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Archive pour le 23 octobre, 2008

« Amirouche et Si El Houas ont été tués par les hommes de Boussouf »

amir.jpgLe député du RCD et vice-président de l’Assemblée populaire nationale, Noureddine Aït-Hamouda, a affirmé dans un entretien paru aujourd’hui dans l’hebdomadaire en langue arabe El Mohakik que les colonels Amirouche et Si El Houas ont été tués par les hommes de Abdelhafid Boussouf. El Mouhtarem

Le Statut avancé, un pas historique des relations Maroc-UE

mar.jpgL’octroi au Maroc du « Statut avancé » dans ses relations de partenariat avec l’Union européenne, constitue un développement historique qualitatif, dans la continuité des liens traditionnels tissés entre les deux parties depuis les années soixante, a souligné Taïeb Fassi Fihri, ministre des Affaires étrangères et de la coopération du Maroc. 

Le ministre a rappelé, à cet égard, la volonté exprimée par S.M. le Roi Mohammed VI, le 20 mars 2000 de faire accéder le Maroc, dans ses relations avec l’UE, à un statut plus que le partenariat et moins que l’adhésion.
(…)
Abordant le contenu du « Statut avancé » accordé au Maroc, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a relevé que le document adopté, à cette fin, lors de la 7ème session du Conseil d’association Maroc-UE, se décline comme « une feuille de route » prévoyant des mécanismes de suivi pour la mise en œuvre d’une batterie de mesures, applicables dès à présent ou d’opérations programmées sur le moyen terme, avec des engagements clairs de la partie européenne. Au niveau du dialogue stratégique et politique, a ajouté le ministre, il a été convenu d’examiner la possibilité d’une rencontre au sommet entre le Maroc et l’Union européenne, d’intensifier à plusieurs niveaux le dialogue politique relatif aux développements et crises régionales et internationales, de créer une commission parlementaire mixte entre les Parlements marocain et européen, en plus de la coopération entre les partis et groupements politiques..
Pour ce qui est du volet économique, a poursuivi M. Fassi Fihri, les deux parties ont décidé de conclure un accord approfondi et global de libre-échange et rapprocher les législations qui encouragent l’intégration économique avec pour objectif la mise en place d’un espace économique commun semblable à celui établi avec les Etats européens non membres de l’UE, tels que la Suisse et la Norvège.
Il a également été décidé de mener des opérations d’encouragement des investissements, notamment par les PME européennes, de soutenir progressivement le secteur agricole en adéquation avec la stratégie « Plan Maroc vert », de connecter le Maroc aux réseaux européens de l’énergie et du transport, de coopérer dans les domaines des technologies des télécommunications, des mines, de l’environnement et de l’eau.

Au plan de la coopération financière, et sachant que le budget de l’UE est défini et programmé jusqu’à 2013, l’accent a été mis sur la nécessité de mettre à profit toutes les opportunités additionnelles dans le cadre du budget actuel avec un engagement européen de faire bénéficier le Maroc, à partir de 2014, des possibilités et moyens financiers adaptés et qui se limitent jusqu’à aujourd’hui à un soutien aux régions européennes. M. Fassi Fihri a d’autre part rappelé qu’aux plans humain et social, il a été convenu de renforcer les acquis de la communauté marocaine établie en Europe et garantir ses droits professionnels et sociaux, de coopérer en matière d’immigration légale, de lutte contre l’immigration clandestine et d’organisation de la circulation des personnes, d’encourager les réseaux d’échange et de concertation entre les acteurs de la société civile, de développer la coopération pour accroître les capacités marocaines dans les domaines de la recherche scientifique, technologique et industrielle et favoriser une plus large coopération des collectivités territoriales, des opérateurs économiques et des partenaires sociaux.

Le ministre a conclu que le statut avancé constitue une étape importante dans le processus de partenariat qui insufflera une grande impulsion au processus de rapprochement permanent entre le Maroc et l’UE et une concrétisation réelle de la volonté des deux parties de passer à une vitesse supérieure dans leurs relations de partenariat et d’intégration, de manière à baliser le chemin devant la conclusion d’un nouvel accord de partenariat d’avant-garde sur le moyen terme.
(…) 

Le Matin.ma

1.533 harraga interceptés en 2008

harragabarque.jpgSelon un bilan établi par le Centre national de surveillance et d’assistance maritime qui dépend des Forces navales, «421 interventions en mer ont été effectuées en 2008 dont 132 entrant dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine», a indiqué le lieutenant-colonel Zineddine Banat, le commandant du centre, lors d’une conférence donnée hier à l’Amirauté.

 

Le conférencier a indiqué que  »depuis janvier dernier, nous avons intercepté 1.533 émigrants clandestins dans 132 opérations d’intervention dont 75 ont été effectuées en mer et 57 près des côtes. En 2007, le nombre global de nos interventions était de 496, dont 173 dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine au cours desquelles pas moins de 1.568 émigrants clandestins ont été interceptés».

UNE SOCIÉTÉ CHINOISE MISE À L’INDEX PAR DES TRAVAILLEURS DE BÉJAÏA

chi.gifLa société chinoise réalisatrice du projet de construction d’une importante prison régionale, dans la commune de Oued-Ghir, aux portes de la ville de Béjaïa, est mise à l’index par quelque 63 travailleurs algériens qui ont entamé hier un mouvement de grève pour dénoncer les dures conditions de travail au sein de ladite entreprise.
Les ouvriers grévistes ont jeté un véritable pavé dans la mare en parlant des pratiques de l’entreprise, au plan notamment des recrutements et des salaires octroyés aux travailleurs algériens, qui seraient «sous-payés», relève-t-on, par rapport aux travailleurs de nationalité chinoise. Ne bénéficiant pas d’assurance et des primes de transport et de restauration, les ouvriers algériens recrutés par ladite société chinoise toucheraient finalement un salaire mensuel de 15 000 DA, indiquent les grévistes. Une affaire qui promet assurément des rebondissements. Le Soir d’Algérie

«Si Gal» et «Ben Ammi»

L’association des grands invalides de la révolution l’a révélé hier :

Douze mille faux moudjahidine démasqués (El watan) 

«Si Gal» et «Ben Ammi»

Si Gal, s’étant caché 
Toutes ces sept années  
Se trouva fort inconnu 
Quand la paix fut venue 
Pas un seul petit morceau 
De papier de bureau 
Vraiment incognito

Il alla crier «Amine!» 
Chez le faussaire qui dîne  
Le priant de lui délivrer 
Quelque papier pour subsister 
Jusqu’à la saison éternelle 
«Je vous paierai» lui dit untel 
Avant la nuit, foi d’animal 
Intérêt et communal»

Le faussaire d’une voix dédaigneuse :  
C’est là l’un de ses «des-faux» 
Que faisiez-vous aux temps «chauds» 
Dit-il à cette personne visiteuse 
Nuit et jour à tout venant 
Je me cachais, ne vous déplaise 
Vous vous cachiez ? 
J’en suis fort aise 
Eh bien : casquez maintenant.»

R.Zenati (Parodie: Toute reproduction du texte est soumise à l’autorisation de l’auteur

(mail abderazen@gmail.fcom)

Affaire Mecili: L’ambassadeur Mesdoua écrit à El Watan

amba.jpgVotre journal, dans son édition du 21 octobre 2008, a publié une photo portant le nom du capitaine Rachid Hasseni. Je voudrais vous confirmer que la photo parue est la mienne, que mon nom n’est pas Rachid Hasseni et qu’au demeurant, je ne suis mêlé en aucun cas, ni de près ni de loin, à cette affaire qu’éprouve notre collègue et ami, Ziane Mohamed Hasseni, cadre au ministère des Affaires étrangères, dont l’innocence, nous en sommes convaincus, sera prouvée rapidement. La confusion créée par la publication de cette photo autour de ma personne devrait amener les organes de presse, connus pour leur sérieux et professionnalisme, à prendre le temps nécessaire afin de vérifier leurs informations avant de se lancer dans des commentaires qui peuvent être préjudiciables à la personne considérée.

Les rectifications apportées par votre journal dans son édition du 22 octobre 2008 m’obligent à sortir de l’obligation de réserve à laquelle je suis astreint par la mission qui m’est confiée par mon pays en tant qu’ambassadeur d’Algérie en Serbie, pour demander des excuses que je suis en droit d’attendre de la part de votre journal pour le préjudice subi. J’espère que votre journal comme d’autres titres nationaux éviteront ainsi toute ambiguïté et propension médiatiques pouvant créer des réactions tendancieuses autour de personnes au-dessus de tout soupçon. Confiant en la déontologie de votre journal, je vous prie de croire, Monsieur le directeur général, en l’expression de ma considération distinguée.

El Watan précise

Nous tenons à préciser que la photo de droite publiée à la une de notre édition du 21 octobre 2008 pour illustrer un article consacré à l’affaire Mecili, qui s’est finalement avérée être celle de l’actuel ambassadeur d’Algérie en Serbie, n’est ni une découverte ni une invention d’El Watan. Bien avant que nous la reprenions, l’illustration en question avait fait le tour des rédactions françaises et a été largement diffusée par des sites internet. Mais si El Watan l’a reprise, c’est surtout parce qu’elle a été versée comme pièce à conviction dans le dossier de l’instruction de l’affaire du diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, mis en examen au prétexte que son nom présentait des similitudes avec le patronyme de Rachid Hassani, contre lequel le tribunal de Paris a lancé un double mandat d’arrêt international en décembre 2007. Mohamed Samraoui, ex-officier des services secrets algériens en exil, a attesté, il y a peu de temps, devant la presse puis devant la justice françaises que l’homme sur la photo (celle publiée par El Watan) est la personne recherchée, à savoir Rachid Hassani. La publication de cette photo par El Watan aura eu au moins le mérite d’apporter un peu de clarté dans cette affaire : tout le monde sait aujourd’hui que cette photo est celle de l’ambassadeur d’Algérie en Serbie et non celle de Rachid Hassani, présumé commanditaire de l’assassinat de Ali Mecili.

La diplomatie algérienne est devenue une maison de retraite dorée pour les généraux et les suppôts de l’Etat

ae.jpgIl n’y pas que le corps des Affaires étrangères qui recèle des compétences et des gens honnêtes. Toute l’Algérie est un vivier qui produit des Wled familia, des gens de principe, respectables et scrupuleux. De gens qui étaient éduqués dans l’amour de la patrie et le sens du sacrifice. Le problème est que ces derniers ne trouvent pas un milieu social ou professionnel sain et propice pour s’épanouir et faire profiter le pays avec leurs compétences et leurs qualités.. Les déboires du MAE ne sont qu’une des facettes sombres de la gangrène politique algérienne.

La malédiction qui affecte aujourd’hui ce corps où deux hauts responsables sont impliqués, bon gré mal gré, à un crime perpétré par des gens des services de renseignement n’est pas du tout fortuite. Ce corps apprend maintenant, à ses dépens, ce à quoi il devait s’attendre quand il s’est laissé squatté (a-t-il vraiment le choix) par les gens du service de renseignement (depuis le MALG, SM et ensuite DRS) dont les mains sont tachées de sang. Ce corps a perdu toute crédibilité dès qu’il est devenu une maison de retraite dorée pour les généraux et les suppôts de l’Etat. Il est devenu un corps vermoulu par les parasites qui interfèrent dans sa mission. Ceux qui le pleurent de l’intérieur ne peuvent pas le défendre malheureusement. Il porte trop de stigmates des scandales qui l’ont ébranlé et de la gestion catastrophique qui s’appuie sur les tractations partisanes et les allégeances claniques.

C’est un organisme sensé défendre nos intérêts partout dans le monde par la force de conviction professionnelle et l’amour profond l’Algérie. Le peuple algérien souffre du sous-développement et l’aliénation politique. Il n’a rien vu venir de cet organisme à part des questions protocolaires stériles ou la gestion administrative des communautés algériennes à l’étranger.
Qu’a-t-il fait pour nous ce corps ? Donnez-nous un exemple de retombées financières conséquentes ou des relations internationales étroites, dont il a le mérite, et qui auraient pu contribuer de façon éclatante dans le transfert technologique ou le développement économique, pour tirer ce peuple de sa misère.
Tels les barbus, les généraux et les courtiers du palais présidentiel, qui le fréquentent ou qui le convoitent crient à l’unisson: “pour elle on vit et pour elle on meurt” en pointant le MAE.
L’affaire de feu Mecili ne cesse de soulever des questions sur nous même. Comme si M. Mecili avant de se venger ses vrais bouchers, il nous contraint depuis 20 ans à regarder de face, toute la laideur de notre système.

Pour ceux qui veulent approfondir la question, je leur recommande de visionner un débat sur le sujet qui a été organisé par la chaîne Eljazeera. Vous allez être sidéré par ce qui se pratique dans les ambassades arabes et algériennes en particulier. Mais cela est un secret polichinelle…Le débat est compilé en 9 clips sur youtub.

http://fr.youtube.com/results?search_query=diplomate+arabe&search_type=&aq=-1&oq=

Préparez, du maïs soufflé, un antidépresseur et éloignez de vous les objets fragiles…Bon vent.

Par Sniper

Noureddine Djoudi père de l’actuel ministre des Finances

kdjoudi.jpgJe suis Ok avec les principes que défend Mohand. J’ajouterais que Nouredinne Djoudi, qui vient de se réveiller, est bien l’ambassadeur à Paris dans les années 90, pote de Bouteflika et père de l’actuel ministre des finances. L’attitude de N.Djoudi est parfaitement conforme à son statut de membre du système, et naturellement défenseur de ce système honni. Donc, rien d’étonnant. Le contraire l’aurait été. il aurait été extarordinaire qu’il se transforme en militant de la vérité dans l’affaire de l’assassinat de Mecili. D’ailleurs dans cette affaire, on semble être de plus en plus dans un dossier à tiroirs ou l’assassinat lui même et la quête de justice sont secondaire. N’oublions pas que deux nouveaux acteurs (spéciaux de par leur passé professionnel récent) sont entrés en jeu: Hicham Aboud et Mohamed Samraoui. Ajoutez-y les services français, allemands (où réside Samraoui) et belges (où réside Aboud). Ca tiraille de tous les cotés, sans oublier que pour les services algériens Aboud et Samraoui sont des traitres à abattre..Sans oublier les intérêts des différents Etats. Dans tout cela, faut être devin pour savoir comment l’affaire va se développer.

Mabdekka

Photo: Karim Djoudi ministre des Finances

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