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Archive pour le 24 octobre, 2008
Ei si on parle de Bleuite ?
Nous sommes en 2008, à l’APN, avec zaama un Etat et des institutions. Si, on balance des mots en l’air, comme ça, on sème le trouble. Ne pensez-vous pas que la société est suffisamment désorientée pour en rajouter. Quand aux questions historiques, moi aussi je peux vous dire que la bleuite a existé, que les services français ont fait des dégâts dans les rangs des moudjahiddine authentiques qui se sont livrés à des purges, purges dont nous gardons aujourd’hui, encore, les lourdes séquelles. Cela dit, brièvement, je crois qu’il est plus sage de laisser cela aux historiens, et, militer pour que l’université s’y intéresse plus, que le cinéma et
la TV aussi…On y gagnera tous en cohésion sociale. Nordine Ait Hamouda n’est pas un historien, loin de là, alors qu’il cesse de faire commerce politique de la mémoire de son père et de l’Histoire nationale, qui sont le patrimoine de l’ensemble des Algériens.
Par Mabdekka
Khalida et Chemla
La ministre, ancienne alliée de Mohamed Benchicou, n’a pas indiqué les articles de loi qui l’autorisent ou lui donnent le pouvoir d’interdire l’impression d’un livre qui a organisé déjà une large diversion, car personne ne connaît son contenu. L’imprimeur, selon la presse, serait une française. Y-a-t-il pas un autre imprimeur en Algérie ? L’ordre venu d’en haut, sans préciser l’autorité qui a pris la décision est une autre diversion.
Un tribunal de Biskra a condamné des Algériens pour rupture de jeûne sans l’existence d’une loi qui les condamne. Personne n’a crié au scandale, car le juge a inventé une peine qui n’existe pas pour un crime ou un délit qui n’existent pas aussi. Malgré cela des Algériens ont été touchés dans leurs dignités et honneurs. C’est le même cas, sauf qu’il n’y a pas de décision du juge. C’est une décision prise par un inconnu, exécuté par des hommes, dont on ne connaît pas leurs missions. Autant d’inconnues. Autant d’ombre.
Selon la presse, le directeur de la bibliothèque nationale a commis une erreur qu’il n’a pas pu rectifié sur la décision du dépôt légal. Une erreur se rectifie et on délivre une attestation de dépôt légal sans erreur. Que Khalida Toumi invente un nouveau crime, un nouveau délit, l’anti-sémitisme, qui n’existe pas dans le code pénal algérien, mais le code pénal français, cela nous renseigne sur les liens forts qui unissent Khalida Toumi à ses éventuels mentors parisiens, connus pour leur allégeance sans faille au sionisme international. Interdire un livre sans décision de justice, inventer de nouveaux crimes et délits qui n’existent pas comme à Biskra et à Blida, cela montre que la seule loi qui existe est celle du bon plaisir. C’est le fait du prince. Ce n’est pas nouveau non plus. Alors pourquoi se lamenter davantage, alors qu’il s’agit de changer ce système de pouvoir qui a imposé l’arbitraire depuis 1962 à ce jour, où règne l’état d’urgence qui interdit l’exercice des droits et libertés publics, mais qui tolère l’organisation des meurtres, des assassinats collectifs, des attentats à la bombe, etc…
Maamar Boudersa
Noureddine Aït Hamouda ou la diversion vulgaire
Que les colonels Amirouche et Si El Haoues reposent en paix. Nordine Aït Hmouda lâche encore des mots dont il ne semble pas mesurer le sens et la portée. C’est de la diversion vulgaire. Au lieu de défendre concrétement ce pourquoi il a été “élu” avec en plus la fonction de vice-président de l’APN qu’il occupe, le fils- bientôt sexagénaire – du chahid Amirouche, se livre en spectacle. Pourquoi ne demissionne-t-il pas de cette APN avec son pote Sadi ? Qui manipule l’autre ? Que cherche le RCD, cette créature du cabinet de Larbi Belkheir ? Ce sont des questions parmi d’autres que soulèvent ces dernières sorties intempestives du vice-président de l’APN. N’oublions pas qu’il est vice-président de l’APN. S’il estime que ce n’est rien, alors qu’il démissionne. Maintenant, s’il a des preuves de ce qu’il avance pourquoi ne les expose-t-il pas ?
Par Mabdekka