif des syndicalistes de Béjaïa s’est vivement élevé contre ce qu’il considère comme «une offensive sans précédent, mise en branle depuis la fin des travaux du 11e congrès, pour liquider toute forme de résistance qui met en avant la défense des intérêts moraux et matériels des travailleurs».
(Source Le Soir d’Algérie)
Laisons tomber cette UGTA qui est devenue la propriété de sidi said et ses compères. Voyons le sujet ci dessous. C’est l’arrogance absolue de certains investisseurs étrangers en cheville avec des algériens du pouvoir. Voilà une boite qui va zigouiller la nature et se livrer à de la spéculation immobilière à l’Ouest d’alger sur les vertes collines de Dely brahim, avec aussi la bénédiction de mr rahmani chérif, pseudo ministre de l’environnement. Lisez…c’est sorti sur le supplément Eco d’el watan.
« IL a été exposé au salon international de l’immobilier à dubaï
DOUNYA PARC, UN PROJET DE 5,5 MILLIARDS DE DOLLARS »
On le compare relativement à de
grands jardins très connus, tels le
Hyde Park de Londres et le
Central Park de New York…Les
visiteurs du grand Salon international
de l’immobilier, organisé à Dubaï du 6
au 9 octobre, ont eu droit à découvrir le futur
Parc Dounya d’Alger. Il était d’ailleurs le seul
projet immobilier algérien exposé à
«CityScape Dubaï 2008». C’est la société d’investissement
émiratie EIIC qui se charge de
cet immense projet, qualifié du futur «poumon
vert» de la capitale. EIIC voit déjà grand
et se projette dans les prévisions du plus grand
parc au monde, avec une superficie de plus de
800 ha. Le Hyde Park de Londres s’étale seulement
sur 255 ha, tandis que le Central Park
de New York, lui, s’étend sur 341 ha. Sur une
maquette géante, lumineuse et verdâtre, le
panoramique Parc Dounya attirait des flux
considérables de visiteurs et de gens de l’immobilier,
guidés par la curiosité et les envies
grandissantes de participer à l’accomplissement
du projet. Ceinture verte encerclant
l’ensemble du parc, chemins boisés, vues
spectaculaires, lacs artificiels, vergers, coupevent,
abris naturels et splendides jardins botaniques
leur offriront un cadre de détente idyllique.
Cet «ensemble intégré» englobe aussi
des aménagements d’hôtels, un hôpital international
et une école franco-algérienne, «des
aires de loisirs ainsi que des services de haut
standing afin d’offrir aux visiteurs confort et
sécurité», explique Malik Si Hassen, PDG de
EIIC Algérie, lors d’une présentation faite à
l’hôtel Bordj El Arab. Le projet coûtera 5,5
milliards de dollars, dont 1 milliard constituera
un apport gratuit de ladite société et qui sera
consacré aux jardins. La société d’investissement
émiratie (EIIC) prévoit aussi la réalisation
de plusieurs projets en Algérie, à l’instar
de l’hôtel Moretti (5 étoiles), le village touristique
de Canastel (Oran) et une entreprise de
câbles électriques à Bouira. A cela s’ajoutera le
projet de la plus grande ferme laitière en
Afrique et qui sera basée à Tiaret, apprend-on
également auprès des responsables de EIIC.
La folie des tours et des gratteciel
C’est la folie de l’immobilier à Dubaï. Aux
émirats, le premier objectif actuel étant de
mettre sur pied une tour qui dépasse tous les
records possibles. Au salon international de
l’immobilier, on ne parle que d’une seule chose
: le projet d’un gratte-ciel dont la hauteur
dépassera 1 km. C’est le nouveau défi des
Emiratis, alors que le record du monde n’est
plus un rêve chez eux. L’annonce de ce nouveau
projet a marqué la septième édition de
«Cityscape» et frappé les imaginations. La
crise financière mondiale n’a été qu’une seconde
préoccupation, même si celle-ci risque
sérieusement de ralentir le développement de
l’Emirat. Nakheel, firme contrôlée par le gouvernement
de Dubaï, est maître d’oeuvre d’un
projet spectaculaire qui consiste à réaliser une
tour de 1000 mètres de hauteur. Nakheel développe
déjà trois îles artificielles en forme de
palmiers gagnées sur la mer. Le gratte-ciel de
Nakheel devra ainsi reléguer à la seconde
position le fameux «Burj Dubaï» (la Tour de
Dubaï), actuellement en construction, dont la
hauteur s’élève à 688 mètres. Les Emiratis
misent encore plus haut. Les patrons de l’immobilier
ont mis à profit l’opportunité du
salon pour annoncer des projets de tours
gigantesques. Elles sont d’ailleurs devenues
une spécialité des pays du Golfe, particulièrement
des Emirats. Au Koweït également, un
projet de tour de 1001 m dans la «Ville de la
Soie», a été aussi évoqué durant le même rendez-
vous. En Arabie Saoudite, le milliardaire
Al-Walid ibn Talal affiche les intentions d’ériger,
à Jeddah, sur la mer Rouge, une tour haute
de 1609 m. Pour ainsi dire, la folie de l’immobilier
semble ne pas avoir de limites à Dubaï,
même si le marché boursier local affichait des
résultats catastrophiques durant les quatre
jours du salon.
La Bourse de Dubaï, à titre indicatif, a connu
quatre journées d’horreur, perdant le quart de
sa valeur entre dimanche et mercredi de la
semaine passée. La nouvelle s’est propagée
comme une traînée de poudre, mais les promoteurs
immobiliers locaux tablaient sur une
tempête passagère. Ali Titouche
Au Salon international de l’immobilier à Dubaï, le
futur Parc Dounya d’Alger attirait des flux
considérables de visiteurs et des gens de
l’immobilier. EIIC voit déjà grand et se projette
dans les prévisions du plus grand parc au monde
avec une superficie de plus de 800 ha.
Approchés lors du Salon international de
l’immobilier, organisé à Dubaï, les
responsables de l’entreprise Emaar avaient
du mal à expliquer l’absence de l’Algérie de
la liste de leurs projets exposés au stand.
Pourtant, la Tunisie et le Maroc étaient, eux,
bel et bien là fournissant des explications
détaillées des projets de Emaar dans ces
deux pays respectifs. Les responsables
rencontrés sur place avançaient mille et un
prétextes, tels que : «nos chargés des
affaires en Algérie sont absents», ou encore
«Nous ne sommes pas partisans des effets
d’annonce.» Les différentes explications
mettent en avant également le souci du
promoteur immobilier de protéger ses
placements au niveau des banques sur fond
d’une crise financière. Emaar s’est engagée,
en tout cas, à la réalisation de plusieurs
projets en Algérie dont le montant s’élève à
quelque 5,5 milliards de dollars. Ces projets
portent sur la création d’une zone de
promotion et de développement à Sidi
Abdellah sur une superficie de 400 ha. Il
s’agit également de la création d’une ville
de santé à Staouéli sur une superficie de
20 ha, qui comprendra un hôpital privé, une
faculté de médecine, une faculté
paramédicale, un centre de recherche, des
appartements, un hôtel, des villas, un
campus universitaire et un centre
commercial. Le troisième inscrit sur
l’agenda d’Emaar concerne le
développement de la zone touristique
colonel Abbas d’une superficie de 109 ha.
Ce projet comprendra un port, des villas et
un centre commercial. En attendant le
démarrage officiel des travaux, Emaar
continue à entretenir le suspense autour
d’une affaire d’investissement qui n’est pas
à son premier épisode.
A. T.
L’Algérie absente
du stand Emaar
Dubai
De notre envoyé
spécial
photo : d. R.
«Rien ne nous fera reculer en Algérie»
Malik Si Hasen. PDG de la société d’investissements émira tie (EIC)
Le Parc Dounya d’Alger a été exposé à l’occasion du
Salon international de l’immobilier, quelles étaient,
d’après vous, les caractéristiques les plus attirantes du
projet ?
Le projet du Parc Dounya est venu régler spécialement
certains problèmes qui affectent la capitale et répondre à la
nécessité d’instaurer une culture de l’habitat. Selon des statistiques
récentes, Alger est classée 10 fois moins verte que
Rabat et 9 fois moins que Tunis. Cette ville qui est
aujourd’hui en souffrance, suffisamment ravagée par le
béton, a été conçue pour 800 000 habitants surtout. Cela dit,
le Parc Dounya offre des caractéristiques de ville moderne,
qui répond aux standards universels en matière d’habitat et
de cadre de vie. Nous avons tout simplement imaginé la
ville de demain et nous pensons que le Parc Dounya est le
seul site qui peut répondre aux critères mondialement
reconnus. La question qui se posait est celle de connaître les
moyens en mesure de protéger l’espace vert restant.
Des négociations ont eu lieu entre la société EIIC et le
gouvernement algérien, quels sont les axes principaux des
discussions et à quels accords ont-il abouti ?
Le deal est clair et simple, EIIC va investir 1 milliard de
dollars gratuitement dans la réalisation des espaces verts,
des lacs artificiels et des jardins thématiques (chinois,
anglais…). Ces jardins représenteront 75% du site Dounya
Parc. Le mot «gratuitement» signifie simplement qu’il n’y
aura pas de retour sur l’investissement, mais l’ensemble
intégré que représente le projet devra coûter une enveloppe
globale de 5,5 milliards de dollars. Il représente (le Parc) ce
qu’on a tendance à qualifier de «development mixte use»
(usage mixte). C’est-à-dire que le projet prendra en charge
tous les problèmes de la ville moderne et ce, par ses différentes
dimensions, à savoir sociale, écologique, économique
et internationale.
Certaines parties ont fait état de plusieurs problèmes rencontrés
par votre société, liés surtout à l’expropriation.
Ces problèmes persistent-ils encore et quel est votre avis
par rapport aux nouvelles lois sur la concession ?
La position de EIIC concernant l’expropriation est claire. Le
gouvernement doit s’engager, car ce genre de problèmes
relève de ses propres compétences. Je peux vous certifier,
cependant, que les problèmes sont définitivement réglés et
nous n’attendons que le verdict du Conseil national de l’investissement
(CNI). Le projet a été soumis au CNI l’année
dernière et donc j’estime que les nouvelles lois sur la
concession et la cession ne nous concernent pas. Cela dit,
concession ou cession, rien ne nous fera reculer en
Algérie.
Avez-vous eu des garanties suffisantes de la part du gouvernement
afin de lever toutes les barrières susceptibles de
ralentir l’accomplissement du projet ?
Il y a un semblant d’engagement total de la part de l’Etat
algérien. Cet engagement se traduit par des garanties suffisantes
exprimées par le gouvernement afin que cette première
expérience puisse se réaliser. Pour notre part, nous
allons travailler avec les meilleures entreprises au monde.
Le premier challenge étant de transférer la technologie et le
savoir-faire en immobilier. Nous ferons appel aussi aux
meilleurs cabinets d’ingénierie et d’architecture ainsi qu’aux
meilleures entreprises locales. Nous allons aussi mettre en
place un centre de formation pour les travailleurs recrutés.
Les estimations sur l’emploi s’établissent entre
22 000 et 25 000 postes directs qui devront être créés. Le
second challenge consiste à gérer la ville de demain et former
d’autres catégories de personnel. Ce sera notre tâche,
elle devra durer 10 ans, d’après les clauses du contrat. Nous
répondrons au souci de gérer une ville suivant les standards
internationaux.
N’avez-vous pas de craintes quant à d’éventuels agissements
clientélistes lors de vos futures négociations avec
les partenaires ?
Si le projet suscite des envies, je peux vous dire que l’Algérie
est un pays vaste et offre les mêmes opportunités aux
autres. Je peux vous certifier que le Parc Dounya ne sera
jamais détourné de sa vocation initiale : celle d’offrir un
meilleur cadre de vie et des espaces qui seront destinés à
tous les Algériens. Il n’y a pas l’ombre d’une éventualité.
Vous avez encore d’autres projets en Algérie. Pouvez-vous
nous en parler ?
Nous avons un projet de construire un hôtel 5 étoiles à
Moretti, dont le dossier a déjà été soumis au Conseil national
de l’investissement. Nous sommes en négociations très
avancées. A cela, s’ajoutent le complexe de Canastel à Oran,
la ferme laitière de Tiaret et l’entreprise de câbles électriques
à Bouira. Mais au niveau international, EIIC a aussi
des participations dans les Bourses et les entreprises, à
l’instar de Vivendi, des activités dans l’industrie et l’immobilier.
A. T.
Propos recueillis par Ali Titouche
photo :
La Face Cache de l’ETR Bejaia, le Pharaon de siècle.
Ce Directeur qui cherche toujours à être le Coq des autres, même chez la vie prive des travailleurs, mais ces pauvres travailleurs avec la peur d’heur Job il son vendu tout haut dignité.
Enfin chaque personne à l’ETR panse à leurs intérêt personale sauf une minorité, le cauchemar si la section Syndical et le comite des travailleurs qui sont signé et vise des feuilles blanches même les caches des deux partenaire est dans le terroirs de PDG, tout ça pour rien que des véhicules de service a leurs dispositions et des abonnements téléphoniques voir Règlement intérieure de l’entreprise et dossier salaires de la commission de branche , Dossier Promotion Logements, et surtout la centralisation de la Commission de discipline avec des membres retraites et des contractuelles cout terme (contrat d’un mois).
L’UGTA local et wilaya avec de la collaboration de l’inspection de travail qu’ils sont aveuglé devant ce petit monsieur PDG, enfin avec un ou deux bons d’essence ils sont tous a quatre Patte.
Son parle de la radio sommam avec leur directeur minable, qui a me tout la radio a genou pour ce débile de PDG de l’ETR, des débat en direct à huit clôt avec des invinté sur masures pour un truc de rien, ce service est de trouvé un petit job à intérieur de l’entreprise pour le frère de directeur de la Radio République Algérienne.