Ksentini: « 97% des familles des disparus ont accepté les indemnisations“
Selon Farouk Ksentini, président de la Commission nationale de consultation pour la protection et la promotion des droits de l’Homme (CNCPPDH), entre 96 à 97% des familles de disparus ont accepté les indemnisations proposées par les autorités. “Je pense qu’une solution a été apportée à ce problème. 96 à 97% ont accepté des indemnisations”, a-t-il affirmé jeudi lors d’un forum organisé par la Chaîne II. “C’est vrai qu’il y a un noyau, que je reçois du reste à chaque fois qu’il en fait la demande, qui revendique toujours la justice et dont je respecte le point de vue. Mais je crois que c’est un problème auquel une solution a été apportée. Il faut admettre que c’est un sujet qui était tabou avant 1999 et qu’aujourd’hui une solution lui a été apportée”, a estimé l’avocat. Même si aucun chiffre fiable n’est à ce jour disponible sur le nombre exact des disparus, il reste que les familles de ces “victimes de disparitions forcées”, selon un vocable usité par les ONG, l’estiment à quelque 8 200 personnes. Liberté
Salam aliekoum
Nous aimerons savoir si le prix d’un innocent assassiné ou d’un disparu est égal à celui d’un vrai repenti, d’un faux repenti ou d’un assassin qui a regagné le bercail?
A Mr le reconciliateur de nous éclairer.
La question de où va l’Algérie reste toujours d’actualité.
Ksentini va-t-il un jour nous dire ce qu’il a écrit dans les différents rapports qu’il a adressés à Bouteflika chaque année. Mais peut être qu’on reste dans le culte du secret !
La majotité des repentis sont des agents qui ont infiltré les groupes terroristes
Tout a fait raison avec Mourad. Ce sont des agents des services sinon des vendus.
bien sûr a defaut d’avoir les membres de leur familles ils peuvent accepter de l’argent pour continuer a vivre pensez a ceux qui onr perduent leur peres et que ces dernieres ete le seul source de revenus , c’est tout a fait logique…
quand a l’etat c’est pas trop tôt de leur donner cette aide aux familles.
Le fils de l’ex president Boudiaf (allah yerhamou) a vendu le sang de son pere. Qu’est ce que nous pouvons attendre des pauvres gens !!!
Les tueries que les Algériens ont subis et on vécus s’apparentent à ceux fomentés au RWANDA. Dans ce petit pays, pauvre, les commanditaires (à commencer par le France) sont aux bancs des accusés.Ces actes sont qualifiés de crimes contre l’humanité, et beaucoup répondent devant les diverses juridictions de ce délits imprescriptibles. Celui qui est chargé de promouvoir des régles de gestion pour parvenir à ce que l’Algérie respecte ce droit international , ajoute à la confusion en disant que la question est réglée. On ne peut faire le deuil de cette affaire sans jugements réels et sans que toute la vérité soit dite. L’argent ne peut jamais cicatriser ces plaies d’un genre particulier. Tout comme Dieu ne peut absoudre les actes commis sur d’autres personnes, l’Etat ne peut se permettre de le faire.Ce sont les hommes qui sont responsables qui doivent demander pardon à leurs victimes c’est l’unique solution. Toute autre argument ne fait que retarder le moment de vérité.